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Le sort de l’usine des huiles végétales de Djendjen à Jijel semble être définitivement scellé. l’épilogue intervient plusieurs mois après que les frères Kouninef, ses anciens propriétaires, aient été mis en prison. Cette usine de Djedjen constitue un héritage non négligeable, et un atout important pour l’économie nationale.
Le choix du ministère de l’Industrie est finalement tombé sur le Groupe MADAR (ex-SNTA). Madar a été donc choisi pour mener à bien le projet de l’usine d’huiles végétales situé au port de DjenDjen à Jijel. Cette usine, qui appartenait aux frères « Kouninef », a fini par être nationalisée. Une nationalisation qui vient suite aux affaires de corruption à
cause desquelles ses précédents propriétaires croupissent en prison.
Djendjen disputé entre MADAR et Agrodiv
Selon le journal arabophone El Chourouk, l’usine des huiles végétales Djendjen, est désormais du ressort de Groupe MADAR, qui a fini par recevoir le feu vert du Conseil des Participations de l’État (CPE). L’offre du Groupe MADAR aurait été la plus appréciée par le conseil, indique la même source.
Le Groupe MADAR disposerait de la meilleure situation financière, ce qui lui avait permis de gagner face à Agrodiv. Après la nationalisation de l’usine de Djedjen, les autorités ont affiché leur volonté de la céder à un groupe qui serait prêt à relever ce défi.
Il est à rappeler que le président Tebboune a lui-même « chargé le ministre du Commerce de la recherche d’une solution immédiate pour engager le transfert de propriété de l’usine de Jijel ». Notons que le Groupe MADAR (ex-SNTA), a comme seul actionnaire l’état Algérien.
40 % des besoins du marché national
MADAR, assure la même source, se trouve dans une très bonne situation financière. Le Groupe devra financer ce qui reste du projet de l’usine Djendjen avec ses propres fonds. Il ne dispose donc pas du droit d’obtenir un prêt auprès d’une banque publique après avoir remporté l’affaire.
Selon la carte technique de ce projet, il peut garantir près de 40 % des besoins nationaux en huiles alimentaires.
L’usine de Djendjen est aussi censée fournir des quantités importantes d’aliments pour le bétail. L’activité de cette usine consiste en la trituration des graines de soja afin d’en extraire les huiles nutritionnelles. Les restes sont ensuite transformés en aliments pour le bétail.
Le groupe MADAR est entrain de finaliser ses documents. En lui appartenant, l’usine appartiendrait donc à l’État. La même source affirme que c’est une question de quelques jours seulement. Il est à noter que cette démarche s’inscrit dans le cadre des instructions de la lutte contre le monopole et la pénurie
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Le choix du ministère de l’Industrie est finalement tombé sur le Groupe MADAR (ex-SNTA). Madar a été donc choisi pour mener à bien le projet de l’usine d’huiles végétales situé au port de DjenDjen à Jijel. Cette usine, qui appartenait aux frères « Kouninef », a fini par être nationalisée. Une nationalisation qui vient suite aux affaires de corruption à
cause desquelles ses précédents propriétaires croupissent en prison.
Djendjen disputé entre MADAR et Agrodiv
Selon le journal arabophone El Chourouk, l’usine des huiles végétales Djendjen, est désormais du ressort de Groupe MADAR, qui a fini par recevoir le feu vert du Conseil des Participations de l’État (CPE). L’offre du Groupe MADAR aurait été la plus appréciée par le conseil, indique la même source.
Le Groupe MADAR disposerait de la meilleure situation financière, ce qui lui avait permis de gagner face à Agrodiv. Après la nationalisation de l’usine de Djedjen, les autorités ont affiché leur volonté de la céder à un groupe qui serait prêt à relever ce défi.
Il est à rappeler que le président Tebboune a lui-même « chargé le ministre du Commerce de la recherche d’une solution immédiate pour engager le transfert de propriété de l’usine de Jijel ». Notons que le Groupe MADAR (ex-SNTA), a comme seul actionnaire l’état Algérien.
40 % des besoins du marché national
MADAR, assure la même source, se trouve dans une très bonne situation financière. Le Groupe devra financer ce qui reste du projet de l’usine Djendjen avec ses propres fonds. Il ne dispose donc pas du droit d’obtenir un prêt auprès d’une banque publique après avoir remporté l’affaire.
Selon la carte technique de ce projet, il peut garantir près de 40 % des besoins nationaux en huiles alimentaires.
L’usine de Djendjen est aussi censée fournir des quantités importantes d’aliments pour le bétail. L’activité de cette usine consiste en la trituration des graines de soja afin d’en extraire les huiles nutritionnelles. Les restes sont ensuite transformés en aliments pour le bétail.
Le groupe MADAR est entrain de finaliser ses documents. En lui appartenant, l’usine appartiendrait donc à l’État. La même source affirme que c’est une question de quelques jours seulement. Il est à noter que cette démarche s’inscrit dans le cadre des instructions de la lutte contre le monopole et la pénurie
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