Aux financiers internationaux ... je ne sais pas. Peut être que oui, peut être que non. Cela dépend de nombreux paramètres.
Haha, attends attends, je relis pour m'assurer...
Soub7ana moubadil al a7wal
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etc... etc... etc... Il y a des centaines de messages comme ça...
Rendez nous notre Jawzia, le vrai !
Celui qui se moquait du Maroc parce qu'il faisait appel a des fonds internationaux pour son developpement...
Gallek je dormirais moins "idiot" ce soir
Donc l'Algérie faisant appel au FMI .... oublie.
za3ma le FMI c'est pas un financement international...
Le gouvernement algérien finit par s'entendre avec le FMI
Réticent en raison de son coût social, mais désormais sans aucune marge de maneouvre, Alger accepte aujourd'hui un programme d'ajustement du FMI qui ouvre la voie à de nouveaux crédits, et à un rééchelonnement de sa dette extérieure.
Par Daniel Bastien
Publié le 5 avr. 1994 à 1:01
Ce n'est plus qu'une question de jours. Le dernier round de négociations entre l'Algérie et le FMI s'est terminé positivement vendredi dernier à Washington, et une lettre d'intention devrait incessamment être signée entre le Fonds et le gouvernement algérien. Après des années de guerre de tranchées, et deux mois de discussions à l'arraché, celui-ci s'est rangé à l'orthodoxie économique prônée par le Fonds monétaire et les grandes capitales occidentales. Alger a accepté la mise en eouvre d'un plan d'ajustement structurel, et devrait de ce fait disposer rapidement d'un prêt « stand by » de 800 millions de dollars.
Au-delà d'un déblocage de nouveaux crédits par le FMI, cet accord devrait également avoir pour vertu le dégel d'autres crédits multilatéraux (Union européenne - près de 1 milliard de dollars -, et Banque Mondiale, notamment), et surtout la mise en eouvre de crédits bilatéraux de la part de gouvernements rendus prudents face à l'enlisement politique et économique de l'Algérie. Paris avait ainsi explicitement conditionné son soutien financier à Alger à la passation d'un accord préalable avec le FMI.
Un accord avec le Fonds monétaire international constitue par ailleurs traditionnellement le « feu vert » de toute renégociation de la dette d'un pays avec ses créanciers publics ou bancaires. L'Algérie va, de ce point de vue, pouvoir effectuer une opération de « remise à plat » de sa situation financière extérieure, à laquelle elle s'était toujours refusée, mais qui, face à l'équation insoluble de la baisse constante de ses revenus pétroliers et de dépenses d'importation incompressibles, était devenue indispensable.
Après avoir fait du refus de tout rééchelonnement - et donc du réglement « rubis sur l'ongle » de sa dette - le symbole de son indépendance, Alger s'y est aujourd'hui résolu: le réaménagement de la dette est désormais « inéluctable », déclarait récemment le Premier ministre Rheda Malek. A l'image du « reprofilage » de la dette bancaire intervenu en 1992, on peut toutefois s'attendre à ce qu'Alger tienne à mettre certaines formes à un rééchelonnement de sa dette publique par le Club de Paris (14 milliards de dollars sur un total de 26 milliards), autant pour des raisons de politique intérieure que pour ses relations futures avec les marchés financiers internationaux.
Suite de l'article: https://www.lesechos.fr/1994/04/le-g...-le-fmi-879520
Faire appel au FMI, comme l'a fait le Maroc, expose l'état demandeur à un plan d'ajustement structurel avec tout ce que cela implique comme contraintes.
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