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L’histoire a fait le tour du monde. Il y a dix jours, un agriculteur de Constantine, a vu jaillir un liquide visqueux et noirâtre alors qu’il forait un puits pour trouver de l’eau.
Tout le monde ou presque a conclu que le liquide en question était du pétrole en raison de sa couleur et des émanations de gaz qui y ont suivi son contact avec l’air, et certains avaient même prédit un avenir radieux au fermier.
Du pétrole dans le nord-est de l’Algérie, une région qui n’est pas réputée pour ses gisements d’hydrocarbures, attire forcément l’attention des médias de la planète.
Ce mardi, le groupe Sonatrach a mis fin aux spéculations et au rêve du fermier, qui était sûr et certain que son puits était rempli de pétrole.
« Suite à l’information faisant état d’une venue d’hydrocarbures signalée dans la région d’Ouled Rahmoun, wilaya de Constantine, Sonatrach a dépêché une équipe de spécialistes pluridisciplinaires sur place afin de procéder aux analyses de rigueur et recueillir les échantillonnages de toutes les substances présentes sur le site », explique le groupe pétrolier dans un communiqué.
Sonatrach ajoute que le site est « un puits d’eau artésien réalisé par un particulier qui, lors des opérations de forage, a débité une substance noirâtre et visqueuse accompagnée d’émanations de gaz, à une profondeur de 90 m ».
Après l’interprétation de l’ensemble des résultats des différentes analyses, Sonatrach affirme que « l’huile issue de ce puits d’eau artésien est une huile moteur très dégradée prouvée par la présence des métaux en quantité importante qui est probablement due à l’usure et la pollution de cette huile ».
Le groupe pétrolier public explique que « des émanations de gaz constatées, le méthane est le principal constituant analysé ». « Il s’agit du biogaz issu de la fermentation de matières organiques animales ou végétales en l’absence d’oxygène », précise Sonatrach. « Enfin, il a été convenu avec les autorités en place de sécuriser le périmètre et de préserver les ressources hydriques de la région à travers le colmatage du puits en question », conclut le communiqué de Sonatrach.
Tout le monde ou presque a conclu que le liquide en question était du pétrole en raison de sa couleur et des émanations de gaz qui y ont suivi son contact avec l’air, et certains avaient même prédit un avenir radieux au fermier.
Du pétrole dans le nord-est de l’Algérie, une région qui n’est pas réputée pour ses gisements d’hydrocarbures, attire forcément l’attention des médias de la planète.
Ce mardi, le groupe Sonatrach a mis fin aux spéculations et au rêve du fermier, qui était sûr et certain que son puits était rempli de pétrole.
« Suite à l’information faisant état d’une venue d’hydrocarbures signalée dans la région d’Ouled Rahmoun, wilaya de Constantine, Sonatrach a dépêché une équipe de spécialistes pluridisciplinaires sur place afin de procéder aux analyses de rigueur et recueillir les échantillonnages de toutes les substances présentes sur le site », explique le groupe pétrolier dans un communiqué.
Sonatrach ajoute que le site est « un puits d’eau artésien réalisé par un particulier qui, lors des opérations de forage, a débité une substance noirâtre et visqueuse accompagnée d’émanations de gaz, à une profondeur de 90 m ».
Après l’interprétation de l’ensemble des résultats des différentes analyses, Sonatrach affirme que « l’huile issue de ce puits d’eau artésien est une huile moteur très dégradée prouvée par la présence des métaux en quantité importante qui est probablement due à l’usure et la pollution de cette huile ».
Le groupe pétrolier public explique que « des émanations de gaz constatées, le méthane est le principal constituant analysé ». « Il s’agit du biogaz issu de la fermentation de matières organiques animales ou végétales en l’absence d’oxygène », précise Sonatrach. « Enfin, il a été convenu avec les autorités en place de sécuriser le périmètre et de préserver les ressources hydriques de la région à travers le colmatage du puits en question », conclut le communiqué de Sonatrach.
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