La Coface ambitionne de donner un coup d’accélérateur à tous les services dont les entreprises ont besoin dans le cadre d’une économie ouverte. Environs 8 000 entreprises algériennes sont dotées du système de notation mondial. Du côté de la Cagex, on exclut l’introduction de la notation des entreprises, du moins dans l’immédiat. Alain Tovar, un des responsables de la Coface, a avancé le chiffre de un milliard d’euros réalisé sur l’Algérie en assurance-crédit, un chiffre qui dépasse ceux réalisés sur le Maroc et la Tunisie. C’est la preuve de l’importance du marché algérien pour l’organisme d’assurance français. “Notre présence ici témoigne de notre confiance dans la marché algérien”, argumente M. Alain Tovar, qui rappelle le classement risque pays de la Coface qui note l’Algérie A4 au même titre que la Tunisie et le Maroc.
La Coface, qui organise son traditionnel colloque Risque Pays, le 23 janvier prochain à Paris, réunissant les meilleurs spécialistes français et étrangers du monde bancaire, d’entreprises et de centres de recherche, met en avant, dans son appréciation du risque Algérie, l’augmentation des capacités de production pétrolière et gazière et les prix élevés des hydrocarbures générant de solides excédents extérieurs et budgétaires. “L’Algérie fait partie des pays les mieux notés”, soutient Alain Tovar.
La Coface, qui organise son traditionnel colloque Risque Pays, le 23 janvier prochain à Paris, réunissant les meilleurs spécialistes français et étrangers du monde bancaire, d’entreprises et de centres de recherche, met en avant, dans son appréciation du risque Algérie, l’augmentation des capacités de production pétrolière et gazière et les prix élevés des hydrocarbures générant de solides excédents extérieurs et budgétaires. “L’Algérie fait partie des pays les mieux notés”, soutient Alain Tovar.
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