L'Afrique du sud, l'Argentine, l'Australie, le Chili, les Etats-Unis et la Nouvelle Zélande ont vu leur part de marché encore progresser dans les exportations mondiales de vin en 2015, selon un rapport spécialisé présenté lundi par l'établissement public FranceAgriMer.
L'an passé, la part de marché du "nouveau monde" en volume dans les échanges internationaux de vins s'est élevée à 30% contre 29% en 2014. Elle n'était que de 19% en 2000, souligne le rapport.
Parallèlement, la part de marché de la France est restée stable à 14% l'an passé par rapport à l'année précédente. Mais elle n'a quasiment pas cessé de diminuer au profit du "nouveau monde" depuis 2000, lorsqu'elle s'élevait à 25% des échanges mondiaux.
"Il ne s'agit pas uniquement d'une perte de compétitivité de la France, c'est aussi l'explosion de la production de ces pays qui explique l'évolution, car la France avait une position ultra-dominante" explique une spécialiste de FranceAgriMer. De plus, la situation semble se stabiliser quelque peu depuis cinq ans pour la France après une perte de parts de marché en volume de plus de 10 points, qui a eu lieu essentiellement entre 2000 et 2009.
Les trois plus gros exportateurs de vins, en volume, sont l'Espagne, l'Italie et la France.
La France a perdu sa première place, prise par l'Espagne, et la 2e prise par l'Italie, mais n'a pas réduit son volume d'exportations, stable à 15 millions d'hectolitres exportés en 2015, comme en 2000.
L'augmentation des exportations de vin espagnol (24,34 millions d'hectolitres) porte essentiellement sur le vin en vrac. Les exportations italiennes (20 millions d'hectolitres) sont en recul depuis 2011.
Capital
L'an passé, la part de marché du "nouveau monde" en volume dans les échanges internationaux de vins s'est élevée à 30% contre 29% en 2014. Elle n'était que de 19% en 2000, souligne le rapport.
Parallèlement, la part de marché de la France est restée stable à 14% l'an passé par rapport à l'année précédente. Mais elle n'a quasiment pas cessé de diminuer au profit du "nouveau monde" depuis 2000, lorsqu'elle s'élevait à 25% des échanges mondiaux.
"Il ne s'agit pas uniquement d'une perte de compétitivité de la France, c'est aussi l'explosion de la production de ces pays qui explique l'évolution, car la France avait une position ultra-dominante" explique une spécialiste de FranceAgriMer. De plus, la situation semble se stabiliser quelque peu depuis cinq ans pour la France après une perte de parts de marché en volume de plus de 10 points, qui a eu lieu essentiellement entre 2000 et 2009.
Les trois plus gros exportateurs de vins, en volume, sont l'Espagne, l'Italie et la France.
La France a perdu sa première place, prise par l'Espagne, et la 2e prise par l'Italie, mais n'a pas réduit son volume d'exportations, stable à 15 millions d'hectolitres exportés en 2015, comme en 2000.
L'augmentation des exportations de vin espagnol (24,34 millions d'hectolitres) porte essentiellement sur le vin en vrac. Les exportations italiennes (20 millions d'hectolitres) sont en recul depuis 2011.
Capital
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