Le gouvernement veut s'attaquer au Square de Port Saïd, le principale marché noir de devises d'Alger. Mais il ne procédera pas de façon directe et brutale, préférant la manière détournée. C'est ce que fait savoir le ministre des finances Mohamed Loukal dans une intervention devant les députés de l'APN.Le ministre des finances pense que le gouvernement pourra affaiblir cet « espace » en s'attaquant à certaines pratiques qui s'appuient sur le Square. « Si nous réussissons à arrêter les opérations des auteurs des surfacturations et de l'évasion fiscale, le marché va s'affaiblir », a indiqué Mohamed Loukal.Pour lui, c'est de cette façon que la lutte contre le marché informel des devises sera plus efficace. Donc, à l'entendre, l'histoire de*l'ouverture des bureaux de change*n'aura pas de répercussions sur le marché noir des devises. Pourtant, de nombreux spécialistes ont encensé cette idée qui aurait pu contribuer à l'effort d'affaiblissement du Square et son influence négative sur l'économie nationale.
Actions détournées pour affaiblir le marché noir des devises
En effet, le gouvernement opte depuis quelques années pour des actions détournées, comme celle qui consiste à obliger les Algériens à placer dans les banques leur argent en devises étrangères pour des opérations. Y compris, celles qui n'entrent pas dans le domaine économique absolu. Histoire d'intégrer les grandes sommes en euro et en dollar du marché noir, dans le circuit formel.D'ailleurs, dans ce sens, il est question d'obliger les citoyens intéressés par le Hadj ou la Omra de régler des frais de leur séjour en Arabie saoudite, à partir de l'Algérie. Et ce, dans le même but de ramasser les devises qui enrichissent les trafiquants au détriment de l'Etat. C'est aussi dans le même esprit que l'État compte obliger les Algériens à ouvrir des comptes en devises pour pouvoir importer des véhicules de mois de trois ans.
Trop de devises dans le marché informel
Aux yeux des gouvernants, c'est la seule manière de récupérer ces grosses sommes qui nourrissent le marché informel. Tout simplement parce que le*marché noir*compte tellement d'argent en monnaies étrangères qu'il est capable de provoquer l'effondrement de l'économie et même des institutions de l'État. Et qui peut avoir des sommes pareilles si ce n'est des opérateurs bien introduits dans la sphère du pouvoir ou même des personnes qui sont carrément dedans ? Observalgerie
Actions détournées pour affaiblir le marché noir des devises
En effet, le gouvernement opte depuis quelques années pour des actions détournées, comme celle qui consiste à obliger les Algériens à placer dans les banques leur argent en devises étrangères pour des opérations. Y compris, celles qui n'entrent pas dans le domaine économique absolu. Histoire d'intégrer les grandes sommes en euro et en dollar du marché noir, dans le circuit formel.D'ailleurs, dans ce sens, il est question d'obliger les citoyens intéressés par le Hadj ou la Omra de régler des frais de leur séjour en Arabie saoudite, à partir de l'Algérie. Et ce, dans le même but de ramasser les devises qui enrichissent les trafiquants au détriment de l'Etat. C'est aussi dans le même esprit que l'État compte obliger les Algériens à ouvrir des comptes en devises pour pouvoir importer des véhicules de mois de trois ans.
Trop de devises dans le marché informel
Aux yeux des gouvernants, c'est la seule manière de récupérer ces grosses sommes qui nourrissent le marché informel. Tout simplement parce que le*marché noir*compte tellement d'argent en monnaies étrangères qu'il est capable de provoquer l'effondrement de l'économie et même des institutions de l'État. Et qui peut avoir des sommes pareilles si ce n'est des opérateurs bien introduits dans la sphère du pouvoir ou même des personnes qui sont carrément dedans ? Observalgerie
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