L’entreprise pétrolière et gazière algérienne, Sonatrach, demeure la première en Afrique, selon le classement 2021 des 500 meilleures entreprises établi par Jeune Afrique. Un exemple à suivre.
En dépit de la crise, le groupe public demeure le numéro 1 du continent. A l’international, il est surnommé « la junior africaine » en référence aux grandes multinationales pétrolières et gazières.
Plus en détail, Sonatrach a réalisé en 2020 un bénéfice en valeur absolue s’élevant à 3,9 milliards de dollars malgré une baisse de 0,98% du chiffre d’affaires total des entreprises. Somme toute, la deuxième baisse consécutive, indique la même source.
« Jouant aux montagnes russes ces dix dernières années, le chiffre d’affaires global des ‘500’ a progressé d’à peine 5 % depuis 2009. Quant au pic d’activité de 2012 (757 milliards de dollars), il faudra des années, peut-être une décennie, avant qu’il ne soit égalé », ajoute-elle.
Pour Jeune Afrique, ce nouveau classement constitue une contre-performance inquiétante. Et pour cause, l’économie du continent avait connu une croissance plutôt robuste notamment en 2019. « Selon la Banque africaine de développement (BAD), le PIB continental a crû de 3,3 % en 2019, dont 3 % pour la seule Afrique sub-saharienne », détaille la même source.
Au mois de mars, Toufik Hakkar, président directeur général (PDG) de Sonatrach, a été désigné par la revue spécialisée Forbes Middle East, comme l’un des patrons les plus puissants de la région MENA de l’année 2021.
Hakkar est arrivé à la cinquième position après du classement qui a concerné les dirigeants d’entreprises issus de 24 nationalités, représentant 21 secteurs.
Patrie News
En dépit de la crise, le groupe public demeure le numéro 1 du continent. A l’international, il est surnommé « la junior africaine » en référence aux grandes multinationales pétrolières et gazières.
Plus en détail, Sonatrach a réalisé en 2020 un bénéfice en valeur absolue s’élevant à 3,9 milliards de dollars malgré une baisse de 0,98% du chiffre d’affaires total des entreprises. Somme toute, la deuxième baisse consécutive, indique la même source.
« Jouant aux montagnes russes ces dix dernières années, le chiffre d’affaires global des ‘500’ a progressé d’à peine 5 % depuis 2009. Quant au pic d’activité de 2012 (757 milliards de dollars), il faudra des années, peut-être une décennie, avant qu’il ne soit égalé », ajoute-elle.
Pour Jeune Afrique, ce nouveau classement constitue une contre-performance inquiétante. Et pour cause, l’économie du continent avait connu une croissance plutôt robuste notamment en 2019. « Selon la Banque africaine de développement (BAD), le PIB continental a crû de 3,3 % en 2019, dont 3 % pour la seule Afrique sub-saharienne », détaille la même source.
Au mois de mars, Toufik Hakkar, président directeur général (PDG) de Sonatrach, a été désigné par la revue spécialisée Forbes Middle East, comme l’un des patrons les plus puissants de la région MENA de l’année 2021.
Hakkar est arrivé à la cinquième position après du classement qui a concerné les dirigeants d’entreprises issus de 24 nationalités, représentant 21 secteurs.
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