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La semaine de la cotation de l’or noir s’est terminée dans une ambiance assez morose en raison des doutes qui planent sur les possibilités des pays producteurs d’honorer leurs engagements, mais aussi de l’embellie du schiste américain, dont les puits de production prolifèrent, et de la baisse des échanges commerciaux de la Chine.
Des facteurs qui ont fait douter les places boursières mondiales, causant le recul de la cotation de l’or noir à Londres et à New York. Les cours du pétrole ont ainsi perdu environ 1% en cours de la séance de vendredi alors que des sources proches de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) ont indiqué, selon l’agence Reuters, que les principaux producteurs pétroliers auraient du mal à honorer leurs engagements dans leur totalité.
D’après ces sources, «un taux de coopération de 80% serait bon, tandis qu’un taux de 50% serait acceptable».
Les investisseurs sont également prudents au vu d’un rapport sur une inquiétante progression de l’activité de forage aux Etats-Unis. Le fournisseur de services pétroliers Baker Hughes a déclaré que le nombre de plateformes de forage de pétrole avait progressé de 4 à 529 la semaine dernière. C’est la dixième semaine d’augmentation, atteignant ainsi un niveau qui n’avait pas été constaté depuis près d’un an.
Les cours du pétrole ont été influencés également par les chiffres décevants concernant le commerce extérieur de la Chine, grand consommateur d’or noir.
La Chine a vu son commerce extérieur reculer en 2016, exportations et importations s’affichant en net repli et confirmant l’essoufflement du géant asiatique, deuxième consommateur mondial de pétrole après les Etats-Unis. Même si les importations chinoises de pétrole restent à un niveau sans précédent, des experts estiment que «les achats de grandes quantités de brut ne sont pas conformes aux capacité des raffineries chinoises», ce qui laisse craindre une surabondance d’or noir sur place. Des considérations sur la demande qui ont ramené un peu de concret sur un marché actuellement secoué par les spéculations sur l’offre, à la suite de l’entrée en vigueur, début janvier, d’accords entre grands pays producteurs.
Mis en place à l’initiative de l’OPEP, ces deux pactes prévoient des baisses de production non seulement au sein de l’Organisation mais aussi par des pays extérieurs comme la Russie. Même si l’Arabie Saoudite, le Koweït et la Russie ont tenu des propos rassurants, nombre d’analystes préfèrent attendre les premières données qui devraient tomber à la fin du mois pour en juger.
El watan
Des facteurs qui ont fait douter les places boursières mondiales, causant le recul de la cotation de l’or noir à Londres et à New York. Les cours du pétrole ont ainsi perdu environ 1% en cours de la séance de vendredi alors que des sources proches de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) ont indiqué, selon l’agence Reuters, que les principaux producteurs pétroliers auraient du mal à honorer leurs engagements dans leur totalité.
D’après ces sources, «un taux de coopération de 80% serait bon, tandis qu’un taux de 50% serait acceptable».
Les investisseurs sont également prudents au vu d’un rapport sur une inquiétante progression de l’activité de forage aux Etats-Unis. Le fournisseur de services pétroliers Baker Hughes a déclaré que le nombre de plateformes de forage de pétrole avait progressé de 4 à 529 la semaine dernière. C’est la dixième semaine d’augmentation, atteignant ainsi un niveau qui n’avait pas été constaté depuis près d’un an.
Les cours du pétrole ont été influencés également par les chiffres décevants concernant le commerce extérieur de la Chine, grand consommateur d’or noir.
La Chine a vu son commerce extérieur reculer en 2016, exportations et importations s’affichant en net repli et confirmant l’essoufflement du géant asiatique, deuxième consommateur mondial de pétrole après les Etats-Unis. Même si les importations chinoises de pétrole restent à un niveau sans précédent, des experts estiment que «les achats de grandes quantités de brut ne sont pas conformes aux capacité des raffineries chinoises», ce qui laisse craindre une surabondance d’or noir sur place. Des considérations sur la demande qui ont ramené un peu de concret sur un marché actuellement secoué par les spéculations sur l’offre, à la suite de l’entrée en vigueur, début janvier, d’accords entre grands pays producteurs.
Mis en place à l’initiative de l’OPEP, ces deux pactes prévoient des baisses de production non seulement au sein de l’Organisation mais aussi par des pays extérieurs comme la Russie. Même si l’Arabie Saoudite, le Koweït et la Russie ont tenu des propos rassurants, nombre d’analystes préfèrent attendre les premières données qui devraient tomber à la fin du mois pour en juger.
El watan