- Le Maroc voit se développer d'un oeil favorable l'idée d'une communauté euroméditerranéenne, après avoir renoncé à refaire acte de candidature pour être membre de l'Union européenne, écrit jeudi le journal économique français La Tribune. du 15 mars 2007
""Il s'agirait, comme les textes européens le permettent, de créer une coopération renforcée entre huit pays européens (Portugal, Espagne, France, Italie, Grèce, Chypre, Malte et Allemagne) et le Maroc, relève le quotidien, citant le ministre espagnol des Affaires étrangères, Miguel Angel Moratinos pour qui le Royaume bénéficierait d'un statut de ""quasi-membre"" de l'UE, à l'exclusion de son implication dans les institutions européennes.
Après avoir fait état de l'inexistence d'un marché maghrébin intégré, le journal estime que ce nouveau statut permettra au Maroc de s'assurer une croissance minimale annuelle de 6 pc pour réduire le taux de pauvreté et de chômage et faire face aux effets de la mondialisation.
Selon Jean-Louis Guigou, président d'un centre d'analyses euroméditerranéen, le projet d'une communauté euroméditerranéenne englobant le Maroc aurait le soutien des trois principaux candidats à la présidentielle française.
Le Liban pourrait être le deuxième pays à bénéficier de ce statut, croit savoir le quotidien.
""Il s'agirait, comme les textes européens le permettent, de créer une coopération renforcée entre huit pays européens (Portugal, Espagne, France, Italie, Grèce, Chypre, Malte et Allemagne) et le Maroc, relève le quotidien, citant le ministre espagnol des Affaires étrangères, Miguel Angel Moratinos pour qui le Royaume bénéficierait d'un statut de ""quasi-membre"" de l'UE, à l'exclusion de son implication dans les institutions européennes.
Après avoir fait état de l'inexistence d'un marché maghrébin intégré, le journal estime que ce nouveau statut permettra au Maroc de s'assurer une croissance minimale annuelle de 6 pc pour réduire le taux de pauvreté et de chômage et faire face aux effets de la mondialisation.
Selon Jean-Louis Guigou, président d'un centre d'analyses euroméditerranéen, le projet d'une communauté euroméditerranéenne englobant le Maroc aurait le soutien des trois principaux candidats à la présidentielle française.
Le Liban pourrait être le deuxième pays à bénéficier de ce statut, croit savoir le quotidien.
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