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L’investissement extérieur constitue une ligne de force de la politique économique nationale. L’Algérie, à travers la législation mise en place à ce sujet, a souhaité s’ajuster à une réalité politique et économique qui domine aujourd’hui les relations internationales.
La concurrence est pourtant rude sur ce terrain de l’investissement extérieur, car chaque pays a tenu à aller loin dans le sens de la libéralisation pour attirer les capitaux étrangers. La différence ne peut se faire donc qu’à un autre niveau entre les pays. Les spécialistes invoquent plusieurs pistes qui servent un pays dans sa quête d’investissement : la stabilité est généralement celle qui est avancée en tout premier lieu. Viennent ensuite la politique d’équipement, les infrastructures, les performances du secteur financier et bancaire, la transparence dans les relations de l’administration avec les tiers, le foncier.
Sur tous ses aspects, l’Algérie a engagé de profondes réformes qui sont autant de préalables à une bonne conduite de la politique de l’investissement. S’agissant de la réforme financière et bancaire qui constitue la clé de voûte de la politique de développement déjà engagée le grand Argentier du pays vient de rappeler que des résultats positifs sont enregistrés dans le cadre de la mise en œuvre de cette réforme.
Le partenariat, que la stratégie mise en place par le Président de la République a permis, répond également de façon positive aux sollicitations du marché extérieur. L’Algérie a engagé de nombreux accords dans ce domaine à travers la constitution de sociétés d’économie mixte, des joint-ventures, basés sur un équilibre des responsabilités, des charges et des profits à retirer. L’économie nationale telle qu’elle évolue aujourd’hui a engrangé de grandes actions partenariales avec les principaux pays et les principales économies du monde. L’Algérie s’est engagée dans un créneau de ce partenariat dont elle espère tirer quelques dividendes. Il s’agit bien entendu du partenariat Sud-Sud que notre pays encourage fortement en se liant à toutes les actions qui vont dans cette direction-là. Ainsi en est-il du partenariat avec les pays africains, les pays d’Amérique latine et avec les pays arabes. Notre pays a été partie prenante dans toutes les grandes négociations qui ont eu lieu ces dernières année, notamment visant à dynamiser la coopération entre pays du Sud.
De nombreuses opportunités ont été recensées qui mériteraient d’être exploitées plus avantageusement qu’elles ne le sont actuellement. De nombreux secteurs d’activité sont également réceptifs à des actions partenariales, industrie, agriculture, habitat, tourisme notamment. Il y a des groupes d’intérêts arabes, des représentants des milieux d’affaires qui séjournent régulièrement dans notre pays. Les centres de préoccupations de ces milieux d’affaires vont à l’habitat et au tourisme plus particulièrement. Investissements et prospections alternent dans le cadre de l’investissement. Les perspectives sont favorables puisque tout récemment encore, une délégation des Emirats arabes unis, délégation présidée par le Prince héritier et vice-gouverneur de Ras Al Kheïma, cheikh Saoud Ben Saqr Al Qassimi, le Prince héritier s’est dit favorable à l’investissement en Algérie, volonté affichée par son pays. Outre la délégation émiratie, c’est le président de la Chambre de commerce et d’industrie du Koweït, M. Ali Mohamed Al Theniyane Al Ghanim qui a été également l’hôte de l’Algérie. Comme le représentant émirati, le président de la CCIK, s’est dit animé d’une volonté celle de son pays, d’investir en Algérie.
Le représentant koweïtien s’est félicité du soutien apporté par le Président Abdelaziz Bouteflika à l’investissement arabe en Algérie.
Du côté de nos partenaires occidentaux traditionnels, la visite de la présidente du Conseil d’affaires algéro-britannique Lady Olga Maitland est un moment important dans le cadre du partenariat algéro-britannique. La représentante britannique a dit tout l’intérêt qu’elle portait à la place qu’elle occupe pour l’investissement en Algérie, affichant sa disponibilité à continuer le dialogue avec le monde économique algérien, et ses invitations aux milieux d’affaires de son pays pour investir en Algérie.
La concurrence est pourtant rude sur ce terrain de l’investissement extérieur, car chaque pays a tenu à aller loin dans le sens de la libéralisation pour attirer les capitaux étrangers. La différence ne peut se faire donc qu’à un autre niveau entre les pays. Les spécialistes invoquent plusieurs pistes qui servent un pays dans sa quête d’investissement : la stabilité est généralement celle qui est avancée en tout premier lieu. Viennent ensuite la politique d’équipement, les infrastructures, les performances du secteur financier et bancaire, la transparence dans les relations de l’administration avec les tiers, le foncier.
Sur tous ses aspects, l’Algérie a engagé de profondes réformes qui sont autant de préalables à une bonne conduite de la politique de l’investissement. S’agissant de la réforme financière et bancaire qui constitue la clé de voûte de la politique de développement déjà engagée le grand Argentier du pays vient de rappeler que des résultats positifs sont enregistrés dans le cadre de la mise en œuvre de cette réforme.
Le partenariat, que la stratégie mise en place par le Président de la République a permis, répond également de façon positive aux sollicitations du marché extérieur. L’Algérie a engagé de nombreux accords dans ce domaine à travers la constitution de sociétés d’économie mixte, des joint-ventures, basés sur un équilibre des responsabilités, des charges et des profits à retirer. L’économie nationale telle qu’elle évolue aujourd’hui a engrangé de grandes actions partenariales avec les principaux pays et les principales économies du monde. L’Algérie s’est engagée dans un créneau de ce partenariat dont elle espère tirer quelques dividendes. Il s’agit bien entendu du partenariat Sud-Sud que notre pays encourage fortement en se liant à toutes les actions qui vont dans cette direction-là. Ainsi en est-il du partenariat avec les pays africains, les pays d’Amérique latine et avec les pays arabes. Notre pays a été partie prenante dans toutes les grandes négociations qui ont eu lieu ces dernières année, notamment visant à dynamiser la coopération entre pays du Sud.
De nombreuses opportunités ont été recensées qui mériteraient d’être exploitées plus avantageusement qu’elles ne le sont actuellement. De nombreux secteurs d’activité sont également réceptifs à des actions partenariales, industrie, agriculture, habitat, tourisme notamment. Il y a des groupes d’intérêts arabes, des représentants des milieux d’affaires qui séjournent régulièrement dans notre pays. Les centres de préoccupations de ces milieux d’affaires vont à l’habitat et au tourisme plus particulièrement. Investissements et prospections alternent dans le cadre de l’investissement. Les perspectives sont favorables puisque tout récemment encore, une délégation des Emirats arabes unis, délégation présidée par le Prince héritier et vice-gouverneur de Ras Al Kheïma, cheikh Saoud Ben Saqr Al Qassimi, le Prince héritier s’est dit favorable à l’investissement en Algérie, volonté affichée par son pays. Outre la délégation émiratie, c’est le président de la Chambre de commerce et d’industrie du Koweït, M. Ali Mohamed Al Theniyane Al Ghanim qui a été également l’hôte de l’Algérie. Comme le représentant émirati, le président de la CCIK, s’est dit animé d’une volonté celle de son pays, d’investir en Algérie.
Le représentant koweïtien s’est félicité du soutien apporté par le Président Abdelaziz Bouteflika à l’investissement arabe en Algérie.
Du côté de nos partenaires occidentaux traditionnels, la visite de la présidente du Conseil d’affaires algéro-britannique Lady Olga Maitland est un moment important dans le cadre du partenariat algéro-britannique. La représentante britannique a dit tout l’intérêt qu’elle portait à la place qu’elle occupe pour l’investissement en Algérie, affichant sa disponibilité à continuer le dialogue avec le monde économique algérien, et ses invitations aux milieux d’affaires de son pays pour investir en Algérie.