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Grosses pénuries de lait : la vache qui ne rit plus

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  • #16
    Oui réduire les importations d'armes permettra de mieux nourrir la population. Elle permettra au pays de pouvoir importer du vrai lait et non pas de la poudre de lait qu'on réhydrate en faisant croire aux gens que c'est du lait.
    ok, je cesse de discuter avec toi...
    T'es trop borné.
    ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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    • #17
      ok, je cesse de discuter avec toi...
      T'es trop borné.
      Qu'est ce qui ne te convient pas dans ce que je dis ? En quoi j'ai tord ?

      Moi je veux bien parler avec toi à condition que tu ne m'insultes pas comme les autres fois.

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      • #18
        La situation des finances algériennes est encore assez confortable. Le problème se situe dans l'absence de perspectives, au prix du pétrole actuel, le temps jouent contre les finances dz. Mais bon, la demande va en augmentant, les prix peuvent repartir à la hausse.

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        • #19
          Pourtant le pays réagit comme si il était au bord du précipice ! C'est étonnant pour un pays semble bénéficier d'un volume de réserve de change confortable !

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          • #20
            Elle l'est encore aujourd'hui, mais l'absence de perspective, de solution apportée pour pallier la chute des réserves de change fait de l'Algérie un pays où il est très risqué d'investir. La confiance est un indispensable pour ramener des investisseurs.

            Pour le reste, espérer qu'au cours actuel, c'est à dire en espace de moins de cinq ans, l'Algérie puisse diversifier suffisamment son économie, alors quel offre des perspective peu rassurante aux investisseurs étranger, cela semble impossible.

            Dans l'état actuel, je penses que seul une remontée des cours du pétrole peut sauver l'Algérie.

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            • #21
              Il faut au moins 20 ans pour diversifier une économie en 5 ans c'est impossible !

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              • #22
                " Le problème ne vient pas de la France. Pour ce qui concerne le blé l'Algérie n'a pas le choix. Elle est obligé d'importer son blé qu'il soit, françai, russe, australien ou américain."

                Logique puisque l'Algérie fait toujours un deal avec ses clients. A savoir blé contre pétrole ou gaz et d'où sa place privilégiée.

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                • #23
                  Logique puisque l'Algérie fait toujours un deal avec ses clients. A savoir blé contre pétrole ou gaz et d'où sa place privilégiée.
                  en gros pétrole contre nourriture, comme le faisait Saddam quand il était.....sous embargo.

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                  • #24
                    Extrait d'un entretien avec Abdelghani Bessaha: il a travaillé dans de nombreux secteurs en Algérie, staff du FMI pendant 28 ans, il est spécialiste de macroéconomie et des pays fragiles et en post-conflits (Soudan, Rwanda, Burundi, Afghanistan, Haïti, entre autres). Conseiller en macroéconomie de quelques gouvernements dans le monde et professeur d’économie aux Etats-Unis:

                    elwatan, 24 JUIN 2019

                    L’Algérie, un pays qui pourrait rejoindre le peloton des pays émergents, n’a pas de visibilité économique. Pourquoi ? Trois éléments fondamentaux: premier point, l’articulation d’une stratégie à long terme qui donne la visibilité économique au pays vis-à-vis de tous ses partenaires domestiques et extérieurs.

                    Peut-être que nous avons une stratégie mais rares sont ceux qui la connaissent. Ceci me mène au second point, l’absence d’une politique de communication sur le plan économique lequel est aujourd’hui la pierre angulaire des relations internationales.

                    A part quelques roadshows qui ont toujours privilégié le mercantilisme à court terme de façon brouillonne, d’ailleurs rien n’est fait sur le plan de la stratégie économique et des politiques publiques que nous voulons mettre en œuvre. Dans un monde qui plonge dans l’information en continu comment être absent ? Dernier point, notre climat des affaires est contraignant.

                    Un système bancaire archaïque, un marché des changes squelettiques, un marché financier anémié, une administration tatillonne, un cadre juridique pour l’investissement international et domestique inadéquat, etc., sont autant de facteurs de blocage qui ne permettent pas de placer la destination Algérie dans les cercles internationaux du business.

                    Doit-on rappeler qu’aucune nation dans le monde ne peut se développer sur la base de ses propres ressources uniquement. L’épargne internationale est incontournable pour assurer une croissance élargie et inclusive et créer de l’emploi. L’Algérie a les moyens de relancer son économie, réduire son chômage et accroître les revenus de la population. Mais faisons- le vite.

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                    • #25
                      " en gros pétrole contre nourriture, comme le faisait Saddam quand il était.....sous embargo. "

                      L'Algérie n'est pas sous embargo et donc votre comparaison est puérile. En Afrique, peu de pays peuvent allouer 10 milliards de dollars annuellement à son armée et partant, l'Algérie n'a rien à craindre.

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                      • #26
                        Logique puisque l'Algérie fait toujours un deal avec ses clients. A savoir blé contre pétrole ou gaz et d'où sa place privilégiée.
                        Faux ! Quand elle achète elle paye en devise l'Algérie est un importateur comme n'importe quels autres pays. La Russie, les USA ou l'Australie sont aussi des fournisseurs qui n'attendent pas du pétrole en échange.

                        Comme le dit Mtim ça fait penser à l'Irak au temps de l'embargo US.

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                        • #27
                          " Faux ! Quand elle achète elle paye en devise l'Algérie est un importateur comme n'importe quels autres pays. La Russie, les USA ou l'Australie sont aussi des fournisseurs qui n'attendent pas du pétrole en échange."

                          Mais comment obtient l'Algérie ces devises? Par la vente de ses hydrocarbures aux pays qui lui fournissent des aliments. C'est du donnant-donnant.

                          L'Algérie est la nation la moins endettée du Maghreb avec 1% de son PIB.

                          A l'inverse, le Maroc doit recourir au voleur FMI pour scolariser ses enfants!:22:

                          - Maroc: 500 millions $ de la Banque mondiale pour élargir l’accès à l’éducation préscolaire

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                          • #28
                            Je ne vois pas de pénurie de lait , tous les magasins et supérettes sont bourrés de lait que ce soit en pack ou en poudre ou même en lait concentré , alors cessons de mentir
                            Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
                            (Paul Eluard)

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                            • #29
                              Mais comment obtient l'Algérie ces devises? Par la vente de ses hydrocarbures aux pays qui lui fournissent des aliments. C'est du donnant-donnant.

                              L'Algérie est la nation la moins endettée du Maghreb avec 1% de son PIB.

                              A l'inverse, le Maroc doit recourir au voleur FMI pour scolariser ses enfants!

                              - Maroc: 500 millions $ de la Banque mondiale pour élargir l’accès à l’éducation préscolaire
                              L'Algérie est un acheteur dépendant des importations et des prix internationaux. Le Maroc est un exportateur excédentaire. L'Algérie peut avoir des milliards en banque en cas de problème elle pourra essayer de manger des billets de banque. Le Qatar a essayer il y a un peu plus d'un an il n'y est pas arrivé.

                              Le confond pas un pays exportateur excédentaire de produit alimentaire avec un pays importateur déficitaire !

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