Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a évoqué, hier, les défis majeurs que s’assigne l’Algérie dans le cadre de la mise en œuvre de sa nouvelle orientation économique où il est gagé d’insuffler une nouvelle dynamique à la fois productive et compétitive dans les secteurs hors hydrocarbures.
Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a évoqué, hier, les défis majeurs que s’assigne l’Algérie dans le cadre de la mise en œuvre de sa nouvelle orientation économique où il est gagé d’insuffler une nouvelle dynamique à la fois productive et compétitive dans les secteurs
hors hydrocarbures.
«Cette nouvelle orientation économique que nous avons adopté en application des instruction du Président de la République devra s’affirmer davantage et de façon manifeste durant cette nouvelle année 2017», a, en effet, soutenu Abdelmalek Sellal, lors son intervention, hier soir, sur le plateaux de la télévision algérienne.
Le Premier ministre s’est montré d’ailleurs très optimiste quant à la capacité de l’Algérie de relever ce nouveau défi à même de mieux faire face à un conjoncture d’amenuisement de la finance publique en raison de la chute drastique des prix du pétrole. «L’Algérie dispose de multiples opportunités d’opérer un changement efficient de notre modèle de développement économique sans que l’on remette en question les acquis sociaux consacrés jusque-là», a-t-il assuré. «Au lieu de l’austérité, synonyme de pauvreté, nous avons opté la rationalisation de nos dépenses et c’est à ce niveau que réside la substance de notre stratégie mise en action depuis la chute des prix du pétrole», expliquera M. Sellal. Il affirme, à ce propos, qu’en dépit d’une baisse sensible des prix du baril qui sont passés de 110 à 43 dollars, la situation financière est maitrisée et l’Algérie opère dans la sérénité son passage vers une économie diversifiée. «À l’avenir, et dès la prochaine année 2017, les hydrocarbures ne seront plus considérées comme étant la principale ressource du développement du pays, tant il est vrai que la nouvelle orientation préconisée est essentiellement basé sur la dynamisation des autres secteur», ajoute le Premier ministre. C’est la base de cette orientation que l’Algérie se replacera à la fin de 2019 en tant que pays très compétitif dans la catégorie des États émergeant, appuie encore M. Sellal qui table sur un taux de croissance évolutif dans les années à venir. Nous y reviendrons avec de plus amples détails dans notre prochaine édition
Karim Aoudia
ELMOUDJAHID
Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a évoqué, hier, les défis majeurs que s’assigne l’Algérie dans le cadre de la mise en œuvre de sa nouvelle orientation économique où il est gagé d’insuffler une nouvelle dynamique à la fois productive et compétitive dans les secteurs
hors hydrocarbures.
«Cette nouvelle orientation économique que nous avons adopté en application des instruction du Président de la République devra s’affirmer davantage et de façon manifeste durant cette nouvelle année 2017», a, en effet, soutenu Abdelmalek Sellal, lors son intervention, hier soir, sur le plateaux de la télévision algérienne.
Le Premier ministre s’est montré d’ailleurs très optimiste quant à la capacité de l’Algérie de relever ce nouveau défi à même de mieux faire face à un conjoncture d’amenuisement de la finance publique en raison de la chute drastique des prix du pétrole. «L’Algérie dispose de multiples opportunités d’opérer un changement efficient de notre modèle de développement économique sans que l’on remette en question les acquis sociaux consacrés jusque-là», a-t-il assuré. «Au lieu de l’austérité, synonyme de pauvreté, nous avons opté la rationalisation de nos dépenses et c’est à ce niveau que réside la substance de notre stratégie mise en action depuis la chute des prix du pétrole», expliquera M. Sellal. Il affirme, à ce propos, qu’en dépit d’une baisse sensible des prix du baril qui sont passés de 110 à 43 dollars, la situation financière est maitrisée et l’Algérie opère dans la sérénité son passage vers une économie diversifiée. «À l’avenir, et dès la prochaine année 2017, les hydrocarbures ne seront plus considérées comme étant la principale ressource du développement du pays, tant il est vrai que la nouvelle orientation préconisée est essentiellement basé sur la dynamisation des autres secteur», ajoute le Premier ministre. C’est la base de cette orientation que l’Algérie se replacera à la fin de 2019 en tant que pays très compétitif dans la catégorie des États émergeant, appuie encore M. Sellal qui table sur un taux de croissance évolutif dans les années à venir. Nous y reviendrons avec de plus amples détails dans notre prochaine édition
Karim Aoudia
ELMOUDJAHID
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