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Crainte de fort ralentissement de la croissance aux USA, inquiétude sur une dangereuse bulle boursière en Chine et correction attendue après une phase de forte hausse seraient les causes principales du mini crash.
Les inquiétudes sur la croissance américaine
L'ancien patron emblématique de la Réserve fédérale américaine, Alan Greenspan, a évoqué lundi un «risque de récession» aux Etats- Unis, lié notamment à l'essouflement du marché immobilier.
A l'appui de ce scénario, les commandes de biens d'équipement sont ressorties inférieures aux attentes mardi aux Etats-Unis, plongeant de 7,8% en janvier alors que les analystes tablaient sur une baisse de 3%.
Le vent de panique à la Bourse de Shanghai
Mardi, le principal marché chinois a connu sa plus forte dégringolade depuis 1996, plongeant de près de 9% et faisant craindre l'éclatement d'une bulle spéculative, particulièrement redoutée après la flambée de plus de 130% qu'a connu la place l'an dernier.
La volonté affichée des autorités chinoises de renforcer la surveillance des marchés et de l'origine des fonds investis afin d'éviter les opérations douteuses et la surchauffe boursière, a alourdi le climat.
Des prises de bénéfices
Ces craintes sur les Etats-Unis et la Chine ont déclenché une correction technique attendue depuis plusieurs semaines, alors que les principaux indices inscrivaient record sur record, dopés par les résultats globalement meilleurs que prévu des entreprises.
Les valeurs cycliques (dont l'activité est très sensible à l'évolution de la croissance) et les petites valeurs, qui avaient nourri l'essentiel de la hausse, «étaient très vulnérables à des prises de profits», a expliqué à l'AFP François-Xavier Chauchat, économiste chez CA Chevreux.
Source: SDA/ATS
Crainte de fort ralentissement de la croissance aux USA, inquiétude sur une dangereuse bulle boursière en Chine et correction attendue après une phase de forte hausse seraient les causes principales du mini crash.
Les inquiétudes sur la croissance américaine
L'ancien patron emblématique de la Réserve fédérale américaine, Alan Greenspan, a évoqué lundi un «risque de récession» aux Etats- Unis, lié notamment à l'essouflement du marché immobilier.
A l'appui de ce scénario, les commandes de biens d'équipement sont ressorties inférieures aux attentes mardi aux Etats-Unis, plongeant de 7,8% en janvier alors que les analystes tablaient sur une baisse de 3%.
Le vent de panique à la Bourse de Shanghai
Mardi, le principal marché chinois a connu sa plus forte dégringolade depuis 1996, plongeant de près de 9% et faisant craindre l'éclatement d'une bulle spéculative, particulièrement redoutée après la flambée de plus de 130% qu'a connu la place l'an dernier.
La volonté affichée des autorités chinoises de renforcer la surveillance des marchés et de l'origine des fonds investis afin d'éviter les opérations douteuses et la surchauffe boursière, a alourdi le climat.
Des prises de bénéfices
Ces craintes sur les Etats-Unis et la Chine ont déclenché une correction technique attendue depuis plusieurs semaines, alors que les principaux indices inscrivaient record sur record, dopés par les résultats globalement meilleurs que prévu des entreprises.
Les valeurs cycliques (dont l'activité est très sensible à l'évolution de la croissance) et les petites valeurs, qui avaient nourri l'essentiel de la hausse, «étaient très vulnérables à des prises de profits», a expliqué à l'AFP François-Xavier Chauchat, économiste chez CA Chevreux.
Source: SDA/ATS
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