Au contraire. C'est pour souligner le sens figuré du terme que les récents événements ont rappelé.
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Crise économique en Algérie : Les commerçants appelés à vendre à « crédit »
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Le président algérien a accusé certaines forces occultes d'être responsables du manque d'argent en Algérie, il désigne certains pays, certaines forces d'être les premiers responsables. Dans quelques jours on apprendra sûrement que c'est de la faute du Maroc et d'Israël, pour le moment il n'a pas encore designer de responsables. Mais quelques jours avant le premier ministre disait que c'était une opération voulue est calculée par le pouvoir.
Bref maintenant qu'en est-il vraiment forces occultes ou opérations du pouvoir algérien, bref même au sommet de l'état ils ne savent plus sur quel pied danser c'est incroyable.
Par contre ce qui n'est pas étonnant c'est que les experts d'ici n'ont plus de graphique sous la main pour expliquer cette situation inédite !
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blabla.... toujours la même réponse, à défaut d'arguments
gardes tes leçons pour toi
https://www.youtube.com/watch?v=cLkTYfvEJZ0
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Voici le titre du thread:
Crise économique en Algérie : Les commerçants appelés à vendre à « crédit »
Je comprends pas pourquoi tu parles du Maroc si ce n'est autre que pour éviter le sujet par manque d'argument !
Après je comprends ta gêne !
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Ils viennent encore une fois nous faire la leçon pour une dette éventuelle et future ?.
Les marocains sont déjà endettés.
Extrait 1
La dette bancaire des ménages monte à 360 milliards de DH ou 31% du PIB
| LE 28-07-2020
Dans son rapport 2019 sur la supervision bancaire, Bank Al Maghrib révèle une hausse de 5,1% de la dette bancairedes ménages. Malgré un ralentissement des crédits à l’habitat, les crédits à la consommation booste la dette des ménages à 359 milliards de dirhams. Les détails.
Financement à la consommation: on s'endette plus, sur la même durée
Autre segment de la dette des ménages,
le crédit à la consommation a atteint un encours de
132 milliards de dirhams,
en hausse de 7,2% par rapport à 2018. « Cette tendance concerne aussi bien les crédits distribués par les sociétés de crédit à la consommation (+7,4% contre 8%) que les banques (7,4% contre 6,2%) », indique BAM dans son rapport annuel.
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