28-03-2021: Le nouveau directeur général du complexe sidérurgique d'El Hadjar (Annaba), filiale de l'entreprise Sider, relevant du groupe des industries métallurgiques et sidérurgiques Imetal, M. Lotfi Manaâ, a fait savoir que la reprise des activités de production dans toutes les unités du complexe aura lieu dés la validation du planning de travail par le conseil des participations de l'État CPE, soulignant que la priorité aujourd'hui c'est d'assurer la stabilité du complexe et d'augmenter le taux de production afin d'atteindre l'objectif d'exportation stipulé par le conseil d'administration.
M. Manaâa affirmé que le complexe sidérurgique table sur une production de 800 000 tonnes de produits ferreux pour l'année 2021, dont 60 000 tonnes seront destinées à l'exportation, le reste de la production étant destiné à l'approvisionnement de plusieurs projets industriels en Algérie, y compris les usines de construction automobile.
En effet, il s'agit d'une opportunité en or pour les investisseurs dans le secteur de l'industrie automobile en Algérie, et ce en s'approvisionnant en produits ferreux à travers la sous-traitance auprès du complexe sidérurgique d'El Hadjar et en réduisant les dépenses, surtout après l'introduction du nouveau cahier des charges relatif aux conditions et modalités d'exercice de l'activité de construction de véhicules, dont le 14eme article du premier chapitre stipule que dès le démarrage de l’activité, un taux d’intégration minimum de 30% est exigé.
Par ailleurs, l'article 19 de l'annexe I du cahier des charges stipule que tout investissement portant sur la construction de véhicules dans le cadre du régime fiscal préférentiel, doit intégrer la production de châssis et de carrosseries et de toutes parties métalliques embouties ou mécano-soudées, ainsi que leur traitement de surface, peinture et poinçonnage local, au lancement de la construction de véhicules.
autobip
M. Manaâa affirmé que le complexe sidérurgique table sur une production de 800 000 tonnes de produits ferreux pour l'année 2021, dont 60 000 tonnes seront destinées à l'exportation, le reste de la production étant destiné à l'approvisionnement de plusieurs projets industriels en Algérie, y compris les usines de construction automobile.
En effet, il s'agit d'une opportunité en or pour les investisseurs dans le secteur de l'industrie automobile en Algérie, et ce en s'approvisionnant en produits ferreux à travers la sous-traitance auprès du complexe sidérurgique d'El Hadjar et en réduisant les dépenses, surtout après l'introduction du nouveau cahier des charges relatif aux conditions et modalités d'exercice de l'activité de construction de véhicules, dont le 14eme article du premier chapitre stipule que dès le démarrage de l’activité, un taux d’intégration minimum de 30% est exigé.
Par ailleurs, l'article 19 de l'annexe I du cahier des charges stipule que tout investissement portant sur la construction de véhicules dans le cadre du régime fiscal préférentiel, doit intégrer la production de châssis et de carrosseries et de toutes parties métalliques embouties ou mécano-soudées, ainsi que leur traitement de surface, peinture et poinçonnage local, au lancement de la construction de véhicules.
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