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Banque mondiale : Le Maroc plus impacté par la crise que les pays de la région Mena

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  • Banque mondiale : Le Maroc plus impacté par la crise que les pays de la région Mena

    Une enquête réalisée par la Banque mondiale montre que la récession au Maroc en 2020 est plus forte que la contraction des économies de la région. Idem pour l’impact sur l’activité des entreprises du secteur formel qui se révèle plus sévère que dans d’autres pays dans le monde. Mais la reprise en 2021 sera plus marquée au Maroc que dans les pays comparables, note l’institution.

    Le 14 janvier 2021 à 14:16
    Modifié le 14 janvier 2021 à 20:28

    Les équipes de la Banque mondiale ont présenté ce matin les résultats du rapport de suivi de la situation économique du Maroc. Un rapport semestriel qui fait un focus sur les effets de la pandémie sur l’économie marocaine ainsi que sur l’activité des entreprises du secteur formel, et donne une lecture comparative de ces résultats par rapport à différents pays de la région.

    Premier résultat notable : l’économie marocaine a connu la contraction la plus forte dans la région Mena. Avec une récession de 6,3% (chiffre de la Banque mondiale), le Maroc ressort comme le pays qui a le plus souffert de la crise sur le plan de la croissance. La moyenne de la région Mena se situant autour de -5%. Selon Javier Diaz Cassou, économiste principal pour le Maroc, cet écart s’explique par deux choses :

    - Les restrictions décidées au début de la pandémie qui ont été plus strictes que dans les pays du voisinage. Ces restrictions ont été même plus contraignantes que dans des pays européens qui ont été plus touchés par la pandémie comme l’Espagne ou l’Italie, note-t-il.

    - Et la forte dépendance de l’économie marocaine aux chaînes mondiales de valeur comparée à celles de la région ainsi que le poids du secteur du tourisme dans l’économie du Royaume.

    medias24

  • #2
    Parceque cette suite n'arrange pas nos desseins.

    Le Maroc, économiquement, s'en sort assez bien au vue du pays de notre région,des exemples :
    Presque 75 % des PME ont gardé leurs activités et leurs employés.
    L'autosuffisance alimentaire est préservé malgré la sécheresse..
    Les grands employeurs continuent d'investir et de recruter.

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    • #3
      Normal, le Maroc est une société de services, tout comme l'Espagne,
      des économies très dépendantes du tourisme, comme la France d'ailleurs.
      L’immigration et l’islam sont deux sujets distincts, mais dont la corrélation n’est pas sans incidence sur le destin français.

      Jean Sevilla journaliste français

      Commentaire


      • #4
        Bienvenue je l'ai déjà publié depuis le 15 Janvier

        http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=480083

        Commentaire


        • #5
          Le Maroc, économiquement, s'en sort assez bien au vue du pays de notre région,des exemples :
          Sans blague !!
          Presque 75 % des PME ont gardé leurs activités et leurs employés.
          Tu vis dans quelle planète ?

          Juste en reprenant des publications marocaines :
          • 37,5% d’entre elles ont ainsi diminué leurs effectifs durant cette période, principalement les grandes entreprises, qui ont licencié 41,9% de leurs employés,
          • suivies des PME (33,4%) et des TPE (39,3%).
          • Pis, certaines entreprises ont même remercié plus de la moitié de leurs employés, en l’occurrence 64% de celles qui s’activent dans l’hébergement et la restauration et 56% qui opèrent dans le secteur de la construction.

          Et pour boucler la boucle et montrer combien tu es ignorant :
          • Près de 81% n’envisagent pas un projet d’investissement en 2021, 3,9% prévoient une baisse du niveau d’investissements, indique le HCP.

          L'autosuffisance alimentaire est préservé malgré la sécheresse..
          De mal en pis ! La facture alimentaire du Maroc avoisine les 50 milliards de DH
          Dernière modification par jawzia, 28 janvier 2021, 12h49.

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          • #6
            et bien sur tu n'as pas posté le reste de l'article qui est assez optimiste pour la suite concernant la situation au maroc, toujours aussi "honnête" Jawz....

            Commentaire


            • #7
              D'ailleur on parle de facture alimentaire de 50 milliars de DH mais on oublie les exportation alimentaire du Maroc de 57 milliards de DH ( sur 11 mois )

              Commentaire


              • #8
                De mal en pis ! La facture alimentaire du Maroc

                Tu dois certainement vivre au Maroc pour le méconnaitre aussi misérablement,parceque ce que tu écris comme débilités est tout simplement affligeant.




                Médias24 -
                AGRICULTURE
                Le Maroc maintient son autosuffisance en aliments à forte consommation

                Y. J.
                Le 26 janvier 2021 à14:32Modifié le 26 janvier 2021 à 14:45
                Malgré une conjoncture difficile en 2020 due à la faiblesse des précipitations et aux circonstances de l'état d'urgence sanitaire, l'agriculture marocaine réussit à couvrir le besoin national et à répondre à la demande interne.


                A la Chambre des représentants, le ministre de l'Agriculture, Aziz Akhannouch, a rassuré sur les besoins en produits de fortes consommation au Maroc.

                Le Royaume réalise un taux d'autosuffisance de 65% pour les céréales, 47% pour le sucre, 100% pour les fruits et légumes, les viandes rouges et blanches et les œufs, et de 99% pour le lait et dérivés.

                Interpellé sur l'autosuffisance en céréales, le ministre a expliqué que "pour atteindre cet objectif, nous devons transférer les deux tiers de la surface irriguée et les allouer à cette culture, sachant qu'elle ne génère pas de revenus élevés. Dans le meilleur des cas, la culture des céréales peut générer un bénéfice annuel de 3.500 DH par hectare (au détriment d'autres cultures qui peuvent générer entre 6.000 DH et 10.000 DH)".

                Parvenir à cette autosuffisance signifie l'ajout de 900.000 hectares de terres irriguées aux 300.000 actuelles et une perte de 20 milliards de DH de la valeur totale des cultures en irrigué, qui représentent aujourd'hui plus du double des importations de céréales et de légumineuses, sans compter les matières dont la production s'arrêtera et qu'on devra importer", a-t-il expliqué.

                Maintenir la tendance haussière des exportations
                Le Royaume a su maintenir une cadence de production suffisante en 2020, pour préserver la tendance haussière des exportations, avec une productivité à des niveaux raisonnables, a relevé le ministre de l'Agriculture.

                En effet, les exportations de fruits et légumes ont totalisé 474.900 tonnes jusqu'en janvier 2021, en hausse de 9% par rapport à la saison précédente, a précisé le ministre.

                Ces exportations se répartissent comme suit: 260.100 tonnes de tomates (+1%), 286.300 d'agrumes (+12%), 477.800 tonnes de produits agricoles transformés (hors sucre et dérivés), en hausse de 12 %, dont 69.800 tonnes de fraise congelée (+2%), 21.200 tonnes jus de fruits et nectar (+28%), 813.300 tonnes d'exportations de produits de pêche (+7%).

                Le secteur agricole a réussi à maintenir une cadence soutenue en matière d'exportations, passant de 17,2 milliards de DH en 2010 à près de 40 milliards la saison dernière, soit une progression de 130%.

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                • #9
                  méconnaitre aussi misérablement
                  Celui qui ne fait pas la différence entre l'alimentaire et l'agricole n'est même pas misérable, il est simplement ... "notoirement ignare".


                  Importations alimentaires Onze premiers mois de 2020



                  Les 50 milliards d'importation en biens alimentaires ne sont qu'un point de détail. L'essentiel est ailleurs :
                  • 37,5% d’entre elles ont ainsi diminué leurs effectifs durant cette période, principalement les grandes entreprises, qui ont licencié 41,9% de leurs employés,

                  • suivies des PME (33,4%) et des TPE (39,3%).

                  • Pis, certaines entreprises ont même remercié plus de la moitié de leurs employés, en l’occurrence 64% de celles qui s’activent dans l’hébergement et la restauration et 56% qui opèrent dans le secteur de la construction.

                  • Près de 81% n’envisagent pas un projet d’investissement en 2021, 3,9% prévoient une baisse du niveau d’investissements, indique le HCP.
                  Dernière modification par jawzia, 28 janvier 2021, 14h36.

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