Le président de la Chambre Algérienne du Commerce et de l’Industrie à « El Khabar »
10 milliards de dollars échappent au contrôle des impôts
M. Brahim Bendjaber, président de la Chambre Algérienne du Commerce et de l’Industrie, a estimé la valeur monétaire qui n’est pas soumise au contrôle des Impôts et de la recette fiscale à environ 10 milliards de dollars. Il a également expliqué que cela est dû à la croissance permanente du marché parallèle.
M. Bendjaber estime que si on fixe la période d’exemption de l’impôt sur le revenu global, ainsi que de l’impôt sur les bénéfices des entreprises à trois années, cela devrait suffire à réorganiser les revenus fiscaux et à bloquer la croissance du marché parallèle.
M. Bendjaber s’est basé sur les estimations des institutions compétentes, pour expliquer qu’il y a près de deux millions de personnes qui activent dans le marché parallèle. Les estimations indiquent également que la masse salariale est estimée à 120 milliards de dinars par an, et que l’équivalent de 35% de cette somme, soit 42 milliards de dinars ne vont pas aux caisses de la sécurité sociale, à cause du marché parallèle.
10 milliards de dollars échappent au contrôle des impôts
M. Brahim Bendjaber, président de la Chambre Algérienne du Commerce et de l’Industrie, a estimé la valeur monétaire qui n’est pas soumise au contrôle des Impôts et de la recette fiscale à environ 10 milliards de dollars. Il a également expliqué que cela est dû à la croissance permanente du marché parallèle.
M. Bendjaber estime que si on fixe la période d’exemption de l’impôt sur le revenu global, ainsi que de l’impôt sur les bénéfices des entreprises à trois années, cela devrait suffire à réorganiser les revenus fiscaux et à bloquer la croissance du marché parallèle.
M. Bendjaber s’est basé sur les estimations des institutions compétentes, pour expliquer qu’il y a près de deux millions de personnes qui activent dans le marché parallèle. Les estimations indiquent également que la masse salariale est estimée à 120 milliards de dinars par an, et que l’équivalent de 35% de cette somme, soit 42 milliards de dinars ne vont pas aux caisses de la sécurité sociale, à cause du marché parallèle.
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