Le taux de croissance du Produit intérieur brut (PIB) réel de l’Algérie devrait s’établir à 2,8% pour l’année 2017, selon les prévisions du dernier rapport annuel « Situation et perspectives de l’économie mondiale », publié le 18 janvier dernier par l’organisation des Nations unies (ONU).
La croissance algérienne serait donc toujours ralentie par rapport aux années précédentes, puisqu’elle est estimée à 2,9% pour 2016 et qu’elle s’est établie à 3,9% en 2015. Le rapport, réalisé entre autres par le Département des affaires économiques et sociales des Nations unies et la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced), prévoit de plus un taux de croissance à 2,7% pour l’année 2018.
« La croissance de l’économie algérienne devrait demeurer modérée en 2017, les réductions prévues des dépenses publiques annulant le boost offert par la hausse des cours du pétrole », explique le rapport de l’ONU qui indique par ailleurs qu’« étant donné que les cours mondiaux des matières premières devraient rester bien en deçà des niveaux d’avant 2014, un fort rebond de la croissance dans les pays fortement dépendants des matières premières, dont l’Algérie, semble peu probable ».
Le rapport des Nations unies prévoit en outre un taux d’inflation toujours aussi élevé en Algérie, de l’ordre de 6% en 2017 puis 5,5% pour 2018, alors qu’il est estimé à 7% pour 2016 et qu’il s’est établi à 4,8% en 2015. Le taux de chômage pour l’année 2016 a quant à lui été estimé à 11,6% pour l’année 2016, en légère hausse par rapport à l’année précédente lorsqu’il s’est établi à 11.3%.
tsa
La croissance algérienne serait donc toujours ralentie par rapport aux années précédentes, puisqu’elle est estimée à 2,9% pour 2016 et qu’elle s’est établie à 3,9% en 2015. Le rapport, réalisé entre autres par le Département des affaires économiques et sociales des Nations unies et la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced), prévoit de plus un taux de croissance à 2,7% pour l’année 2018.
« La croissance de l’économie algérienne devrait demeurer modérée en 2017, les réductions prévues des dépenses publiques annulant le boost offert par la hausse des cours du pétrole », explique le rapport de l’ONU qui indique par ailleurs qu’« étant donné que les cours mondiaux des matières premières devraient rester bien en deçà des niveaux d’avant 2014, un fort rebond de la croissance dans les pays fortement dépendants des matières premières, dont l’Algérie, semble peu probable ».
Le rapport des Nations unies prévoit en outre un taux d’inflation toujours aussi élevé en Algérie, de l’ordre de 6% en 2017 puis 5,5% pour 2018, alors qu’il est estimé à 7% pour 2016 et qu’il s’est établi à 4,8% en 2015. Le taux de chômage pour l’année 2016 a quant à lui été estimé à 11,6% pour l’année 2016, en légère hausse par rapport à l’année précédente lorsqu’il s’est établi à 11.3%.
tsa
Commentaire