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Par Arezki Benali -22 novembre 2017
Plusieurs de ses projets sont à l’arrêt depuis 2010 en Libye, en raison de la situation d’instabilité sécuritaire que connait ce pays. Le Groupe Sonelgaz veut relancer ses investissements et reconquérir le marché libyen.
En effet, dans une déclaration ce mardi à l’APS, le P-DG du groupe Sonelgaz Mohamed Arkab a indiqué que «le groupe Sonelgaz et General Electricity Company of Libya (Gecol) ont entamé des discussions pour mettre en place des mécanismes permettant l’exportation de l’énergie électrique et d’autres services à partir de l’Algérie vers la Libye».
«Nous avons une production nationale excédentaire en énergie électrique, notamment en hiver. Et à cette période, nos frères libyens ont besoin de cette énergie. Nous sommes donc en train d’étudier les possibilités d’un raccordement électrique de haute tension entre l’Algérie et la Libye à travers la Tunisie pour exporter notre énergie et leur offrir nos services à travers ces lignes électriques”, a précisé M. Arkab en marge d’une réunion qui a regroupé les responsables de ces deux compagnies.
Il a souligné que «cette visite de la délégation libyenne en Algérie intervient suite à une demande de Sonelgaz», en expliquant qu’«il s’agit de la relance d’une étude entamée en 2010 par les deux pays, mais qui a été retardée par les bouleversements politiques qu’a connus la Libye depuis 2011».
Arkab a affirmé que «plusieurs projets sont à l’arrêt en Libye, d’autres n’ont pas encore démarré. Donc, nous voulons être les premiers à être présents sur le marché libyen». Estimant que «nos entreprises nationales, qu’elles soient publiques ou privées, maîtrisent à présent les différents aspects de la production, le transport et la distribution de l’énergie. Nous devons alors en profiter pour aller vers l’exportation de notre savoir-faire vers la Libye, un pays avec lequel nous avons plusieurs points communs, notamment des frontières qui peuvent nous faciliter la coopération».
De son côté, le responsable du groupe libyen Gecol, M. Ali Mohamed Saci a indiqué que «nous rencontrons beaucoup de difficultés dans la production et le transport de l’électricité en Libye. Donc, nous voulons également bénéficier du réseau algérien pour alimenter certaines villes de l’ouest et du sud libyen». Tout en exprimant son souhait que «Sonelgaz entame, à court terme, le transfert de son savoir-faire dans la production, le transport et la maintenance de l’énergie électrique vers son pays».
Ainsi, à travers le moyen de la commission conjointe des deux groupes remise en service, Sonelgaz envisage de parvenir, à la mise en place de moyens de production de l’électricité en Libye, la construction de centrales électriques et de réseaux électriques de basse et haute tension, ainsi que l’interconnexion électrique entre les deux pays à travers des réseaux de 220 et 400 Kv.
Plusieurs de ses projets sont à l’arrêt depuis 2010 en Libye, en raison de la situation d’instabilité sécuritaire que connait ce pays. Le Groupe Sonelgaz veut relancer ses investissements et reconquérir le marché libyen.
En effet, dans une déclaration ce mardi à l’APS, le P-DG du groupe Sonelgaz Mohamed Arkab a indiqué que «le groupe Sonelgaz et General Electricity Company of Libya (Gecol) ont entamé des discussions pour mettre en place des mécanismes permettant l’exportation de l’énergie électrique et d’autres services à partir de l’Algérie vers la Libye».
«Nous avons une production nationale excédentaire en énergie électrique, notamment en hiver. Et à cette période, nos frères libyens ont besoin de cette énergie. Nous sommes donc en train d’étudier les possibilités d’un raccordement électrique de haute tension entre l’Algérie et la Libye à travers la Tunisie pour exporter notre énergie et leur offrir nos services à travers ces lignes électriques”, a précisé M. Arkab en marge d’une réunion qui a regroupé les responsables de ces deux compagnies.
Il a souligné que «cette visite de la délégation libyenne en Algérie intervient suite à une demande de Sonelgaz», en expliquant qu’«il s’agit de la relance d’une étude entamée en 2010 par les deux pays, mais qui a été retardée par les bouleversements politiques qu’a connus la Libye depuis 2011».
Arkab a affirmé que «plusieurs projets sont à l’arrêt en Libye, d’autres n’ont pas encore démarré. Donc, nous voulons être les premiers à être présents sur le marché libyen». Estimant que «nos entreprises nationales, qu’elles soient publiques ou privées, maîtrisent à présent les différents aspects de la production, le transport et la distribution de l’énergie. Nous devons alors en profiter pour aller vers l’exportation de notre savoir-faire vers la Libye, un pays avec lequel nous avons plusieurs points communs, notamment des frontières qui peuvent nous faciliter la coopération».
De son côté, le responsable du groupe libyen Gecol, M. Ali Mohamed Saci a indiqué que «nous rencontrons beaucoup de difficultés dans la production et le transport de l’électricité en Libye. Donc, nous voulons également bénéficier du réseau algérien pour alimenter certaines villes de l’ouest et du sud libyen». Tout en exprimant son souhait que «Sonelgaz entame, à court terme, le transfert de son savoir-faire dans la production, le transport et la maintenance de l’énergie électrique vers son pays».
Ainsi, à travers le moyen de la commission conjointe des deux groupes remise en service, Sonelgaz envisage de parvenir, à la mise en place de moyens de production de l’électricité en Libye, la construction de centrales électriques et de réseaux électriques de basse et haute tension, ainsi que l’interconnexion électrique entre les deux pays à travers des réseaux de 220 et 400 Kv.
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