Le rapport de l’institut Carnegi, intitulé « Les défis des réformes économiques dans le monde arabe » a considéré que les réformes adoptées par les pays arabes dont l’Algérie ont échoué, tout en précisant que les économies arabes s’appuient sur un système rentier, et qu’elles souffrent d’un manque de productivité.
Après avoir exposé le processus du développement des économies arabes depuis les années 50 et 70, le rapport a indiqué que les chefs d’Etat arabes dans les pays du Golf, l’Algérie et la Libye, qui dépendent principalement des hydrocarbures, ont préféré s’appuyer sur l’Etat afin qu’il joue un rôle central dans la méthode de gestion et de distribution de la richesse, ce qui n’a pas permis au secteur privé de contribuer au développement économique. L’Algérie est devenue un exemple de ce mode de fonctionnement, malgré l’application de politiques qui peuvent indiquer une libéralisation de l’économie, et l’Algérie a continué de s’appuyer sur une matière essentielle dans le produit intérieur brut, qui ne dépend pas de la productivité de l’économie mais de l’écart entre le coût de production et les prix pratiqués sur le marché international.
Le rapport précise que la production est généralement concentrée entre les mains d’une partie de la population.
Selon le rapport de l’instance américaine, les modèles des pays concernés comme l’Algérie souffrent d’une mauvaise distribution du revenu et de la richesse, et d’un taux de chômage élevé.
Par ailleurs, le rapport a indiqué la levée des barrières douanières et la privatisation, mais ce processus a été bloqué, du fait de la négligence du rôle des institutions dans le développement économique.
- El Khabar
Après avoir exposé le processus du développement des économies arabes depuis les années 50 et 70, le rapport a indiqué que les chefs d’Etat arabes dans les pays du Golf, l’Algérie et la Libye, qui dépendent principalement des hydrocarbures, ont préféré s’appuyer sur l’Etat afin qu’il joue un rôle central dans la méthode de gestion et de distribution de la richesse, ce qui n’a pas permis au secteur privé de contribuer au développement économique. L’Algérie est devenue un exemple de ce mode de fonctionnement, malgré l’application de politiques qui peuvent indiquer une libéralisation de l’économie, et l’Algérie a continué de s’appuyer sur une matière essentielle dans le produit intérieur brut, qui ne dépend pas de la productivité de l’économie mais de l’écart entre le coût de production et les prix pratiqués sur le marché international.
Le rapport précise que la production est généralement concentrée entre les mains d’une partie de la population.
Selon le rapport de l’instance américaine, les modèles des pays concernés comme l’Algérie souffrent d’une mauvaise distribution du revenu et de la richesse, et d’un taux de chômage élevé.
Par ailleurs, le rapport a indiqué la levée des barrières douanières et la privatisation, mais ce processus a été bloqué, du fait de la négligence du rôle des institutions dans le développement économique.
- El Khabar
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