Le Premier ministre ukrainien Ioulia Timochenko a assuré samedi que la menace du géant russe Gazprom de réduire d'un quart ses livraisons de gaz vers l'Ukraine ne serait pas exécutée.
"Je suis persuadée qu'aucune coupure n'aura lieu", a-t-elle déclaré au cours d'une conférence de presse, sans toutefois expliquer les raisons de sa confiance.
Elle a dit n'avoir reçu aucun avertissement officiel de la part de Gazprom sur cette éventuelle réduction. "Aucun document officiel (à ce sujet) n'existe", a affirmé le Premier ministre.
Gazprom avait annoncé vendredi l'échec de négociations avec le groupe gazier ukrainien Naftogaz, menaçant de "réduire ses livraisons de gaz à l'Ukraine de 25% à partir du 3 mars à 10H00" (07H00 GMT).
Samedi, les pourparlers entre deux groupes se poursuivaient à Moscou, a fait savoir à l'AFP le porte-parole de Naftogaz, Valentin Zemlianski.
"Les négociations continuent et portent sur le format des livraisons en 2008", notamment la présence ou non d'intérmédiaires, a-t-il précisé sans pouvoir en donner les résultats.
Sans commenter les informations de Naftogaz, le porte-parole de Gazprom Sergueï Kouprianov a pour sa part assuré samedi à l'AFP n'avoir "aucune nouvelle information" sur la crise gazière avec Kiev.
En janvier 2006, une "guerre du gaz" entre Moscou et Kiev avait conduit à une brève interruption de l'approvisionnement en gaz de l'Europe, 80% du gaz russe destiné aux Européens transitant par l'Ukraine.
source : AFP
"Je suis persuadée qu'aucune coupure n'aura lieu", a-t-elle déclaré au cours d'une conférence de presse, sans toutefois expliquer les raisons de sa confiance.
Elle a dit n'avoir reçu aucun avertissement officiel de la part de Gazprom sur cette éventuelle réduction. "Aucun document officiel (à ce sujet) n'existe", a affirmé le Premier ministre.
Gazprom avait annoncé vendredi l'échec de négociations avec le groupe gazier ukrainien Naftogaz, menaçant de "réduire ses livraisons de gaz à l'Ukraine de 25% à partir du 3 mars à 10H00" (07H00 GMT).
Samedi, les pourparlers entre deux groupes se poursuivaient à Moscou, a fait savoir à l'AFP le porte-parole de Naftogaz, Valentin Zemlianski.
"Les négociations continuent et portent sur le format des livraisons en 2008", notamment la présence ou non d'intérmédiaires, a-t-il précisé sans pouvoir en donner les résultats.
Sans commenter les informations de Naftogaz, le porte-parole de Gazprom Sergueï Kouprianov a pour sa part assuré samedi à l'AFP n'avoir "aucune nouvelle information" sur la crise gazière avec Kiev.
En janvier 2006, une "guerre du gaz" entre Moscou et Kiev avait conduit à une brève interruption de l'approvisionnement en gaz de l'Europe, 80% du gaz russe destiné aux Européens transitant par l'Ukraine.
source : AFP