Le SNAT 2025 : une fenêtre d’opportunités pour s’inscrire dans la modernité
De nos jours, les territoires sont confrontés à une mondialisation porteuse de grandes potentialités et d’immenses opportunités, mais aussi source d’inquiétudes, de menaces et de défis à relever, car la compétition n’est plus localisée aux seules entreprises, elle s’est déplacée vers les territoires et les régions.
Le développement des territoires, voire leur survie, dépend largement de leur capacité à s’adapter et à innover dans un contexte globalisé, marqué par une concurrence de plus en plus rude, à laquelle se livrent les territoires pour gagner la bataille de l’attractivité et de la compétitivité.
Le SNAT a rendu ainsi, lisible les faiblesses et forces du territoire ; il a identifié les opportunités et les menaces, ainsi que les enjeux qui encadrent les dynamiques territoriales en mouvement.
Quatre (04) lignes directrices pour la mise en oeuvre du SNAT 2025
-La durabilité des ressources ;
-Le rééquilibrage du territoire ;
-L’attractivité et la compétitivité des territoires ;
-L’équité sociale et territoriale.
Ces 04 lignes directrices se déclinent à leur tour en vingt (20) Programmes d’Action Territoriale : « Les PAT »
La ligne directrice 1 : La durabilité des ressources : Cinq (05) actions sont identifiées :
1-La durabilité de la ressource en eau qui constitue une question fondamentale, cinq (05) actions sont prévues par le SNAT 2025 :
a-Assurer une distribution quotidienne de l’eau à la population. Cet objectif constitue un enjeu sensible à court, moyen et à long terme au regard du déficit actuel et des besoins sans cesse grandissant aussi bien en eau potable qu’en eau industrielle et agricole ;
b-Assurer une équité régionale par les transferts territoriaux et interrégionaux :
•Nord - Nord
•Nord - Hauts Plateaux
•Sud - Hauts Plateaux
•Sud – Sud
Ceci permettra une répartition équitable de l’eau entre les territoires et constituera un facteur de rééquilibrage territorial.
c-Etablir un arbitrage équitable entre usagers et secteurs selon les choix politiques stratégiques.
•Une priorité à la satisfaction des besoins en AEPI avec le développement de l’approvisionnement en eau dessalée pour 11 wilayas côtières.
•Des choix à faire entre la petite et moyenne hydraulique (PMH) et grands périmètres d’irrigation (GPI) en fonction des avantages comparatifs avec une plus grande attention pour la première et le souci légitime de rentabiliser la (GPI).
d-Assurer une eau de qualité : une action impérative - par un meilleur traitement de l’eau potable – épuration des eaux usées et effluents industriels – limitation des épandages agricoles.
e-Le renouvellement de la gestion de l’eau par l’économie de l’eau et l’optimisation de son usage
2-La conservation des sols et la lutte contre la désertification, dont l’objectif est de protéger et valoriser les sols, par des pratiques de cultures, d’élevage ou d’aménagement adaptées, capables d’assurer sa pérennité et sa transmission aux générations futures.
3-La protection et la valorisation des écosystèmes
•Le littoral,
•La montagne,
•L’écosystème steppique,
•L’écosystème oasien,
•L’écosystème forestier,
•Les aires protégées.
4-La prévention des risques majeurs
•les séismes et risques géologiques ;
•les inondations ;
•les risques climatiques ;
•les feux de forêts ;
•les risques industriels et énergétiques ;
•les risques radiologiques et nucléaires ;
•les risques portant sur la santé humaine ;
•les risques portant sur la santé animale et végétale ;
•les pollutions atmosphériques, telluriques, marines ou hydriques ;
•les catastrophes dues à des regroupements humains importants.
5-La sauvegarde et la valorisation du patrimoine culturel à travers :
•l’évaluation et la réappropriation du patrimoine culturel matériel et immatériel ;
•la sauvegarde et la protection des biens culturels ;
•l’intégration du patrimoine culturel comme facteur de développement durable des territoires.
A Suivre...
De nos jours, les territoires sont confrontés à une mondialisation porteuse de grandes potentialités et d’immenses opportunités, mais aussi source d’inquiétudes, de menaces et de défis à relever, car la compétition n’est plus localisée aux seules entreprises, elle s’est déplacée vers les territoires et les régions.
Le développement des territoires, voire leur survie, dépend largement de leur capacité à s’adapter et à innover dans un contexte globalisé, marqué par une concurrence de plus en plus rude, à laquelle se livrent les territoires pour gagner la bataille de l’attractivité et de la compétitivité.
Le SNAT a rendu ainsi, lisible les faiblesses et forces du territoire ; il a identifié les opportunités et les menaces, ainsi que les enjeux qui encadrent les dynamiques territoriales en mouvement.
Quatre (04) lignes directrices pour la mise en oeuvre du SNAT 2025
-La durabilité des ressources ;
-Le rééquilibrage du territoire ;
-L’attractivité et la compétitivité des territoires ;
-L’équité sociale et territoriale.
Ces 04 lignes directrices se déclinent à leur tour en vingt (20) Programmes d’Action Territoriale : « Les PAT »
La ligne directrice 1 : La durabilité des ressources : Cinq (05) actions sont identifiées :
1-La durabilité de la ressource en eau qui constitue une question fondamentale, cinq (05) actions sont prévues par le SNAT 2025 :
a-Assurer une distribution quotidienne de l’eau à la population. Cet objectif constitue un enjeu sensible à court, moyen et à long terme au regard du déficit actuel et des besoins sans cesse grandissant aussi bien en eau potable qu’en eau industrielle et agricole ;
b-Assurer une équité régionale par les transferts territoriaux et interrégionaux :
•Nord - Nord
•Nord - Hauts Plateaux
•Sud - Hauts Plateaux
•Sud – Sud
Ceci permettra une répartition équitable de l’eau entre les territoires et constituera un facteur de rééquilibrage territorial.
c-Etablir un arbitrage équitable entre usagers et secteurs selon les choix politiques stratégiques.
•Une priorité à la satisfaction des besoins en AEPI avec le développement de l’approvisionnement en eau dessalée pour 11 wilayas côtières.
•Des choix à faire entre la petite et moyenne hydraulique (PMH) et grands périmètres d’irrigation (GPI) en fonction des avantages comparatifs avec une plus grande attention pour la première et le souci légitime de rentabiliser la (GPI).
d-Assurer une eau de qualité : une action impérative - par un meilleur traitement de l’eau potable – épuration des eaux usées et effluents industriels – limitation des épandages agricoles.
e-Le renouvellement de la gestion de l’eau par l’économie de l’eau et l’optimisation de son usage
2-La conservation des sols et la lutte contre la désertification, dont l’objectif est de protéger et valoriser les sols, par des pratiques de cultures, d’élevage ou d’aménagement adaptées, capables d’assurer sa pérennité et sa transmission aux générations futures.
3-La protection et la valorisation des écosystèmes
•Le littoral,
•La montagne,
•L’écosystème steppique,
•L’écosystème oasien,
•L’écosystème forestier,
•Les aires protégées.
4-La prévention des risques majeurs
•les séismes et risques géologiques ;
•les inondations ;
•les risques climatiques ;
•les feux de forêts ;
•les risques industriels et énergétiques ;
•les risques radiologiques et nucléaires ;
•les risques portant sur la santé humaine ;
•les risques portant sur la santé animale et végétale ;
•les pollutions atmosphériques, telluriques, marines ou hydriques ;
•les catastrophes dues à des regroupements humains importants.
5-La sauvegarde et la valorisation du patrimoine culturel à travers :
•l’évaluation et la réappropriation du patrimoine culturel matériel et immatériel ;
•la sauvegarde et la protection des biens culturels ;
•l’intégration du patrimoine culturel comme facteur de développement durable des territoires.
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