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L’Algérie n'exporte presque rien hors HC et ses dérivés. C'est le président de l’Association nationale des exportateurs algériens (Anexal), Ali Bey Nasri qui le dit.
avec les 1ere réserves de pétrole au monde et une prostitution politique, non remdullah
et puis pour les prorportions remets toi à tes cahiers au lieu de squatter un forum algérien ce sera plus utile pour toi et tes compatriotes le maroc a besoin de tes lumières et conseils
Le marché local absorbe toute la production Algérienne. C'est le résultat d'un marché dopé par la richesse des hydrocarbures.
Par exemple : l'Algérie produit plus de lait que le Maroc mais n'en exporte pas une goutte, parce que notre marché le consomme totalement. Il faudrait une production double pour rassasier le marché national et commencer à exporter du lait. Ou alternativement, il faudrait que le pouvoir d'achat du marché local baisse, pour qu'il ne consomme pas tout, pour pouvoir exporter du lait.
Donc à votre place, je ne me prendrais pas trop la tête sur le niveau des exportations hors hydrocarbures, mais plutôt sur le niveau de production.
Le marché local absorbe toute la production Algérienne. C'est le résultat d'un marché dopé par la richesse des hydrocarbures.
A entendre cela on croirait qu'on a le plus gros marché du monde en Algerie.
La production algerienne est faible par rapport à la demande. Faiblesse en quantité et encore plus en qualité. D'où les problèmes à l'export.
Par exemple : l'Algérie produit plus de lait que le Maroc mais n'en exporte pas une goutte, parce que notre marché le consomme totalement. Il faudrait une production double pour rassasier le marché national et commencer à exporter du lait. Ou alternativement, il faudrait que le pouvoir d'achat du marché local baisse, pour qu'il ne consomme pas tout, pour pouvoir exporter du lait.
On parle bien de lait. Lait frais ? Parce qu'au Maroc on ne consomme pas de la connerie en poudre.
Maroc : POURQUOI L’IMPORT DE LAIT EN POUDRE EXPLOSE
SELON LES PRÉVISIONS, IL DEVRAIT ATTEINDRE 1,5 MILLIARD DE DH
POUR LA 2E ANNÉE CONSÉCUTIVE, LA PRODUCTION DE LAIT EST EN FORTE BAISSE
DE NOMBREUX ÉLEVEURS SE DÉTOURNENT DE LA FILIÈRE
Le lait en poudre «bouillonne» à l’import. Rien que sur le premier semestre, le Maroc a acheté pour 743 millions de DH. La facture devrait atteindre 1,5 milliard de DH à la fin de l’année, pronostiquent les professionnels. L’an dernier, les importations de lait en poudre avaient déjà dépassé le milliard de dirhams. Ce retournement a commencé depuis 2011 alors que le contrat-programme signé avec la filière laitière entamait sa deuxième année. Ceci, dans un contexte de flambée des cours à l’international, attisée surtout par la demande chinoise: 500.000 tonnes en 2013, en hausse de 30% par rapport à l’année d’avant.
Pourtant, les chiffres officiels font état d’une progression annuelle de 9% de la production du lait frais entre 2009 et 2013. Ce que contestent les professionnels qui affirment que la production de lait aurait chuté de 27% en 2013. Et elle devrait encore décrocher de 40% cette année! C’est ce qui a justifié, avec le renchérissement de l’aliment de bétail, la hausse des prix à la consommation. Et déjà du lait frais d’importation est présent sur les rayons de la grande distribution. En cause, «la réduction du cheptel laitier», constate une source proche de Copag, deuxième gros opérateur de la filière.
La montée en régime de l’import est visible depuis 2011 avec la hausse effrénée des cours des matières premières enclenchée en 2007. Ceci a concerné, notamment, le soja, le tournesol, le colza et le maïs dont le Maroc est importateur net. Or, l’alimentation de bétail représente entre 65 et 70% du prix de revient. Cependant, les prix du lait réglés aux éleveurs n’ont pas suivi la même tendance. «L’essentiel des augmentations décidées ces dernières années profite plutôt aux industriels», reconnaît la même source. Des hausses jugées incontournables pour maintenir l’activité industrielle. Car, les usines de transformation sont aussi confrontées à des augmentations des coûts de facteurs, notamment l’emballage, la main-d’œuvre, le transport et, depuis 2012, l’énergie dont la facture sera encore salée dans les mois à venir.
De leur côté, de nombreux éleveurs ont fait le choix de se reconvertir dans la production des viandes rouges. Surtout les gros qui ont trouvé l’intérêt dans l’importation pour engraissement de jeunes taurillons. Ce créneau bénéficie en effet du taux réduit de 2,5% du droit de douane assorti de la TVA à 10%. Et l’activité d’élever des animaux de race à viande valorise mieux l’aliment de bétail. De plus, elle génère de meilleurs prix à la consommation.
Pour s’en convaincre, notre source rappelle les performances de la filière des viandes rouges dont les objectifs du contrat-programme ont été dépassés avant terme. Celle-ci affiche, en effet, une production globale de 490.000 tonnes de viandes rouges en 2013 contre 450.000 attendues à fin 2014.
C’est l’effet pervers d’une subvention qui a été reconduite pour la troisième année consécutive alors qu’au départ, son octroi se limitait à deux ans.
Quoi qu’il en soit, la filière laitière tient une importance capitale sur le plan socioéconomique. Les chiffres du ministère de l’Agriculture évaluent le cheptel à 1,65 million de vaches laitières et le nombre d’éleveurs à 400.000.
Cependant, près de 95% de la production est assurée par des producteurs ayant moins de 10 vaches et 85% des éleveurs disposent de 3 vaches laitières au moins.
Les investissements réalisés dans la filière ont permis de doubler la production sur une décennie à 2,5 milliards de litres de lait. Mais depuis 2012, la dynamique s’est essoufflée.
Au niveau de la transformation, on dénombre 82 unités de traitement réparties dans les principales zones de production. Sur ce chiffre, trois opérateurs détiennent près de 82% du marché du lait et 100% des produits dérivés. Il s’agit dans l’ordre d’importance de Centrale Laitière, Copag et de Safilait.
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Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG
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