En tout, 1800 milliards de dinars seront imprimés pour appuyer le dispositif de financement non conventionnel, a annoncé, hier, le ministre des Finances, Adberrahmane Raouia.
C’est au cours d’une conférence de presse tenue à l’issue du vote de la loi des Finances 2018, que le ministre des Finances a donné ce chiffre insistant, néanmoins, que le financement non conventionnel « n’est pas une porte ouverte à toutes les dérives ». Il ajouté que la somme annoncée était un maximum qu’il ne serait pas souhaitable d’atteindre. « Nous travaillons dur et nous essayons par tous les moyens de réduire le montant de 1800 milliards de dinars », a-t-il assuré.
Le Gouvernement avait expliqué que l'objectif du recours à la planche à billets avait pour but d' « autoriser la Banque d'Algérie, à titre exceptionnel et durant une période de cinq années, à procéder à l'achat direct de titres émis par le Trésor ». Abderrahmane Raouia avait annoncé auparavant que « pas moins de 900 milliards de DA seront mobilisés pour la prise en charge des dettes de Sonatrach. »
Par ailleurs, le ministre a souligné que « la priorité demeure actuellement la lutte contre l'évasion fiscale et l'augmentation des recettes fiscales, à travers l'exploitation de tous les moyens offerts au niveau de l'administration fiscale ». Enfin, Raouia a assuré que l’annulation de l’impôt sur la fortune n’est pas le résultat d’une quelconque pression qu’aurait exercé le Forum des chefs d’entreprise (FCE) sur les députés. « Le FCE n’a pas exercé de pression pour la suppression de l’impôt sur la fortune. C’est l’Assemblée qui a supprimé l’article 12 du PLF 2018. Cette institution est souveraine et elle n’a fait que jouer son rôle législatif », a-t-il affirmé.
maghrebemergent
C’est au cours d’une conférence de presse tenue à l’issue du vote de la loi des Finances 2018, que le ministre des Finances a donné ce chiffre insistant, néanmoins, que le financement non conventionnel « n’est pas une porte ouverte à toutes les dérives ». Il ajouté que la somme annoncée était un maximum qu’il ne serait pas souhaitable d’atteindre. « Nous travaillons dur et nous essayons par tous les moyens de réduire le montant de 1800 milliards de dinars », a-t-il assuré.
Le Gouvernement avait expliqué que l'objectif du recours à la planche à billets avait pour but d' « autoriser la Banque d'Algérie, à titre exceptionnel et durant une période de cinq années, à procéder à l'achat direct de titres émis par le Trésor ». Abderrahmane Raouia avait annoncé auparavant que « pas moins de 900 milliards de DA seront mobilisés pour la prise en charge des dettes de Sonatrach. »
Par ailleurs, le ministre a souligné que « la priorité demeure actuellement la lutte contre l'évasion fiscale et l'augmentation des recettes fiscales, à travers l'exploitation de tous les moyens offerts au niveau de l'administration fiscale ». Enfin, Raouia a assuré que l’annulation de l’impôt sur la fortune n’est pas le résultat d’une quelconque pression qu’aurait exercé le Forum des chefs d’entreprise (FCE) sur les députés. « Le FCE n’a pas exercé de pression pour la suppression de l’impôt sur la fortune. C’est l’Assemblée qui a supprimé l’article 12 du PLF 2018. Cette institution est souveraine et elle n’a fait que jouer son rôle législatif », a-t-il affirmé.
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