Avec un seul et unique constructeur automobile
Ainsi, cet atelier propose la réalisation d’un tel projet de création d’une industrie automobile en relation avec un grand constructeur de renommée internationale et des équipementiers. Ceci en tenant compte des possibilités offertes par les activités industrielles concentrées à Rouiba et ses environs, ainsi que de la présence d’un réseau de sous-traitants privés et publics en voie de densification. Néanmoins, il est suggérer de le faire avec «un et un seul grand constructeur pour mieux crédibiliser la démarche». Cela, dans le cadre d’un deal basé par exemple sur le principe du Self Supporting Program, une formule de compensation des échanges commerciaux la plus adaptée en la matière selon les rapporteurs. En effet, elle imposerait au constructeur pour un marché de 100 000 véhicules par an en Algérie, une capacité de production de 200 000 véhicules par an dont 100 000 seront exportés dans ses réseaux à l’extérieur à partir de l’Algérie. En outre, cet atelier propose de réaliser avec ce constructeur de façon séquentielle les projets de tous les autres véhicules autopropulsés entrant dans sa gamme de compétence (terre, mer et air). Par ailleurs, les rapporteurs suggèrent de «donner un signal fort au monde entier et surtout à tous ceux qui ne nous accordent plus aucune crédibilité dans le lancement d’une industrie automobile en réalisant le projet d’un circuit automobile capable d’accueillir rapidement un grand prix du championnat du monde pilote et constructeurs de Formule 1. En effet, pour les participants à cet atelier, «le plus haut niveau mondial de l’innovation et de la R&D (Recherche et Développement) se retrouve en compétition dans ce circuit automobile qui doit être capable d’accueillir un grand prix du championnat du monde pilotes et constructeurs de Formule 1».
le Soir d'Algérie
Ainsi, cet atelier propose la réalisation d’un tel projet de création d’une industrie automobile en relation avec un grand constructeur de renommée internationale et des équipementiers. Ceci en tenant compte des possibilités offertes par les activités industrielles concentrées à Rouiba et ses environs, ainsi que de la présence d’un réseau de sous-traitants privés et publics en voie de densification. Néanmoins, il est suggérer de le faire avec «un et un seul grand constructeur pour mieux crédibiliser la démarche». Cela, dans le cadre d’un deal basé par exemple sur le principe du Self Supporting Program, une formule de compensation des échanges commerciaux la plus adaptée en la matière selon les rapporteurs. En effet, elle imposerait au constructeur pour un marché de 100 000 véhicules par an en Algérie, une capacité de production de 200 000 véhicules par an dont 100 000 seront exportés dans ses réseaux à l’extérieur à partir de l’Algérie. En outre, cet atelier propose de réaliser avec ce constructeur de façon séquentielle les projets de tous les autres véhicules autopropulsés entrant dans sa gamme de compétence (terre, mer et air). Par ailleurs, les rapporteurs suggèrent de «donner un signal fort au monde entier et surtout à tous ceux qui ne nous accordent plus aucune crédibilité dans le lancement d’une industrie automobile en réalisant le projet d’un circuit automobile capable d’accueillir rapidement un grand prix du championnat du monde pilote et constructeurs de Formule 1. En effet, pour les participants à cet atelier, «le plus haut niveau mondial de l’innovation et de la R&D (Recherche et Développement) se retrouve en compétition dans ce circuit automobile qui doit être capable d’accueillir un grand prix du championnat du monde pilotes et constructeurs de Formule 1».
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