En Algérie, la Sonatrach veut attirer des investisseurs pour l’acquisition de participations dans 20 champs de pétrole et de gaz afin d'accroître sa production d’hydrocarbures et se positionner comme un acteur de premier plan sur le marché, a-t-on lu dans les colonnes de Reuters. Pour y arriver, la compagnie d’État en charge des hydrocarbures compte négocier directement avec des entreprises étrangères. « Les négociations directes constitue une approche plus efficace, moins coûteuse, plus rapide, et beaucoup moins bureaucratique », a confié une source proche de la compagnie à Reuters.
Et d’ajouter « la Sonatrach est déjà en négociations avec ENI et plusieurs autres entreprises étrangères ». Dans le cadre de la campagne, le directeur de la compagnie Amine Mazouzi (photo) se rendra en Chine à la fin du mois pour des réunions avec les compagnies pétrolières chinoises SINOPEC et CNPC, qui sont déjà actives en Algérie.
Le pays, l’un des fournisseurs clés de gaz en Europe, est également en pourparlers avec des représentants de l'Union européenne sur la tenue d'un sommet à Alger en mai prochain pour discuter des possibilités d'investissement dans l'énergie.
Une bonne opportunité pour Alger car les dirigeants de l’Union Européenne ont exprimé leur volonté de diversifier leur source d’approvisionnement du gaz naturel.
Le potentiel énergétique de l'Algérie ne fait aucun doute, mais certains termes sur les PSC, la bureaucratie et d'autres problèmes, tels que les retards de la douane et les systèmes bancaires archaïques affaiblissent son attractivité.
La sécurité est également un facteur non négligeable dans le cadre de l’attrait des investisseurs pour le domaine des hydrocarbures en Algérie.
En 2013, une attaque djihadiste à l’usine de traitement de gaz d’In Amenas dirigée par BP et Statoil et la Sonatrach avait fait 40 morts et plusieurs blessés. A l’époque, plusieurs entreprises étrangères avaient menacé de quitter le pays si la situation sécuritaire ne s’améliorait pas. Le week-end dernier, une usine de traitement de gaz du britannique BP située à Krechba a été l’objet de plusieurs tirs de mortiers des islamistes d’AQMI.
C’est autant de paramètres sur lesquels Amine Mazouzi devra convaincre ses interlocuteurs pendant sa campagne.
Si l’expérience s'avérait concluante, l’Algérie pourrait faire bouger les lignes dans la hiérarchie des producteurs de gaz et gagner plus de parts de marchés.
Agence Ecofin
Et d’ajouter « la Sonatrach est déjà en négociations avec ENI et plusieurs autres entreprises étrangères ». Dans le cadre de la campagne, le directeur de la compagnie Amine Mazouzi (photo) se rendra en Chine à la fin du mois pour des réunions avec les compagnies pétrolières chinoises SINOPEC et CNPC, qui sont déjà actives en Algérie.
Le pays, l’un des fournisseurs clés de gaz en Europe, est également en pourparlers avec des représentants de l'Union européenne sur la tenue d'un sommet à Alger en mai prochain pour discuter des possibilités d'investissement dans l'énergie.
Une bonne opportunité pour Alger car les dirigeants de l’Union Européenne ont exprimé leur volonté de diversifier leur source d’approvisionnement du gaz naturel.
Le potentiel énergétique de l'Algérie ne fait aucun doute, mais certains termes sur les PSC, la bureaucratie et d'autres problèmes, tels que les retards de la douane et les systèmes bancaires archaïques affaiblissent son attractivité.
La sécurité est également un facteur non négligeable dans le cadre de l’attrait des investisseurs pour le domaine des hydrocarbures en Algérie.
En 2013, une attaque djihadiste à l’usine de traitement de gaz d’In Amenas dirigée par BP et Statoil et la Sonatrach avait fait 40 morts et plusieurs blessés. A l’époque, plusieurs entreprises étrangères avaient menacé de quitter le pays si la situation sécuritaire ne s’améliorait pas. Le week-end dernier, une usine de traitement de gaz du britannique BP située à Krechba a été l’objet de plusieurs tirs de mortiers des islamistes d’AQMI.
C’est autant de paramètres sur lesquels Amine Mazouzi devra convaincre ses interlocuteurs pendant sa campagne.
Si l’expérience s'avérait concluante, l’Algérie pourrait faire bouger les lignes dans la hiérarchie des producteurs de gaz et gagner plus de parts de marchés.
Agence Ecofin
Commentaire