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Maroc : le secteur du tourisme à bout de souffle avec la pandémie de Covid-19

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  • Maroc : le secteur du tourisme à bout de souffle avec la pandémie de Covid-19

    Avec la fermeture des frontières et les restrictions sanitaires, Marrakech, et, avec, le tourisme national, ont plongé dans une crise sans précédent. Pilier de l'économie marocaine, les recettes du secteur touristique ont chuté de 65% jusqu'à début 2021, selon le ministère des Finances.

    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

  • #2
    Encore une semaine avant la reouverture, mab9a b7al ma fat...

    La vaccination a bien avancé,

    À ce jour:
    Dose 1: 8 772 982
    Dose 2: 5 640 992

    Ça reprendra de plus belle cet été, tout le monde n'attend que le GO du gouvernement.


    Dernière modification par ayoub7, 02 juin 2021, 06h36.
    "Tout ce qui te dérange chez les autres, c'est seulement une projection de ce que tu n'as pas résolu en toi-même" - Bouddha

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    • #3
      Royaume-Uni: Le Maroc bientôt sur la liste verte pour les voyages

      Par L'Economiste| Le 02/06/2021

      Le Maroc devrait être ajouté dans la liste des pays sûrs pour les voyages à l’étranger par Londres après l’amélioration de la situation sanitaire.

      Selon la presse britannique, 8 destinations seront mises dans cette liste : le Royaume chérifien, les îles Canaries, la Finlande, la Jamaïque, les Baléares, la Barbade, Malte, et la Grenade. Le gouvernement britannique prévoit une révision de son système d’autorisation de voyages à l'étranger.

      La prochaine mise à jour aura lieu le 7 juin. Actuellement, la liste comprend 12 pays considérés comme sûrs pour les voyages.
      "Tout ce qui te dérange chez les autres, c'est seulement une projection de ce que tu n'as pas résolu en toi-même" - Bouddha

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      • #4
        La crise de la pandémie a causé des dégâts irréversibles

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        • #5
          Il va y'a avoir du rabais sur la coiffure très bientôt à Marrakech...

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          • #6
            Maroc : le tourisme sexuel en ligne de mire


            «Le Maroc est en passe de devenir une des destinations favorites des pédophiles français et européens. Les conditions sont idéales pour eux : pas de chikungunya, aucun risque de tsunami, les enfants s...

            Par PAR NADJET CHERIGUI
            Publié le 10/08/2007 à 06:00, mis à jour le 14/10/2007 à 17:08
            «Le Maroc est en passe de devenir une des destinations favorites des pédophiles français et européens. Les conditions sont idéales pour eux : pas de chikungunya, aucun risque de tsunami, les enfants sont à portée de main (deux heures d'avion), ils ne leur coûtent pas cher, et en plus, ils parlent français. C'est pratique ! Ils comprennent ainsi plus facilement ce que ces adultes attendent d'eux ! Mais surtout, les destinations très en vogue dans ces milieux, comme la Thaïlande et d'autres pays d'Asie du Sud-Est, sont un peu grillées.» Il n'y a aucun cynisme dans ces propos tenus par Jacqueline Bruas, présidente de l'Association contre la prostitution des enfants (ACPE). Juste le constat d'une réalité crue, abjecte et douloureuse, qu'elle et son association connaissent bien pour la combattre depuis plus de vingt ans à travers le monde.

            Selon les associations et les ONG sur place, le tourisme sexuel se serait considérablement développé dans le royaume chérifien ces dernières années. S'il est très difficile de quantifier l'ampleur du phénomène, une étude menée par l'Unicef en 2003 sur la seule ville de Marrakech rapportait toutefois que 71% des enfants prostitués se «consacrent» uniquement aux touristes.

            La pauvreté reste la première cause de ce fléau et représente un terreau fertile pour l'expansion de ce genre d'activité. La misère n'est jamais douce à vivre, même sous le soleil méditerranéen. Les prédateurs sexuels le savent et, dans les rues, beaucoup d'enfants n'ont d'autre choix que de vendre une part d'eux-mêmes et de leur innocence, contre 200 dirhams, afin de subsister - un plat chaud pour calmer la faim qui les tenaille souvent, et de la drogue pour anesthésier la douleur et oublier l'horreur des cauchemars qui les torturent.

            La loi marocaine bouge enfin !

            «C'est affreux. Nos enfants sont en train de payer le prix de l'éducation que nous leur avons imposée. Cette société pétrie de puritanisme, de conservatisme et de non-dits, est finalement complice de ces pratiques !», explique Najat Anouar, la présidente de l'association marocaine Touche pas à mon enfant. Créée il y a quatre ans et présente dans les grandes villes touristiques du pays, l'association et ses bénévoles font un travail de terrain efficace. Face au laxisme et à la corruption des autorités et des policiers, pointés par certains militants, l'organisation dénonce les cas d'abus commis sur les enfants, elle signale aux policiers l'identité et le lieu de résidence des pédophiles quand ils sont repérés, et réunit les preuves nécessaires à leur inculpation. Surtout, elle veille sur le terrain grâce à la bienveillance des «grands frères» et «grandes soeurs». Baptisés «les anges gardiens», ces jeunes (souvent d'anciens enfants prostitués) surveillent, conseillent et mettent en garde les enfants. L'association se porte également partie civile lors des procès. Elle offre quand elle le peut une assistance et un suivi psychologique aux victimes. «A force de communication et de campagnes de sensibilisation dans les écoles et auprès des familles, les mentalités changent, se réjouit Najat Anouar. Les enfants parlent, les parents ne ferment plus les yeux par honte, et les médias relaient les scandales d'abus sexuels.»

            Mais, par-dessus tout, la loi bouge enfin ! Depuis 2004, une modification du code pénal marocain aggrave les sanctions en cas de viol, d'attouchements ou d'attentat à la pudeur sur un mineur de moins de 18 ans. Auparavant, à 16 ans, un adolescent était considéré comme «sexuellement responsable». En outre, le travail forcé, la vente d'enfants ou l'utilisation de mineurs pour la pornographie ont été introduits au titre de nouvelles infractions. «C'est un grand progrès, mais il reste beaucoup à faire, commente Me Mustapha Rachidi, avocat et membre de l'Association marocaine des droits humains. Il faudrait maintenant que les juges appliquent systématiquement ces nouveaux textes, ce qui n'est pas encore le cas, et ce qui tend à renforcer le sentiment d'impunité de ces pervers.»

            Le cas de cet agent immobilier arrêté en 2005, en flagrant délit, illustre bien la difficulté d'agir dans ce pays. L'ordinateur saisi chez lui contenait près de 117 000 images et films à caractère pédophile. Condamné à quatre années de prison ferme, l'homme a rapidement été gracié et s'est évaporé dans la nature. «Ces pédo-criminels s'entraident et s'informent via internet, déplore Najat Anouar, cela rend notre tâche ardue. Mais nous sommes déterminés, notre stratégie pour les contrer passe par un travail de coopération internationale. Nous oeuvrons déjà en partenariat avec des associations du monde entier, mais surtout, nous contribuons à la mise en place d'un fichier international des pédo-criminels. Nous fournissons toutes nos informations à Interpol, aux ambassades et aux associations dans les pays concernés, de manière à pouvoir les poursuivre même lorsqu'ils sont de retour chez eux, et qu'ils pensent alors être intouchables.»

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            • #7

              Maroc : dans l'enfer du tourisme sexuel


              Publié le : 24/06/2011 - 11:02Modifié le : 24/06/2011 - 17:45

              Par :Aziza NAIT SIBAHASuivre|Karim HAKIKI
              1 mn
              Écouter l’article
              Le Maroc est un eldorado pour pédophiles et touristes sexuels. De Marrakech à Agadir, des milliers de jeunes sont exploités avec la complicité de rabatteurs marocains.

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              La question du tourisme sexuel et de la pédophilie s'est invitée dans le "printemps arabe". Au Maroc, le mouvement du 20 février qui lutte pour plus de liberté demande au roi d'inscrire dans la future réforme constitutionnelle l'interdiction du tourisme sexuel au Maroc, pédophilie inclue.

              La colère de la rue arabe s’explique, notamment, par le cynisme des autorités locales et la permissivité à l’égard des Occidentaux. En clair, "Dégage" le touriste sexuel.

              Face à l’ampleur du phénomène, les autorités sont dépassées et peinent à endiguer ce fléau. En caméra cachée, nos reporters ont infiltré ce milieu fermé.

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              • #8
                "Les pédophiles peuvent avoir ce qu'ils veulent au Maroc à moindre prix"
                • 05/08/14 à 11:13
                • Mise à jour à 11:13
                • Source : Le Vif
                Le Vif
                Le Maroc peut bien rejoindre en 2015 le Comité sur les droits de l'enfant (CRC) lié à l'ONU, plusieurs organisations de défense des droits des enfants tirent la sonnette d'alarme à propos de l'exploitation des enfants et la prostitution enfantine.
                Le Maroc va faire partie, dès le mois de mars 2015, des 194 pays qui contrôlent l'application de la Convention internationale des droits de l'enfant des Nations unies. Or, en 2011 le pays avait eu un rapport défavorable des autorités américaines à propos du trafic d'être humain. Aurait-il fait autant de progrès en 4 ans? De nombreuses associations tirent la sonnette d'alarme autour des enfants des rues laissés pour compte, des nombreux abus subis dans les orphelinats et d'une prostitution enfantine qui ne cesse de croître. Knack.be a cherché ce qui se cachait derrière l'image idyllique d'un Maroc fait de plages, de soleil et de palmiers.
                Nichée entre la mer et les majestueuses montagnes de l'Atlas, la ville Agadir s'est transformée ces dernières années en une destination touristique de premier plan. Si c'est bon pour l'économie locale, cette expansion a aussi son côté sombre. Il semble que la ville soit devenue une destination très prisée pour le tourisme sexuel, avec les enfants des rues comme principales victimes. La prostitution enfantine y est devenue monnaie courante, selon Abdelkhalek Benzekri, vice-president de l'Association Marocaine des Droits Humains (AMDH) qui a plus de 100 bureaux à son actif, dont certains en Belgique, en Espagne et en France. "Chaque jour, nous recevons des signalements de pédophilie. Surtout dans des villes comme Marrakech et Agadir. Bien sûr le phénomène a aujourd'hui l'attention des médias, ce qui le rend plus visible. Mais dans la plupart des cas que nous observons, nous remarquons surtout une augmentation de la prostitution enfantine."

                Agadir, Marrakech, Tanger, Casablanca, Meknès. Toutes les grandes villes du Maroc semblent touchées par le phénomène et ont une réputation de paradis pour pédophiles. La question reste de savoir pourquoi. Selon Benzekri, la pauvreté serait la principale fautive. "Le Maroc compte beaucoup familles nombreuses. Certaines n'ont pas les moyens d'élever autant d'enfants. Ceux-ci sont alors abandonnés à leur sort et il n'est pas étonnant de les voir se tourner vers la prostitution. Certains parents n'hésitent pas à inciter leurs propres enfants à se prostituer."

                Mohamed El Khalfioui, politologue à L'ULB et spécialiste du Maroc, confirme que certains parents poussent leurs enfants à se prostituer. "La pauvreté incite certaines familles à se tourner vers la prostitution comme moyen de subsistance. Je pense qu'ils savent que ce n'est pas une bonne chose, mais qu'in fine cela permet quand même de nourrir leur famille".

                Faire travailler les enfants dès leur plus jeune âge semble souvent être l'unique solution pour les familles pauvres. Même si le travail des enfants est interdit légalement, il semble très difficile d'en faire baisser le nombre. Selon les statistiques de Save the Children de 2011, il y aurait 366.943 enfants âgés de 5 à 14 ans qui travaillent.

                "Les garçons travaillent principalement comme apprenti dans les secteurs de l'artisanat et de la construction. Pour les filles, la situation est souvent encore plus difficile puisqu'elles sont principalement employées en tant que bonnes à demeure et ne peuvent jamais ou presque quitter la maison. Elles sont souvent battues et travaillent régulièrement plus de 20 heures par jour. Sans compter que la plupart sont violées par leur employeur", selon Abdelkhalek Benzekri.

                Selon l'organisation des droits des enfants de l'Unicef, Casablanca ne compterait pas moins 13.500 bonnes de moins de quinze ans. L'organisation End Child Prostitution, Child Porno¬graphy and Trafficking of Children for Sexual Purposes (ECPAT) estime elle que le nombre de jeunes victimes d'exploitations sexuelles dans la plus grande ville du Maroc s'élève à 10.000 enfants.

                Les entités étatiques essayent pourtant de limiter le phénomène en harmonisant les lois marocaines avec les lois internationales. Mais rien ne semble pourtant endiguer le phénomène qui prend chaque année de plus en plus d'ampleur, et ce même s'il n'existe pas vraiment de chiffres officiels.

                "Malheureusement, pour l'état, le sexe est une manière d'attirer les touristes"

                Pour Benzekri c'est l'attitude même de l'Etat qui pourrait faire perdurer le problème. "L'Etat ferme régulièrement les yeux sur la violation de droits de l'Homme. Il en va de même pour la prostitution enfantine. Le secteur touristique est le second du pays et représente une source importante de revenu. On cherche à attirer le touriste de toutes les manières. Et malheureusement le tourisme sexuel en fait partie."

                "Avant l'Asie du Sud-est était la terre promise des pédophiles, mais suite au tsunami qui ravagea la région, ils ont dû trouver d'autres endroits", précise Benzekri . Le fait que le Maroc est bien plus proche géographiquement joue aussi en sa faveur. De même que les nombreuses liaisons aériennes à bas prix entre le Maroc et l'Europe. Dans le pays lui-même, tout est aussi moins cher qu'en Europe. En sachant que le taux d'échange de l'euro est très bas et que l'abus d'enfants reste souvent impuni, on ne peut qu'émettre cet amer constat : au Maroc les pédophiles ont ce qu'ils veulent à moindre prix."

                Wided Bouchrika/ Trad ML

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                • #9
                  Amir el mouminine , .... TOZ ! ! !

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                  • #10
                    Envoyé par wahrani Voir le message
                    Amir el mouminine , .... TOZ ! ! !
                    La religion a toujours été utilisée par les tyrans pour abrutir les abrutis. Mais dans le cas du Maroc les Alaouites ont fait forts: ils ont réussi le tour de force d'être les chefs des prostituées, chef de la drogue, tout en se proclamant roi des pauvres et Amir al mouminine. Moi je dis chapeau.

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                    • #11
                      Yes les gars yes, le tourisme c'est de la prostitution et de la pédophilie. Surtout ne le développez pas chez vous.

                      Merci infiniment...
                      "Tout ce qui te dérange chez les autres, c'est seulement une projection de ce que tu n'as pas résolu en toi-même" - Bouddha

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                      • #12
                        Envoyé par ayoub7 Voir le message
                        Yes les gars yes, le tourisme c'est de la prostitution et de la pédophilie. Surtout ne le développez pas chez vous.

                        Merci infiniment...
                        C'est bien une réaction approuvée et intégrée par les mendiants comme toi et tes acolytes qui faites du pognon une divinité à vénérer, vous adorez le pognon et c'est le pognon qui est votre dieu . Rabkoum e'dirham li direlkou el hem . Vous devriez avoir honte bande d’effarouchés , vous allez jusqu'à prostituer vos femmes vos filles et vos gamins ( et ainsi vos sœurs et vos mères et vos tantes ) pour votre maitre le dir-el-hem !

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                        • #13
                          Envoyé par ayoub7 Voir le message
                          Yes les gars yes, le tourisme c'est de la prostitution et de la pédophilie. Surtout ne le développez pas chez vous.

                          Merci infiniment...
                          Developer le tourisme sexuel ne nous intéresse pas, car nous acceptons seulement un tourisme respectueux des algériens et de nos valeurs islamiques. A la rigueur, si on pouvait capter une partie des voyages de notre diaspora ainsi que celle de nos frères maghrébins et africains de l'ouest qui souhaitent visiter notre pays, ce serait déjà pas mal.

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                          • #14
                            Envoyé par Hallaj Voir le message

                            Developer le tourisme sexuel ne nous intéresse pas, car nous acceptons seulement un tourisme respectueux des algériens et de nos valeurs islamiques. A la rigueur, si on pouvait capter une partie des voyages de notre diaspora ainsi que celle de nos frères maghrébins et africains de l'ouest qui souhaitent visiter notre pays, ce serait déjà pas mal.
                            Yes, les gars, bravo, vous avez tout a fait raison...
                            "Tout ce qui te dérange chez les autres, c'est seulement une projection de ce que tu n'as pas résolu en toi-même" - Bouddha

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