Ce n'est pas une surprise, la crise financière va laisser des traces sur la croissance de l'économie, l'an prochain. Le FMI qui tablait jusqu'en juillet dernier sur une hausse de 5,2 % de la richesse mondiale en 2008 s'apprête à ramener son objectif à 4,8 %, indiquaient hier des sources allemandes.
Sans surprise, la correction la plus importante concerne les États-Unis, source de la crise, et seul pays affecté par une vague d'expulsions de leur logement de ménages insolvables. La croissance attendue à 2,8 % n'atteindrait finalement pas 2 % (1,9 %). L'Europe devrait faire mieux : pour la zone euro, la prévision du FMI passe de 2,5 % à 2,1 %. La France et l'Allemagne, auparavant créditées respectivement de 2,3 % et 2,4 %, tombent quant à elles à 2 %.
Même la Chine ne sera pas imperméable à ce ralentissement. Sa richesse devrait s'accroître de seulement 10 %...
Par le Figaro
Sans surprise, la correction la plus importante concerne les États-Unis, source de la crise, et seul pays affecté par une vague d'expulsions de leur logement de ménages insolvables. La croissance attendue à 2,8 % n'atteindrait finalement pas 2 % (1,9 %). L'Europe devrait faire mieux : pour la zone euro, la prévision du FMI passe de 2,5 % à 2,1 %. La France et l'Allemagne, auparavant créditées respectivement de 2,3 % et 2,4 %, tombent quant à elles à 2 %.
Même la Chine ne sera pas imperméable à ce ralentissement. Sa richesse devrait s'accroître de seulement 10 %...
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