Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Pourquoi l’Algérie n’exporte presque rien...

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #31
    Garde les insultes pour les gens comme toi.


    Si tu avais été de bonne foi, tu aurai posté la suite de l'article, qui t'explique bien ce que tu ne comprends pas :

    Import: La bascule de 2011

    Dans un avis rendu sur la hausse des prix du lait en août 2013, le Conseil de la concurrence s’interroge s’il n’y a pas une péréquation entre le prix de la matière en poudre et le lait pasteurisé. Bien que le lait en poudre soit utilisé exclusivement dans la production des produits dérivés, les prix de ces derniers n’ont pas changé. De plus, le renchérissement des intrants est bien antérieur à l’année 2013. Depuis, les cours des matières premières se sont stabilisés. Par contre, le Conseil constate que la hausse des prix du lait pasteurisé a coïncidé avec celle du lait en poudre sur le marché international.

    - See more at: http://www.leconomiste.com/article/9....CxaLMYLl.dpuf
    Donc je réitère pour ta petite compréhension :

    Le Marocain ne consomme pas de la connerie en poudre. Nido et encore....

    Le Marocain qui n'est pas un grand fan du lait (à l'inverse du Thé), boit du lait frais pasteurisé et UHT.

    Les industriels, par économie, se servent de cette connerie en poudre pour les produits dérivés.

    Commentaire


    • #32
      L'essentiel du lait vendu en Algérie est reconstitué à partir de lait en poudre.

      Impirtation de lait en poudre:

      Maroc 74 millions $
      Algérie 1.7 milliards $ en 2014

      http://www.leconews.com/fr/actualite...173201_292.php
      Dernière modification par iridium, 10 février 2016, 21h02.

      Commentaire


      • #33
        Re-menteur


        Le lait au Maroc


        En 2014, la consommation de lait au Maroc est d'environ 62 litres par personne et par an. La consommation de lait a progressé de 7.6% durant les 5 dernières années, mais reste faible. Le secteur laitier marocain est dominé par Centrale Laitière, Copag et Safilait, qui détiennent à eux trois 80% des parts du marché marocain.
        La production laitière marocaine
        la production marocaine de lait qui s'est élevée, en 2013, à 2,5 milliards de litres de lait frais, répond en totalité à la demande locale. Pour anticiper les besoins futurs et envisager de profiter de certaines opportunités liées à l'export, le Maroc devra ainsi poursuivre l'accélération des projets d'élevage. La stratégie de développement de la filière laitière, telle que définie dans le cadre du plan Maroc Vert, table sur une production de 5 milliards de litres à l’horizon 2020.

        On compte près de 400.000 exploitations laitières au Maroc, principalement localisées dans les bassins côtiers du Nord du Maroc (Gharb, Doukkala, Chaouia, Souss-Massa). Cette région représente plus de 20% de la production laitière nationale, soit près de 453 millions de litres/an. Le cheptel bovin atteignait 2,9 millions de têtes en 2013, dont 40 % de vaches laitières.

        Le secteur du lait au Maroc génère un chiffre d’affaires de près de 8 milliards de dirhams par an et assure le soutien de plus de 450.000 emplois permanents. Il rencontre, cependant, aujourd’hui plusieurs problèmes de fond qui limitent son développement. En effet, si 70% de la production nationale est destinée à l’industrie laitière privée et aux coopératives, 20% de cette production est destinée aux circuits informels, échappant à tout contrôle sanitaire.

        Le marché marocain est dominé par le lait blanc, qui comporte plusieurs variétés : le lait UHT, le lait pasteurisé, le lait entier, écrémé, aromatisé, ou encore le lait concentré et le lait sec. Pour le coût, on peut avancer que les prix des trois principaux opérateurs (Jaouda, Centrale Laitière et Jibal) sont quasiment alignés. La production nationale couvre 90% des besoins du marché.
        Le marché du lait au Maroc
        Le marché marocain des produits laitiers à boire, où le lait couvre 75% des ventes en valeur, a réalisé un chiffre d’affaires de 880 millions de dollars en 2013. En 2014, l’évolution se poursuivra. Au Maroc, c’est le lait blanc qui domine, la production nationale couvre près de 90% des besoins du marché, et les importations un peu moins de 10 %. La collecte marocaine de lait s'élève à 2,8 milliards de litres contre 4 en Algérie et 23 en France.


        Le segment du lait aromatisé est l’un des plus dynamiques du marché marocain du lait avec une croissance tirée principalement par la demande des moins de 10 ans. Au Maroc, la consommation de lait aromatisé a atteint 0,3 litre par personne en 2013 et le segment représente aujourd’hui 2 % du marché des produits laitiers. Le retrait de Danone de cette niche profite pleinement aux autres acteurs, dont Copag et Agro Juice Processing. La coopérative de Taroudant y est présente à travers la marque Ghani déclinée en différentes arômes, tandis que le fabricant de jus basé à Meknès, gagne du terrain grâce à sa marque phare Valencia.

        En 2014, le secteur du lait au Maroc est dominé par Centrale Laitière, filiale de Danone avec environ 50% du marché suivi par la coopérative Copag (Jaouda),avec 23%, SafiLait (Jibal) avec 7% et une demi-douzaine de petits acteurs dont Best Milk, Domaine Douiet, Colainord, Colaimo.

        Yoplait va faire son retour au Maroc. Le groupe laitier Société laitière centrale du nord (SLCN) est devenu titulaire de la franchise Yoplait. Basée à Fès et propriétaire notamment de la marque Saïss Lait, son usine s'étend sur 2 hectares avec une capacité de traitement de 100 000 litres de lait par jour pour une trentaine de références. SLCN déclare vouloir investir au total 100 millions de dirhams dans le projet de développement de la marque de produits laitiers frais Yoplait.
        La consommation de lait au Maroc
        Malgré une croissance soutenue, la consommation de lait et de ses dérivés demeure faible au Maroc, avec 62 litres consommés par habitant et par an. Il est à noter que parmi les 62 kilos par an et par habitant, la consommation moyenne des produits laitiers frais n’est que de 13,6 kg. Même si elle a augmenté durant les cinq dernières années de près de 7,5 %, la consommation du lait des Marocains reste en deçà des recommandations de l’OMS
        .


        Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

        Commentaire


        • #34
          Quelqu'un a compris ce que raconte cet énergumène mal-élevé ?

          Commentaire


          • #35
            Les consommateurs marocains se détournent du lait, à en croire les volumes de vente de lait usiné. En cause notamment, une méfiance générale sur la qualité du lait. Les doutes des consommateurs sont-ils fondés?


            La filière laitière est actuellement traversée d’incohérences. Alors que la campagne de production laitière est cette année abondante, les ventes de lait usiné sont en chute libre depuis 9 mois. Et alors que la profession peine à séduire le consommateur marocain sur les vertus de la consommation de lait, la filière prévoit de doubler la production laitière d’ici 2020.
            C’est dans ce contexte que la fédération du lait Fimalait a lancé il y a 2 semaines une campagne de sensibilisation, pour informer les consommateurs sur les vertus nutritives du lait.
            A-t-on raison d’être méfiants sur la qualité du lait que nous consommons? Les associations de consommateurs pointent du doigt deux problèmes sanitaires majeurs, des polémiques infondées importées de l’étranger ou un manque de transparence général des opérateurs qui perturbent les ventes du lait.

            Le lait de colportage: une bombe sanitaire

            Déjà mentionnée dans un précédent article par le DGA de Centrale Laitière Abderrahmane Tarabi, la recrudescence du lait de colportage dans la consommation de lait des ménages marocains est une cause possible de la chute des ventes de lait usiné. Il s’agit de lait collecté d’une manière informelle par des individus qui les revendent en tant que “lait de ferme“, à des particuliers ou des laiteries.

            Difficile à quantifier car échappant au secteur formel, la consommation de ce lait présente un risque sanitaire conséquent. Pour Bouazza Kharrati, vétérinaire et Président de la Fédération de défense des consommateurs, le lait en vrac ou lait de colportage est une véritable bombe sanitaire.
            Vendu par les producteurs aux collecteurs ou directement aux clients à des prix attractifs, le lait en vrac trouve pour premier client les laiteries - qui le transforment en produits laitiers - mais également les cafés, et même les consommateurs finaux. Pour se donner une idée de l’ampleur du phénomène, le Président de la fédération avance comme ordre de grandeur le chiffre de 35% de la consommation totale de lait et produits laitiers. Selon lui, ce taux approche les 50% en période de Ramadan. Les chiffres de Fimalait qui ne sont pas actualisés concordent: en 2009, seulement 64% de la production laitière était usinée.

            Le problème de cette filière de distribution, le colportage, c’est qu’aucun contrôle n’est assuré ni sur les conditions de production, ni de transport. Dans la plus grande opacité, ce lait peut être mélangé à l’eau mais également à des conservateurs, des additifs alimentaires, ou du lait périmé.
            Les chaînes de froid ne sont pas nécessairement respectées au cours du transport. Mélangé ou mal conservé, ce lait peut s’avérer impropre à la consommation. Le vétérinaire et défenseur des consommateurs avertit du risque tuberculeux lié à sa consommation, et rappelle que 16% des cas de tuberculose sont transmis par origine animale au Maroc. Le lait informel peut également être vecteur de maladies infectieuses à bactéries comme la brucellose.
            La fédération est opposée à la vente de lait en vrac dans les conditions actuelles et appelle les autorités à se mobiliser.
            Tout le monde n’est toutefois pas de l’avis de la FDC. Pour Oudia Madih le Président de l’association Uniconso, l’hypothèse du lait de colportage comme facteur de la chute des ventes de lait industriel est illogique.
            A part les laiteries, la très grande majorité du lait consommé est d’origine industrielle. Il explique la baisse avérée des ventes de lait, par la chute de la consommation.
            Pour lui, l’élément qui entre en jeu se trouve sur les réseaux sociaux. Des campagnes de défense des consommateurs ont fait polémique aux USA et en Europe, où on trouve un phénomène inverse de surconsommation de lait, alertant sur les risques de la consommation de lait, et des maladies qu’elle engendre.
            Ces campagnes ont beaucoup circulé au Maroc et ont contribué à inquiéter les consommateurs. S’il reconnaît que ces études sont infondées, le défenseur des consommateurs avertissent d’un réel risque sanitaire porté par le lait industriel transformé.
            Tricheries et intoxications chimiques dans l’industrie du lait
            La triche dans l’industrie du lait consiste à ajouter des additifs de goût ou de conservation au lait, et cela sans prévenir le consommateur à travers l’étiquetage. «La triche dans le lait industrialisé existe, et nous la constatons au niveau de notre association», accuse O. Madih.
            Ces constats se font par simple observation, selon lui: lorsque le lait pasteurisé ne tourne pas après 72H dans un réfrigérateur, il existe des présomptions fortes d’addition de conservateurs. Or, le principe du lait et de la crème - produit non transformé au sens de la réglementation sanitaire - c’est qu’il n’y a ni addition, ni retrait (cf. circulaire conjointe du Ministère de l’agriculture et du Ministère de la santé N°001/97).
            Le témoignage de Bouazza Kharrati confirme cette hypothèse. Certaines sociétés, «surtout celles qui voient leur chiffre dégringoler» pratiquent ce type de fraude. Et les additifs portent également des dangers sur la santé. Les conservateurs sont cancérigènes à long terme. Sans parler des autres produits chimiques ajoutés qui sont totalement impropres à la consommation.
            O. Madih apporte en effet des témoignages effrayants. Celui de cette consommatrice qui retrouve une brique de lait qui en tournant est devenu bleu. Ceux de deux salariés de sociétés productrices de lait, qui confirment l’addition de lait en poudre périmé dans le lait et les produits dérivés par les industries.
            Ces tricheries ne sont pas un secret, même si rien ne prouve qu’elles sont appliquées au Maroc dans l’industrie laitière: des scandales ont déjà éclaté auprès de coopératives laitières et de transporteurs qui jouaient aux apprentis sorciers avec le lait distribué. L’année dernière, les gérants d’une coopérative laitière et un collecteur ont été arrêtées par la brigade judiciaire d’El Jadida après la découverte de produits chimiques dans le lait.
            A Settat, une autre coopérative avait été prise la main dans le sac en tentant de mélanger au lait frelaté de l’eau, du sucre et de la javel, avant de le revendre aux industriels.
            Pour le Président d’Uniconso, “le crime profite aux industriels“, et ceux-ci sont au moins responsables de ne pas assurer les contrôles adéquats sur le lait qu’ils achètent. Tout cela est rendu possible par l’inadvertance des autorités de contrôle de l’ONSSA. L’ONSSA n’est pas assez outillé et répressif. La loi sur la sécurité alimentaire a donné beaucoup de souplesses aux fournisseurs, en leur laissant la responsabilité du contrôle. Le contrôle de l’administration est effectué a posteriori. Et l’industriel n’a pas pris la mesure de la responsabilité sanitaire qui lui incombait, regrette O. Madih.
            «Les deux leviers de contrôle, que sont le droit de la concurrence et le droit des consommateurs, sont aujourd’hui en panne, laissant aux industriels la liberté totale d’agir n’importe comment de proposer à la consommation n’importe quoi».
            Une grande enquête pour dissiper la méfiance
            Au niveau des associations de consommateurs, on constate que ces derniers agissent par méfiance. Exposé à l’info comme à l’intox qui circulent autour du lait, le consommateur préfère se détourner de cet aliment.
            Consciente de ce phénomène de méfiance, la Fédération de défense des consommateurs est en train de mener une grande enquête comparative sur les produits laitiers. Chaque produit doit être soumis à une étude organoleptique (tests chimiques sur le produit) et à une vérification de conformité avec la réglementation sur la sécurité sanitaire, sur l’étiquetage, et l’emballage. La fédération pilote l’enquête, en coordination avec des organismes reconnus au niveau national et même international.
            Et si la fédération observe une infraction aux règles sanitaires, elle se dit prête à user tous les recours offerts par la réglementation, en saisissant les services concernés, à défaut d’autorisation d’ester en justice

            Commentaire


            • #36
              Azouz

              Chacun apporte ces sources pas besoin de traiter l'autre de menteur pour se rassurer ......

              Tiens si ce ne tenait qu'à moi par exemple ; vous seriez tous des menteurs car les chiffres de production dans les deux pays ne peuvent être crédibles et vérifiés pour des raisons que j'ai suffisamment invoqués ici ; au maroc par exemple il y'a toujours des circuits de vente courts ( du producteur au consommateur ) qui échappent à tout contrôle à la fois des autorité sanitaires et celles qui sont chargés d'établir ces statistiques. ...
              " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

              Commentaire


              • #37
                Oui je parle bien de lait frais.

                Rien qu'en lait frais, on a produit en 2014 environ 4 milliards de litres, contre 2,8 milliards de litres au Maroc.

                Et même avec cette production de lait frais supérieure à la votre de presque 50%, on est obligé d'en importer en poudre en quantité monstrueuse car le marché Algérien en demande encore.

                J'invente rien : c'est les chiffres.

                Conclusion : on exporte pas parce qu'on consomme notre production qui est supérieure à la votre. Tout simplement.

                Le jour ou le marché Algérien consommera moins à cause de la chute du prix du baril par exemple vous verrez nos exportations HH exploser. D'ici là, je vous conseille de vous préoccuper de votre production au Maroc qui reste faible, même face à la production Algérienne : un pays qui est en manque sérieux de réformes.

                ∑ (1/i²) = π²/6
                i=1

                Commentaire


                • #38
                  Merci Alryib3

                  CQFD aux menteurs,

                  plus rien à ajouter.



                  PS:

                  Cell: à d'autres
                  .


                  Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

                  Commentaire


                  • #39
                    J'invente rien : c'est les chiffres.
                    Et d'où viennent ces chiffres alriyb ? ?

                    Je veux dire qui les a inventés ???

                    Et puis ça ne semble vraiment pas te déranger qu'avec une production quasi le double de celle d'un maroc vous en importez quand même ( des quantités monstrueuse ) ;alors que le nombre d'habitants est quasi le même ..... à croire que l'algerien ne fait que boire du lait et manger du yaourt . Et tu sais ce qui est drôle ; c'est qud cest pareil pour les patates les tomates la viande de boeuf de mouton et de la volaille ; LES CHIFFRES montrent que l'algerie produit plus que le Maroc mais qu'elle en importe beaucoup plus ...........
                    " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

                    Commentaire


                    • #40
                      Cell,

                      Les chiffres sont répertoriés partout : google est ton ami. Maintenant si tu veux cacher le soleil avec un tamis ... dabar rassek khouya.

                      Quand à la consommation de lait.. que veux que je te dise? Plus on est riche, plus on consomme. C'est tout.

                      Les Algériens (dont le marché est dopé par des revenus hydrocarbure) consomment en moyenne par habitant plus de lait, de viande, etc.. que les Marocains. Idem les Saoudiens consomment en moyenne plus que nous, car plus riches. Idem les Norvégiens consomment plus que les Saoudiens, etc. etc.

                      C'est l'évidence même : pas besoin de sortir de St Cyr pour le comprendre.

                      ∑ (1/i²) = π²/6
                      i=1

                      Commentaire


                      • #41
                        Conclusion : on exporte pas parce qu'on consomme notre production qui est supérieure à la votre. Tout simplement
                        Et tu fais toute cette belle conclusion en te basant uniquement sur la production du : lait.


                        C'est tout simplement bête.


                        La raison que le marocain ne consomme pas bcp de lait est claire et nette : le marocain est le consommateur numéro 1 au monde du Thé.


                        Si tu veux comparer la consommation entre les deux sociétés en termes de volume, tu devras comparer les "dépenses en consommation des ménages" dans les deux pays.


                        Selon le site : perspective.usherbrooke.ca

                        Les Dépenses de consommation finale des ménages (US$ courant) en 2014 :

                        Maroc : 63 800 970 701
                        Algerie : 61 242 927 801

                        Bien que la population est légèrement supérieure en Algerie.



                        Les raisons de la faiblesse des exports algeriennes hors hydrocarbures et dérivées sont à trouver ailleurs que dans cette aberration de "nous on consomme donc on n'exporte pas".

                        Commentaire


                        • #42
                          Envoyé par faceless
                          Et tu fais toute cette belle conclusion en te basant uniquement sur la production du : lait.

                          C'est tout simplement bête.

                          La raison que le marocain ne consomme pas bcp de lait est claire et nette : le marocain est le consommateur numéro 1 au monde du Thé.
                          Quand, bébés, vous tétiez vos mères, c'était du thé qui sortait de leur sein?

                          Ha barkawna men echkil...

                          ∑ (1/i²) = π²/6
                          i=1

                          Commentaire


                          • #43
                            Rien qu'en lait frais, on a produit en 2014 environ 4 milliards de litres
                            Je ne veux pas vous contredire mais dans la presse algérienne, il n'est question que d'une production de 2,2 milliards de litres. Soit moins que la Maroc.

                            Par contre, l'Algérie est le deuxième plus grand importateur de poudre de lait dans le monde.
                            Dernière modification par hakimcasa, 10 février 2016, 22h46.

                            Commentaire


                            • #44
                              Quand, bébés, vous tétiez vos mères, c'était du thé qui sortait de leur sein?

                              Ha barkawna men echkil...
                              Ach kitkhewwer ?


                              Bref, la prochaine fois que tu voudras parler de consommation, regarde ces chiffres là :


                              Les Dépenses de consommation finale des ménages (US$ courant) en 2014 :

                              Maroc : 63 800 970 701
                              Algerie : 61 242 927 801

                              Bien que la population est légèrement supérieure en Algerie.

                              Commentaire


                              • #45
                                Conclusion : on exporte pas parce qu'on consomme notre production qui est supérieure à la votre. Tout simplement.


                                C'est toujours le même argument utilisé pour n'importe quel produit agricole
                                On produit plus et on importe plus ....car on consomme plus
                                Il serait intéressant pour quelqu'un qui a du temps à perdre de calculer l'apport calorique moyen de cette surproduction et de cette surimportation .... Je suis quasiment sur qu'on doit approcher le niveau moyen journalier calorique d'un ours blanc

                                Commentaire

                                Chargement...
                                X