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Le thème des nouvelles technologies de la communication et la sécurité des réseaux a été au centre d'une rencontre qui a regroupé hier à l'hôtel Aurassi des experts de la société suédoise Ericsson et des responsables des institutions publiques, d'Algérie Télécom ainsi que de ses filiales.
La réflexion a porté sur deux thèmes, le rôle des TIC dans la sécurité publique, les applications électroniques et les réseaux mobiles de 3ème génération.
Dans une allocution prononcée à l'ouverture des travaux, le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Boudjemaâ Haïchour, a affirmé que la sécurité des communications constitue pour l'Algérie une préoccupation majeure qui incite à se doter d'infrastructures de télécommunications modernes, fiables et sécurisées qui soient «en mesure de répondre aux besoins des institutions spécialisées et des acteurs économiques».
Il a soutenu que les thèmes qui seront débattus au cours de cette rencontre sont d'une importance sensible. Haïchour a estimé que la participation des experts de l'équipementier Ericsson à cette rencontre permettra de «renforcer la capacité de notre pays à progresser vers le futur en y intégrant les dernières innovations technologiques». Il relèvera l'importance de développer des réseaux stratégiques performants, mettant l'accent sur la nécessité d'assurer des niveaux optimums de «sécurité» et de «confidentialité» des données et des communications échangées sur les réseaux. M. Johan Lallerstedt, directeur Afrique du Nord pour Ericsson, qui rappelle que cette dernière totalise 35 années de présence sur le marché algérien, a affirmé que l'équipementier est disposé à porter à un niveau supérieur le partenariat avec l'Algérie.
De sorte à permettre un transfert de technologie au profit des opérateurs algériens et offrir des possibilités de concrétiser les programmes de développement des nouvelles technologies dans le domaine de la santé, l'enseignement, l'entreprise... Comme il le fait présentement avec Algérie Télécom et sa filiale Mobilis.
Commentant l'opération Ousratic, il dira que l'Algérie a lancé là un projet ambitieux et louable. Puisque l'objectif est d'équiper chaque famille d'ici 2010 d'un PC. Cela autorisera, à ses yeux, «une bonne pénétration des nouvelles technologies au sein de la société et une application large». Répondant au souci exprimé par le ministre de la poste et des TIC, il soulignera qu'Ericsson «a mis l'impératif de sûreté publique au coeur de ses solutions». Evoquant les différents secteurs qui peuvent bénéficier du développement des TIC pour assurer un développement socio-économique, le représentant d'Ericsson en Afrique du Nord a affirmé que «le haut débit +Broadband every where+ est le complément idéal des initiatives TIC en Algérie».
Pour Boudjemaâ Haïchour, l'enjeu est de pouvoir «prendre ses dispositions pour assurer la sécurité des réseaux et protéger les données des entreprises et des citoyens également». Cette rencontre qui s'est déroulée à huis clos sera l'occasion aux institutions de l'Etat de «profiter des expériences en la matière» par un échange de données.
Selon le ministre, le pays devra être capable d'assurer «une confidentialité et une sécurité des données», face notamment au danger de la cybercriminalité et du terrorisme. Et de rappeler que la situation des TIC en Algérie a sensiblement évolué en 5 ans, citant l'exemple du niveau du réseau en fibre optique qui est passé de 6.500 à 48.000 km.
Par Le Quotidien d'Oran
La réflexion a porté sur deux thèmes, le rôle des TIC dans la sécurité publique, les applications électroniques et les réseaux mobiles de 3ème génération.
Dans une allocution prononcée à l'ouverture des travaux, le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Boudjemaâ Haïchour, a affirmé que la sécurité des communications constitue pour l'Algérie une préoccupation majeure qui incite à se doter d'infrastructures de télécommunications modernes, fiables et sécurisées qui soient «en mesure de répondre aux besoins des institutions spécialisées et des acteurs économiques».
Il a soutenu que les thèmes qui seront débattus au cours de cette rencontre sont d'une importance sensible. Haïchour a estimé que la participation des experts de l'équipementier Ericsson à cette rencontre permettra de «renforcer la capacité de notre pays à progresser vers le futur en y intégrant les dernières innovations technologiques». Il relèvera l'importance de développer des réseaux stratégiques performants, mettant l'accent sur la nécessité d'assurer des niveaux optimums de «sécurité» et de «confidentialité» des données et des communications échangées sur les réseaux. M. Johan Lallerstedt, directeur Afrique du Nord pour Ericsson, qui rappelle que cette dernière totalise 35 années de présence sur le marché algérien, a affirmé que l'équipementier est disposé à porter à un niveau supérieur le partenariat avec l'Algérie.
De sorte à permettre un transfert de technologie au profit des opérateurs algériens et offrir des possibilités de concrétiser les programmes de développement des nouvelles technologies dans le domaine de la santé, l'enseignement, l'entreprise... Comme il le fait présentement avec Algérie Télécom et sa filiale Mobilis.
Commentant l'opération Ousratic, il dira que l'Algérie a lancé là un projet ambitieux et louable. Puisque l'objectif est d'équiper chaque famille d'ici 2010 d'un PC. Cela autorisera, à ses yeux, «une bonne pénétration des nouvelles technologies au sein de la société et une application large». Répondant au souci exprimé par le ministre de la poste et des TIC, il soulignera qu'Ericsson «a mis l'impératif de sûreté publique au coeur de ses solutions». Evoquant les différents secteurs qui peuvent bénéficier du développement des TIC pour assurer un développement socio-économique, le représentant d'Ericsson en Afrique du Nord a affirmé que «le haut débit +Broadband every where+ est le complément idéal des initiatives TIC en Algérie».
Pour Boudjemaâ Haïchour, l'enjeu est de pouvoir «prendre ses dispositions pour assurer la sécurité des réseaux et protéger les données des entreprises et des citoyens également». Cette rencontre qui s'est déroulée à huis clos sera l'occasion aux institutions de l'Etat de «profiter des expériences en la matière» par un échange de données.
Selon le ministre, le pays devra être capable d'assurer «une confidentialité et une sécurité des données», face notamment au danger de la cybercriminalité et du terrorisme. Et de rappeler que la situation des TIC en Algérie a sensiblement évolué en 5 ans, citant l'exemple du niveau du réseau en fibre optique qui est passé de 6.500 à 48.000 km.
Par Le Quotidien d'Oran