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L' Algerie renvoie le Maroc au charbon

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  • #16
    Le maroc, je te rappelle est parmi les derniers du peleton ds la region et en afrique en production d'electricité !
    C'est vrai, de la consommation aussi. Et il produit ce qu'il consomme .. et depuis 2019 il a des capacité de production qui dépasse largement ses besoins. d'ou le titre du poste qui a compris au moins une chose est que sans gaz le Maroc continuera de subvenir confortablement à ses besoins en electricité.

    La le deal est diminuer l'impact carbon, et là effectivement c'est un bon point, c'est dommage pour la planète, mais ça n'impactera même pas les chiffres sont le makhen aime se vanter .. car il y a assez de projets de renouvelables qui avaient pris du retard et qui sont finalement en cours et qui tombent à pic .. On est sur un ordre de 10 Gwh additionnel de renouvelable sur ce qui est en chantier pour une mise en service en 2021/2022/2023.

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    • #17
      D’après les chiffres qui circulent, le gaz algérien permet au royaume chérifien de produire jusqu’à 17 % de son électricité pour alimenter ses centrales thermiques. ...
      Voir Le point du 28/08/21
      https://www.lepoint.fr/afrique/alger...40495_3826.php

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      • #18
        Faut pas oublier J' ai appris que l' est marocain est alimenté par sonelgaz Algérie en électricité

        Gone with the Wind.........

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        • #19
          Mensonges ! Je vous dis (allez cherchez) le gaz algériens ne présente que 3,5 % des besoins énergétiques du royaume c’est pas beaucoup ! il ne sera pas impacter du tout

          Donc t’es 17% c’est une blague

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          • #20
            Et sonelgaz, ce est un mensonge aussi ???
            Gone with the Wind.........

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            • #21
              pour 2020 part d'electricité produite par source:
              charbon 67.29%
              gaz naturel:11.91%
              petrole 0.5%
              STEP : 1.1%
              chaleur industrielle 0.92%
              usines autonomes:0.48%
              solaire 3.92%
              eolien 11.65%
              hydraulique 2.22%

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              • #22
                En 2019, les exportations marocaines d’électricité ont explosé

                Plus de 1.207 Gwh exportés vers l'Espagne. Soit plus de 570 MDH en valeur. En même temps, les importations marocaines d'électricité ont fondu, faisant du Maroc un exportateur net. Détails.

                Hayat Gharbaoui


                Le 5 février 2020 à 17h30

                Modifié 11 avril 2021 à 2h44

                On savait que le Maroc avait pour ambition de devenir exportateur d’électricité. Les responsables gouvernementaux évoquaient le sujet, presque à demi-mot. Depuis début 2019, c’est devenu une réalité.

                Les chiffres sont parlants. Alors que le Maroc était jusqu’en 2018 importateur d’énergie électrique pour plus de 2 milliards de dirhams, il boucle 2019 en tant qu’exportateur net d’électricité vers l’Espagne.

                Les dernières statistiques publiées par l’Office des Changes montrent qu’en 2019, les importations marocaines d’énergie électrique ont baissé de 93,5%. Le Maroc importé pour 149 MDH d’électricité en 2019 alors qu’une année auparavant ce même poste a coûté environ 2,3 milliards de DH pour plus de 3.700 Gwh.

                Si les chiffres des importations d’électricité sont clairement affichés dans les statistiques officielles, celles des exportations ne le sont pas. Il faut aller les chercher dans le tableau des produits remarquables, sur la base de données du commerce extérieur ou du côté de l’opérateur ibérique semi-public Red Eléctrica de España.

                Selon ce dernier, en 2019 le Maroc a exporté 1.207,7 Gwh contre seulement 180 Gwh en 2018. Il ne précise pas la valeur de ces exportations. C’est une donnée disponible à l’office des changes. Les données du commerce extérieur avancent que le Maroc a exporté pour plus de 570 MDH contre 158 MDH en 2018 et presque zéro en 2017.

                Renversement de tendance


                C’est un véritable renversement de tendance qui s’est opéré au cours de l’année 2019. Ne pas importer de l’électricité signifie avant tout que le Maroc est devenu auto-suffisant en terme de production d’électricité, que sa production permet de couvrir la demande nationale.

                Ce qui n’était pas le cas il y a une année à peine. En 2018, l’énergie nette appelée était de 37.446 Gwh alors que la production n’a été que de 34.519 Gwh. Ce gap a été comblé par l’importation de l’électricité.

                Depuis, deux facteurs ont permis cela. Il y a d’un côté l’entrée en service de nouvelles capacités de production. Il s’agit pour l’essentiel de la centrale thermique de Safi qui est entrée en service en décembre 2018. Celle-ci est dotée de deux unités totalisant une puissance installée de 1.386 MW capable de satisfaire jusqu’à 25% de la demande électrique nationale. A cela s’ajoutent les nouvelles capacités propres (solaire, éolien).

                Le deuxième facteur est relatif aux efforts pour contenir la consommation d’électricité. Sur ce volet, la mesure phare étant l’instauration de façon permanente du GMT+1 à partir d’octobre 2018. Une étude d’impact couvant la période allant d’octobre 2018 à mars 2019 a permis de démontrer qu’une économie d’énergie électrique supplémentaire en hiver de 37,6 GwH a été constatée. Ce qui représente une économie de 0,3% de la consommation nationale annuelle.

                Comment cela se traduit-il en chiffres ? Les statistiques définitives pour l’année 2019 ne sont pas encore disponibles. Mais selon les statistiques de la DEPF arrêtées à fin novembre 2019, la production de l’électricité a enregistré une hausse de 18,4% (incorporant une progression de 27,9% au T1-19, de 22,5% au T2-19, de 17,5% au T3-19 et de 3,1% au cours des deux premiers mois du T4- 19).

                Cette hausse est due à l’évolution de la production privée de 34,2% et de celle des projets développés dans le cadre de la loi 13-09 de 48,8%, atténuée par le retrait de celle de l’ONEE de 17,1%, commente la DEPF. Du côté de la consommation, elle n’a progressé que de 1% à fin novembre 2019.

                Levée de boucliers en Europe


                Ces facteurs ont permis au Maroc de réaliser son ambition de vendre son surplus de production à ses partenaires avec qui il dispose d’interconnexions. C’est le cas de l’Espagne avec laquelle le Maroc est relié par une interconnexion d’une capacité totale de 1.400 MW. D’ailleurs, une troisième ligne d’interconnexion de 700 MW est prévue d’ici 2026.

                Cependant, cela ne se fait pas sans remous de l’autre côté de la Méditerranée. En effet, il y a une levée de boucliers justifiée selon ses auteurs par le fait que l’énergie produite au Maroc et exportée ne respecte pas les restrictions environnementales imposées par l’UE dont l’empreinte carbone. Les discussions au sein de l’Union tendent vers l’instauration d’une taxe frontalière aux importations d’électricité produite à base de charbon par les pays de l’UE. Mais rien n’est tranché pour l’heure.

                Ce qu’il faut savoir, c’est que le Maroc dispose aujourd’hui d’une capacité de production d’électricité propre de près de 3.700 MW et qu’il est difficile de tracer l’électricité propre pour la distinguer de celle carbonée, à moins d’installer un réseau de transport dédié.
                "Tout ce qui te dérange chez les autres, c'est seulement une projection de ce que tu n'as pas résolu en toi-même" - Bouddha

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                • #23
                  Le Maroc peut toujours s'approvisionner en gaz ailleurs. Ce qui va changer c'est que ça coûtera plus cher et que ça mobilisera des centaines de millions de dollars, alors qu'avant c'était très bon marché et que ça rapportait au pays deux centaines de millions en devises au lieu d'en coûter.

                  C'est tout.
                  "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                  • #24
                    Pas vraiment, le gaz marocain arrive en 2022 si tout se passe bien...
                    "Tout ce qui te dérange chez les autres, c'est seulement une projection de ce que tu n'as pas résolu en toi-même" - Bouddha

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                    • #25
                      Un potentiel renouveau de la province de Jerada ?
                      J'aime surfer sur la vague du chaos.

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                      • #26
                        L' Algerie renvoie le Maroc au charbon
                        il faut demander à ce journal ce qu'il voulait dire par ce titre qu'il a concocté a la va vite pour piquer des sous rapidement au couple mafia junte !!

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                        • #27
                          Il y a un problème qui risque de se poser quand l'Algérie utilisera uniquement le passage''qui ne passe''pas le Maroc pour acheminer son gaz, c'est celui de la capacité qui va diminuer d'au moins 5 milliards de m3 au meilleur des cas ,par rapport à celui passant par le Maroc,cad quand la demande est à son minimum.
                          autrement dit la livraison va être moins fidéle que l'ancienne et c'est c'est exactement ça qui inquiète les espagnols.

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                          • #28
                            Je sais qu'il y avait La Samir, je ne sais pas si elle est toujours en service, mais je sais qu'une est en cours, nos amis Russes s'en chargent... N'hesites pas si tu as d'autres questions


                            La Russie finance la construction d’une raffinerie de pétrole au Maroc

                            Par M.C Le 28 Oct, 2019

                            UN ACCORD POUR LA CONSTRUCTION D’UN COMPLEXE PÉTROCHIMIQUE D’UNE VALEUR DE PRÈS DE DEUX MILLIARDS D’EUROS AU MAROC A ÉTÉ SIGNÉ À SOTCHI, EN RUSSIE.


                            L’accord porte sur la construction d’une raffinerie en utilisant l’expertise et les dernières technologies russes pour le raffinage et le stockage de produits pétroliers. Ce projet s’inscrit également dans une démarche respectueuse de l’environnement et permettra au Royaume de contribuer à la réglementation «IMO 2020» qui implique la réduction des émissions de soufre, dont le Maroc est signataire dans le cadre des engagements de la COP-22 à Marrakech.

                            Le développement et la réalisation du projet seront effectués par la partie marocaine en partenariat avec différents acteurs russes dans le domaine et qui fourniront l’expertise, la technologie et le matériel performant. La raffinerie qui sera construite dans le cadre de ce projet sera dotée dans un premier temps d’une capacité de raffinage de 100 000 barils par jour, et pourra dans un deuxième temps atteindre la capacité de 200 000 barils par jour.

                            L’accord a été signé en marge du forum économique Russie-Afrique, organisé dans le cadre du premier Sommet Russie-Afrique. Manifestation qui s’est tenue les 23 et 24 octobre et à laquelle participe le Maroc aux côtés d’une cinquantaine de pays africains.
                            "Tout ce qui te dérange chez les autres, c'est seulement une projection de ce que tu n'as pas résolu en toi-même" - Bouddha

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                            • #29
                              C'est fou quand même ! leurs victoires consistent juste à essayer de démontrer que le maroc et les marocains souffrent.. Leurs victoires ne sont jamais de démontrer et de prouver que la gestion de leur pays s'améliore ou que le pays avance .. rien .. nada.
                              Est ce que vous pensez vraiment que ce genre de publication vous ramène l'eau à la capitale ou sauve le dinar? Quel gachis ..

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                              • #30
                                Et si c'était l'Espagne qui n'a pas voulu reconduire le gazoduc? Aujourd'hui l'Espagne importe plus de gaz américain que algérien.

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