Par Samia Amine le 28/08/2007 Tout sur l Algerie
Pour nourrir ses salariés, Sonatrach ne regarde pas à la dépense. La société nationale des hydrocarbures s’apprêterait à signer un contrat de 42 millions de dollars avec le groupe français Catering International Services (CIS), spécialisé dans le service hôtelier et la restauration aux entreprises. Contactés par « ******************** », le groupe français et Sonatrach n’étaient pas disponibles pour commenter cette information.
CIS, dont le capital est détenu par trois familles françaises, réalise un chiffre d’affaires annuel d’un peu moins de 100 millions d’euros. Il possède une expérience de plusieurs années dans la gestion la gestion de bases de vie à travers plusieurs pays du monde. Le groupe est notamment implanté dans les pays émergents, dont l’Algérie.
Sonatrach est régulièrement critiquée pour son manque de rigueur en matière de gestion des coûts liés aux frais de restauration et de missions. Mais la société nationale, qui a vu son résultat net s’inscrire en baisse en 2006 malgré une forte hausse des prix du baril de pétrole, n’envisagerait toujours pas de mettre en place une politique de réduction des coûts.
Pour nourrir ses salariés, Sonatrach ne regarde pas à la dépense. La société nationale des hydrocarbures s’apprêterait à signer un contrat de 42 millions de dollars avec le groupe français Catering International Services (CIS), spécialisé dans le service hôtelier et la restauration aux entreprises. Contactés par « ******************** », le groupe français et Sonatrach n’étaient pas disponibles pour commenter cette information.
CIS, dont le capital est détenu par trois familles françaises, réalise un chiffre d’affaires annuel d’un peu moins de 100 millions d’euros. Il possède une expérience de plusieurs années dans la gestion la gestion de bases de vie à travers plusieurs pays du monde. Le groupe est notamment implanté dans les pays émergents, dont l’Algérie.
Sonatrach est régulièrement critiquée pour son manque de rigueur en matière de gestion des coûts liés aux frais de restauration et de missions. Mais la société nationale, qui a vu son résultat net s’inscrire en baisse en 2006 malgré une forte hausse des prix du baril de pétrole, n’envisagerait toujours pas de mettre en place une politique de réduction des coûts.
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