Presque une année après la deuxième phase du Sommet Mondial sur la Société de l'Information qui a eu lieu à Tunis en novembre 2005, un air de SMSI flotte encore sur la Tunisie ! Il y a quelques jours, Zouheir M'dhaffar, ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de la fonction publique et du développement administratif, prenait part les 18 et 19 octobre 2006, au forum mondial sur la démocratie et l'e-administration, organisé du 18 au 20 octobre à Issy les Moulineaux en France.
M'dhaffer y avait reçu, au nom de la Tunisie le prix de la "Citoyenneté Numérique Universelle" des mains du Sénateur Philipe Adnot, sénateur de l'Aube. Un prix décerné par l'ONU et UNITAR qui étaient à cette occasion représentés par Mme Louise Lassonde de l'UNITAR.
Au cours de la séance consacrée à l'examen des moyens susceptibles d'accélérer le processus de réforme administrative dans le but de les adapter aux exigences du développement global, M'dhaffar a été invité à parler des réalisations de la Tunisie , en matière de e-gouvernement ou e-administration et a surtout souligné les spécificités de l'approche tunisienne en matière de développement administratif.
Avec différents services mis à la disposition du citoyen, la Tunisie a en effet de quoi s'enorgueillir, des services tels que Madaniya pour l'accès à distance de tous les documents civils ou la plateforme d'enregistrement universitaire à distance, les universités virtuelles, le e-learning ou encore TTN pour la dématérialisation des documents du commerce extérieur, le pays peut même dire qu'il a fait des pas de géants en matière de e-gov par rapport à d'autres pays !
«En Tunisie, dira en substance le ministre, nous avons créé depuis juillet 2005, une unité de veille et de prospective administrative. Nous suivons de près tous les classements de notre pays dans cette course à l'amélioration de l'environnement des affaires. Nous analysons tous les indicateurs de notre environnement légal et physique, ainsi que les indicateurs de qualité de nos services administratifs et publics».
Le ministre a souligné, dans ce contexte, la nécessité, pour toutes les parties, d'intensifier les efforts afin de garantir l'utilisation optimale des nouvelles technologies de la communication et de l'information pour offrir de meilleurs services aux citoyens à travers l'établissement de formules de partenariat avancées entre les secteurs public et privé.
Le ministre n'a pas été le seul représentant de la Tunisie dans cette manifestation qui avait réuni institutionnels et industriels du TIC, pourvoyeurs de services informatiques et donneurs d'ordres internationaux. On aurait aimé voir l'administration tunisienne et ses différentes applications informatiques à cette manifestation, il y avait quand même au moins 3 entreprises tunisiennes qui y avaient pris part sous le drapeau tunisien et avaient pu, de leurs aveux, faires d'intéressantes rencontres !
Surfant sur cette vague d'un SMSI renouvelé, et se tournant vers un marché des plus potentiels pour son industrie des TIC, la Tunisie organise aujourd'hui à Hammamet une importante rencontre ; le « Forum de Tunis ICT4All » qui traitera du thème de l'investissement dans les TIC en Afrique. Ce forum vise à contribuer au débat sur la manière d'améliorer la diffusion des technologies de l'information et de la communication en Afrique. La rencontre qui réunira plusieurs personnalités, internationales et africaines, aura à se pencher principalement sur la promotion du développement des TIC à travers l'investissement dans les infrastructures et les compétences ainsi que sur les moyens de stimuler l'intérêt des investisseurs potentiels dans les TIC en Afrique.
Il faut rappeler à ce sujet, que « Le TIC pour Tous » ou ICT 4 all, a été l'une des principales composantes de la deuxième phase du Sommet Mondial sur la Société de l'Information, qui a eu lieu à Tunis en novembre 2005, et ce en constituant une opportunité unique pour un échange de vues sur les différentes questions relatives à l'instauration d'une société de l'information à l'échelle universelle. C'est le succès enregistré par ICT4All et la grande diversité des sujets traités pendant le Sommet, mais certainement aussi les expériences acquises en matière d'administration électronique par les entreprises tunisiennes, privées et publiques, qui ont incité le gouvernement tunisien à organiser sur pied des partenariats dans ce domaine.
M'dhaffer y avait reçu, au nom de la Tunisie le prix de la "Citoyenneté Numérique Universelle" des mains du Sénateur Philipe Adnot, sénateur de l'Aube. Un prix décerné par l'ONU et UNITAR qui étaient à cette occasion représentés par Mme Louise Lassonde de l'UNITAR.
Au cours de la séance consacrée à l'examen des moyens susceptibles d'accélérer le processus de réforme administrative dans le but de les adapter aux exigences du développement global, M'dhaffar a été invité à parler des réalisations de la Tunisie , en matière de e-gouvernement ou e-administration et a surtout souligné les spécificités de l'approche tunisienne en matière de développement administratif.
Avec différents services mis à la disposition du citoyen, la Tunisie a en effet de quoi s'enorgueillir, des services tels que Madaniya pour l'accès à distance de tous les documents civils ou la plateforme d'enregistrement universitaire à distance, les universités virtuelles, le e-learning ou encore TTN pour la dématérialisation des documents du commerce extérieur, le pays peut même dire qu'il a fait des pas de géants en matière de e-gov par rapport à d'autres pays !
«En Tunisie, dira en substance le ministre, nous avons créé depuis juillet 2005, une unité de veille et de prospective administrative. Nous suivons de près tous les classements de notre pays dans cette course à l'amélioration de l'environnement des affaires. Nous analysons tous les indicateurs de notre environnement légal et physique, ainsi que les indicateurs de qualité de nos services administratifs et publics».
Le ministre a souligné, dans ce contexte, la nécessité, pour toutes les parties, d'intensifier les efforts afin de garantir l'utilisation optimale des nouvelles technologies de la communication et de l'information pour offrir de meilleurs services aux citoyens à travers l'établissement de formules de partenariat avancées entre les secteurs public et privé.
Le ministre n'a pas été le seul représentant de la Tunisie dans cette manifestation qui avait réuni institutionnels et industriels du TIC, pourvoyeurs de services informatiques et donneurs d'ordres internationaux. On aurait aimé voir l'administration tunisienne et ses différentes applications informatiques à cette manifestation, il y avait quand même au moins 3 entreprises tunisiennes qui y avaient pris part sous le drapeau tunisien et avaient pu, de leurs aveux, faires d'intéressantes rencontres !
Surfant sur cette vague d'un SMSI renouvelé, et se tournant vers un marché des plus potentiels pour son industrie des TIC, la Tunisie organise aujourd'hui à Hammamet une importante rencontre ; le « Forum de Tunis ICT4All » qui traitera du thème de l'investissement dans les TIC en Afrique. Ce forum vise à contribuer au débat sur la manière d'améliorer la diffusion des technologies de l'information et de la communication en Afrique. La rencontre qui réunira plusieurs personnalités, internationales et africaines, aura à se pencher principalement sur la promotion du développement des TIC à travers l'investissement dans les infrastructures et les compétences ainsi que sur les moyens de stimuler l'intérêt des investisseurs potentiels dans les TIC en Afrique.
Il faut rappeler à ce sujet, que « Le TIC pour Tous » ou ICT 4 all, a été l'une des principales composantes de la deuxième phase du Sommet Mondial sur la Société de l'Information, qui a eu lieu à Tunis en novembre 2005, et ce en constituant une opportunité unique pour un échange de vues sur les différentes questions relatives à l'instauration d'une société de l'information à l'échelle universelle. C'est le succès enregistré par ICT4All et la grande diversité des sujets traités pendant le Sommet, mais certainement aussi les expériences acquises en matière d'administration électronique par les entreprises tunisiennes, privées et publiques, qui ont incité le gouvernement tunisien à organiser sur pied des partenariats dans ce domaine.
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