Un pétrole à 50 ou 60 dollars le baril semblait convenir à tout le monde, producteurs et consommateurs y trouvaient leur compte, alors qu'une partie de l'humanité s'acheminait vers l'après-pétrole.C'était sans compter le coronavirus qui est venu bouleverser cet agencement mondial. Le cours du brut s'est effondré et est même devenu négatif.Coronavirus : la fin du pétrole... cher ?
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Coronavirus : la fin du pétrole... cher?
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Un pétrole à 50 ou 60 dollars le baril semblait convenir à tout le monde,
il y a quelque mois personne n'aurait parier sur un pétrole a -37 dollars et pourtant c'est t'arriver .
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L'économie est d'une complexité telle qu'elle en est imprévisible. Personne ne pourra prédire le prochain choc ou la prochaine crise. Conséquence on voit sur le net une pléiade de prophète de malheur prédire tous les jours la prochaine crise.
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