Les cours du brut repartaient hier à la hausse après un bref recul jeudi à la clôture, soutenus par plusieurs facteurs haussiers tels que l’équilibre précaire entre l'offre et la demande mondiale, la dépréciation du dollar et les craintes géopolitiques.
Vers 1h15 GMT, le baril de Brent de la mer du Nord grimpait de 1,25 dollar, à 90,97 dollars, après avoir battu un nouveau record jeudi, à 91,71 dollars.
À la même heure, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de Light Sweet Crude prenait 96 cents, à 94,45 dollars. Il se rapprochait à nouveau du record absolu de 96,24 dollars inscrit jeudi. Les analystes estiment que la baisse (d'environ un dollar) enregistrée jeudi n'était que momentanée, puisque le marché se dirige encore vers de nouveaux record absolus. Depuis le 1er octobre, les prix ont progressé d'environ 12 dollars à Londres et 13 dollars à New York. Pour eux, “il est clair que le marché vise un baril à 100 dollars et que ce cap va être franchi avant la fin de l'année”.
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