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taux de chômage au Maroc

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  • taux de chômage au Maroc

    Baisse du taux de chômage au Maroc

    Rabat, 09/08 - Le nombre de chômeurs au Maroc, pays dont la population totale est estimée à 30 millions d`habitants, a atteint 1 060 000 personnes au 2ème trimestre de 2007, soit un taux de chômage national de 9,4%, en baisse de 0,6 point par rapport à la même période de l`année dernière, a appris la PANA auprès du Haut commissariat au Plan (HCP).

    Ce taux a cependant augmenté de 1,6 point par rapport au niveau enregistré durant le 2ème trimestre de l`année écoulée (7,8%), quand la population active en chômage s`élevait à 859.000 personnes, précise le HCP.

    Cette hausse a plus affecté les campagnes (+41,5%) que les villes (+20%), note le HCP, ajoutant que le taux de chômage a évolué de 13,3 à 15% en milieu urbain et de 2,4 à 3,4% en milieu rural, entre le 2ème trimestre des années 2006 et 2007.

    La progression du taux de chômage au Maroc, selon la même source, a concerné l`ensemble des catégories de la population, mais a été plus prononcée chez les jeunes de 15 à 34 ans, passant de 12,3 à 14,9%.

    Ce taux est passé de 16,1 à 18,3% pour les diplômés et de 7 à 8,9% pour les femmes.
    http://www.angolapress-angop.ao/noticia-f.asp?ID=551454

  • #2
    le chaumage au Maroc

    Foutaise le chaumage au Maroc dépasse largement les 25% croire aux chiffres communiqués par le Makhzen alors il serait mieux de croire au papa noel

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    • #3
      si la cadence se maintient sur l'annee en entier, on arrivera peut etre a 9.2 ou 9 a la fin 2007, 2006 avait fini avec un taux de 9.7%

      http://www.algerie-dz.com/article8241.html

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      • #4
        le chaumage au Maroc

        Min kuk och tusen mina kukar om arbetslösheten i Marocko är 9,4% det rena rama tomater enligt inofficiella siffror det rör sej mer än 25% den marockanska regeringen försöker dölja de riktiga siffror för folket och utlänska investerare men de sista nämda vet mycket väl on den marockanska ekonomin genom sina ambassader et kansliers kanaler.
        Du Ayoub din lilla bög jävln du brukar böja framfört din mästare och be om att få saker och ting , vi gör inte i mitt hemlandet Algeriet

        Med vänlig hälsning

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        • #5
          Ayoub ne cede pas a la provocation, ca n'en vaut pas la peine.
          Le taux de chomage a augmenté legerement depuis l'année derniere, qui etait une année exceptionelle.
          L'important c'est de consolider les acquis pour avoir une bonne base de départ ^^

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          • #6
            Les taux de chômage annoncés au Maroc et en Algérie me feront toujours sourire. J'aimerais tellement que ce soit vrai ces chiffres mais la réalité est tout autre... je pense qu'une femme qui a fait le ménage chez elle une fois dans l'année doit être considérée active...
            La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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            • #7
              Le travail au noir est comptabilisé au Maroc par approximation, le taux de chomage si on ne compte que les CDI comme vrais emploie doit avoisiné les 15 a 17%.
              Mais la plus part des nouveaux jobs créés sont des CDD au Maroc, ou du travail au Noir, meme si ca se resorbe avec l'implantation d'industriel etrangers qui cherchent de la main d'oeuvre moins chers que chez eux, ils y trouvent leur compte et les gens aussi.
              Au lieu d'etre bonne chez des gens une femme non instruite peut trouver un emploi stable dans une usine avec moins d'heure de travail et mieux rémunéré ^^
              C'est pas la panacé mais on fait avec =)
              Dernière modification par Quasard, 16 août 2007, 08h46.

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              • #8
                oui mon ami dzamsbond ca reste a confirmer mais faut creer des ntreprise et encore creer des entreprise pour faire baisser le taux de chomage.
                c le seul remede

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                • #9
                  après la pénurie des matériaux de construction évoquée il y a un mois, les entreprises découvrent celle des compétences.

                  Pour en avoir, il faut casser sa tirelire ou se contenter de débutants, quitte à investir un peu plus dans la formation sans être sûr de les garder, tant la rareté encourage la mobilité externe. La cause de cette situation est que les secteurs concernés (les technologies de l’information, le textile et les BTP) sont en pleine croissance et que le système de formation n’est pas en mesure, du moins dans le court terme, de pourvoir aux besoins.

                  Dans les TIC, le problème est d’ordre structurel. Bien avant le boom actuel, le pays était déjà en manque d’ingénieurs, toutes spécialités confondues. Entre le public et le privé, il n’en forme que 4 500 par an environ.
                  Après la forte pression de la fin des années 90 et du début de la présente décennie, le marché était revenu à une situation normale jusqu’à ce que l’offshoring provoque une nouvelle montée de la tension. Tous les patrons du secteur interrogés sont unanimes pour dire que la demande de compétences pointues est très forte dans le secteur.

                  Ainsi, Mediha, filiale du groupe BNP spécialisée dans le développement et la maintenance applicative, a triplé son effectif en une année, à 192 personnes, et prévoit de passer à 550 en 2009. Sofrecom, filiale de France Telecom, veut passer de 160 collaborateurs à 500 d’ici 2010. De 110, l’équipe de GFI passera à 250 personnes en 2008. Tout cela sans compter les gros projets annoncés ou en cours de réalisation.

                  La conséquence immédiate est que les salaires à l’embauche ont sensiblement grimpé. Selon Gille Durand, DG de Mediha, ils «sont très certainement à la hausse, mais pour des profils de développeurs expérimentés et des experts».

                  Abdessamad Bouzoubaâ, DGA de Sofrecom, souligne pour sa part que les profils recherchés, essentiellement des ingénieurs débutants, chefs de projets, architectes logiciels et directeurs de projets, existent sur la place mais il faut en moyenne un à deux mois pour un recrutement. Bien entendu, il est contraint de coller aux prix du marché pour rester compétitif.

                  Le DGA de Sofrecom note, en passant, que les salaires peuvent augmenter de 500 à 1 000 DH sur le salaire mensuel en fonction des compétences ou pour encourager la performance et garder les recrues. Quant à GFI, qui soulève le déficit de maîtrise du français, la langue de travail, elle dit appliquer une grille de salaires au-dessus de celle du marché afin de capter les profils intéressants.

                  Pour ses deux activités que sont les sociétés de services et d’ingénierie informatiques (SSII) et l’offshoring, cette société recherche des ingénieurs d’affaires, donc des profils de managers ayant une bonne culture informatique, ainsi que des ingénieurs de grandes écoles ayant la casquette de gestionnaires.

                  Elle est aussi en quête de commerciaux bien rodés, sachant que, travailler dans une SSII, c’est vendre un projet et une expertise. Tous ces profils assez pointus sont difficiles à trouver, d’où l’effort financier consenti. Et l’annonce de l’arrivée en grande pompe de géants de l’offshoring au Maroc n’arrange guère les choses. Selon le PDG d’Omnidata, la plus ancienne et la plus grande SSII, les salaires de certains profils ont grimpé de 20% rien que depuis le mois de septembre 2006.

                  La hausse des salaires des débutants peut impacter la compétitivité du Maroc

                  Cette envolée des salaires suscite naturellement des inquiétudes du fait que l’avantage comparatif du Maroc se situe en partie à ce niveau. Pour M. Durand dont la société a signé un long bail avec le Maroc, «la hausse des salaires des débutants pourrait jouer effectivement en défaveur de la compétitivité du Maroc». Mohamed Benchaaboun, DG de l’Agence nationale de réglementation des télécommunications, qui travaille actuellement sur le chantier des 10 000 ingénieurs à l’horizon 2010, reconnaît que la tension sur les salaires peut inhiber la stratégie offshoring, mais ne s’inquiète pas outre mesure.

                  A l’en croire, le programme mis en œuvre permettra de fournir plus de compétences, ce qui est de nature à maintenir la compétitivité du Maroc au niveau salarial. Il souligne que ce programme porte déjà ses fruits et que les objectifs seront dépassés à l’échéance fixée.

                  En effet, indique M. Benchaaboun, les ingénieurs et assimilés ont augmenté de 20 % par rapport à l’année précédente et le rythme sera maintenu en 2007-2008. Ainsi, au lieu de 10 000 ingénieurs en 2010, on en aura 15 000.

                  Il reste que les besoins sont pressants, que la rareté tire les salaires vers le haut et que la différence de salaires entre Maroc et Europe n’étant dans ce secteur que de 30%, l’intérêt à venir s’installer dans le pays s’érode très vite.

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                  • #10
                    L'ouragan,

                    Toi qui semble être intelligent, t'y crois à ce taux de chomage à 9%?

                    je te donne un tuyau. Tu vas juste dans ton quartier tu files 10 Dh au mouqaddem et il te dira celui qui travaille et celui qui est sans emploi. tu feras l'excercice avce qlq autres moqaddem et tu auras un taux réaliste.

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                    • #11
                      ok augustin tu vas nous faire croire qu en algerie le taux de chomage est plus faible qu au maroc arrete un peu
                      _______________________


                      alors la aucune idée!!

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