Après le plan de relance à 1 900 milliards de dollars approuvé par le Congrès début mars, Joe Biden veut désormais mettre l'accent sur les infrastructures. Le président américain a proposé, mercredi dernier, d'investir quelque 2 000 milliards de dollars dans ce domaine, avec pour objectif de créer des millions d'emplois, tenir tête à la Chine et lutter contre le changement climatique. Le programme a-t-il des chances d'aboutir ? Quelles pistes pour régler cette gigantesque facture ? Quels risques ?
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Joe Biden et la bataille des infrastructures : reconstruire en mieux ?
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Joe Biden et la bataille des infrastructures : reconstruire en mieux ?
Après le plan de relance à 1 900 milliards de dollars approuvé par le Congrès début mars, Joe Biden veut désormais mettre l'accent sur les infrastructures. Le président américain a proposé, mercredi dernier, d'investir quelque 2 000 milliards de dollars dans ce domaine, avec pour objectif de créer des millions d'emplois, tenir tête à la Chine et lutter contre le changement climatique. Le programme a-t-il des chances d'aboutir ? Quelles pistes pour régler cette gigantesque facture ? Quels risques ?
“Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint AugustinTags: Aucun(e)
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Joe Biden a lancé mercredi un vibrant appel aux entreprises américaines pour qu’elles acceptent un projet de réforme visant à financer son plan sur les infrastructures de 2 000 milliards de dollars . Mais il a indiqué qu’il était prêt à négocier le montant exact qu’elles auraient à payer.
« Je n’essaie pas de punir qui que ce soit. Mais zut, c’est peut-être parce que je viens de la classe moyenne, j’en ai assez que les gens ordinaires soient plumés ! » Une semaine après l’annonce de son plan d’investissement de 2000 milliards de dollars dans les infrastructures du pays, Joe Biden a du mal à accepter les critiques des milieux d’affaires qui, tout en saluant ses efforts de modernisation, tiquent sur son volet fiscal. L’annonce du relèvement du taux d’imposition des sociétés de 21% à 28%, et du taux minimum appliqué aux filiales étrangères des entreprises américaines de 10,5% à 21%, dans l’objectif de lever 2000 milliards de dollars sur quinze ans, provoque en effet un beau tollé chez les chefs d’entreprise.Dernière modification par MEC213, 29 avril 2021, 08h51.
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