Grande première depuis près de 80 ans, les stocks de brut aux Etats-Unis se sont établis à 502,7 millions de barils selon les données du département américain de l’énergie.
Les stocks américains de brut ont augmenté de 7,8 millions de barils à 502,7 millions, plus haut niveau depuis au moins 80 ans à cette période de l’année. Le dernier pic remonte à octobre 1929 à un peu plus de 545 millions de barils. La hausse est surtout plus importante que prévu, les analystes tablaient en moyenne sur 4,8 millions barils supplémentaires.
Au terminal de Cusching (Oklahoma), indicateur très regardé à Wall Street, l’augmentation a été de 747.000 barils contre une anticipation de 300.000 barils. Concernant l’essence, les stocks ont progressé de 5,9 millions de barils contre 2,5 millions prévus par les experts interrogés par l’agence financière Bloomberg.
A l’inverse, les autres réserves de produits distillés, tels que le gazole, le fioul ou le Kérosène, ont baissé de 800.000 barils. Bloomberg tablait sur un déclin de 1,5 million tandis que la fédération professionnelle American Petroleum Institute avait prédit une hausse de 400.000 barils. Par ailleurs la production américaine a légèrement reculé (-7.000 barils par jour).
Après la publication de ces chiffres, le WTI, référence outre-Atlantique, a légèrement décroché avant de remonter en flèche en gagnant 1,60 dollar à près de 31,50 dollars. Les raisons de ce mouvement ne sont pas immédiatement claires. Selon le Financial Times , il pourrait être lié à un déclin parallèlle du dollar.
Les stocks américains de brut ont augmenté de 7,8 millions de barils à 502,7 millions, plus haut niveau depuis au moins 80 ans à cette période de l’année. Le dernier pic remonte à octobre 1929 à un peu plus de 545 millions de barils. La hausse est surtout plus importante que prévu, les analystes tablaient en moyenne sur 4,8 millions barils supplémentaires.
Au terminal de Cusching (Oklahoma), indicateur très regardé à Wall Street, l’augmentation a été de 747.000 barils contre une anticipation de 300.000 barils. Concernant l’essence, les stocks ont progressé de 5,9 millions de barils contre 2,5 millions prévus par les experts interrogés par l’agence financière Bloomberg.
A l’inverse, les autres réserves de produits distillés, tels que le gazole, le fioul ou le Kérosène, ont baissé de 800.000 barils. Bloomberg tablait sur un déclin de 1,5 million tandis que la fédération professionnelle American Petroleum Institute avait prédit une hausse de 400.000 barils. Par ailleurs la production américaine a légèrement reculé (-7.000 barils par jour).
Après la publication de ces chiffres, le WTI, référence outre-Atlantique, a légèrement décroché avant de remonter en flèche en gagnant 1,60 dollar à près de 31,50 dollars. Les raisons de ce mouvement ne sont pas immédiatement claires. Selon le Financial Times , il pourrait être lié à un déclin parallèlle du dollar.
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