Le tourisme est la principale source de revenus de pays arabes comme la Tunisie, le Maroc ou l'Égypte
Marre de faire des corrections basiques qui ne devraient pas prendre plus de 20 secondes de recherche sur Google, meme avec la 3G
Un peu de vulgarisation économique (données de 2019)
Les principaux secteurs industriels, l’automobile et l’aéronautique, connaissent une hausse de leurs exportations deux fois plus rapide que la moyenne (respectivement +5,8 % et +5,9% contre +2,4 %).
Le secteur automobile, mené par l’écosystème câblage, confirme d’ailleurs sa place de premier secteur exportateur du Royaume (28,4 % du total), et ce, malgré une légère diminution des exportations de voitures finies.
Celui-ci est suivi par le secteur agricole/agroalimentaire, au deuxième rang (21,8 %), dont les exportations ont augmenté de 5,3 % grâce aux bons résultats des tomates, des fruits rouges, et des agrumes, compensant les performances décevantes du secteur de la pêche et la stagnation de l’agroindustriel. A l’inverse, le textile, fortement concurrencé par les pays asiatiques et turc sur le marché européen, n’enraye pas son déclin déjà amorcé depuis quelques années (-2,7 % de CA à l’export en 2019).
Le secteur du phosphate, troisième secteur exportateur du Royaume, dont la demande internationale est plus volatile, enregistre des performances médiocres en raison d’une demande étasunienne, française, bulgare, polonaise, turque et brésilienne en diminution.
De manière générale, les résultats de l’année 2019 reflètent les grandes priorités sectorielles du Royaume, concrétisées par le Plan d’Accélération Industrielle et le Plan Maroc Vert, qui ont profondément modifié la structure de l’appareil exportateur du Maroc. Pour rappel, en 2010, l’automobile (essentiellement le segment câblage) ne représentait que 12,3 % du total à l’export tandis que le phosphate et le textile menaient l’appareil exportateur (24,0 % et 20,2 % des exportations)
Le secteur automobile, mené par l’écosystème câblage, confirme d’ailleurs sa place de premier secteur exportateur du Royaume (28,4 % du total), et ce, malgré une légère diminution des exportations de voitures finies.
Celui-ci est suivi par le secteur agricole/agroalimentaire, au deuxième rang (21,8 %), dont les exportations ont augmenté de 5,3 % grâce aux bons résultats des tomates, des fruits rouges, et des agrumes, compensant les performances décevantes du secteur de la pêche et la stagnation de l’agroindustriel. A l’inverse, le textile, fortement concurrencé par les pays asiatiques et turc sur le marché européen, n’enraye pas son déclin déjà amorcé depuis quelques années (-2,7 % de CA à l’export en 2019).
Le secteur du phosphate, troisième secteur exportateur du Royaume, dont la demande internationale est plus volatile, enregistre des performances médiocres en raison d’une demande étasunienne, française, bulgare, polonaise, turque et brésilienne en diminution.
De manière générale, les résultats de l’année 2019 reflètent les grandes priorités sectorielles du Royaume, concrétisées par le Plan d’Accélération Industrielle et le Plan Maroc Vert, qui ont profondément modifié la structure de l’appareil exportateur du Maroc. Pour rappel, en 2010, l’automobile (essentiellement le segment câblage) ne représentait que 12,3 % du total à l’export tandis que le phosphate et le textile menaient l’appareil exportateur (24,0 % et 20,2 % des exportations)
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