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Hyundai Motor Company : L’ambassadeur de la Corée du Sud annonce l’installation d’une usine Hyundai

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  • Hyundai Motor Company : L’ambassadeur de la Corée du Sud annonce l’installation d’une usine Hyundai

    Hyundai Motor Company : L’ambassadeur de la Corée du Sud annonce l’installation d’une usine Hyundai


    L’ambassadeur de la République de Corée en Algérie, Park Sang-jin, à confirmé la prochaine signature visant à installer une usine de montage automobile de la marque Hyundai en Algérie.L’annonce de l’ambassadeur de la République de Corée en Algérie, Park Sang-jin, en marge d’une visite de courtoisie au quotidien d’El Khabar, porte également sur la date de la signature du contrat de partenariat qui aura lieu au mois de décembre, dont le début est à nos portes.

    Autoalgerie
    "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

  • #2
    Algerian business delegation to visit Dearborn

    Roughly 60 CEOs of Algerian corporations scheduled to attend.

    A large delegation of Algerian business executives and government officials will stop in Dearborn early next month to promote trade and investment with the north African country in hopes of capitalizing on metro Detroit's auto industry and substantial Arab-American population.

    The locally based American Arab Chamber of Commerce, in conjunction with the U.S.-Algeria Business Council, will host a "road show" on Tuesday at the Henry Hotel. Other stops include the Washington and San Francisco regions.As part of the three-city tour, the conference in Dearborn will feature the largest Algerian delegation to visit the U.S., including the Algerian minister of industry and mines, the U.S ambassador to Algeria and the mayors of Detroit and Dearborn, organizers said.

    Roughly 60 CEOs of Algerian corporations are also scheduled to attend. Unlike other countries in north Africa and the Middle East rocked by war, refugee migration and terrorist attacks, Algeria has been a relative place of calm in recent years, business leaders say, making it a potentially attractive destination for U.S. investment. Officials hope to attract the attention of the U.S. auto industry to consider building car and trucks inside the largest country in Africa.

    Traditionally, business between the two counties had centered on oil and gas concerns, according to Ismael Chikhoune, president and CEO of the U.S. Algeria Business Council, a member organization of 125 companies. But he said the economic relationship has become in recent years more varied, including health care, pharmaceutical and agricultural joint ventures. More progress is needed, he said.

    "The government is trying to diversify because of the changing of the price of oil and gas," Chikhoune said in an interview. U.S. businesses that set up shop in Algeria, he said, could see substantial tax benefits, including relief from duty and income tax for several years. Algeria could be poised to become a regional power, in part thanks to the country's vast oil reserves, experts say. But Algeria's slew of political, economic and social problems could also stunt its ability to progress, including efforts to diversify its economy and reduce joblessness among young people, according to a recent online posting by Dalia Ghanem-Yazbeck, research analyst at the Carnegie Middle East Center, which is part of the Carnegie Endowment for International Peace.

    So far this year, U.S. trade with Algeria is down, according to U.S. Census records. The U.S. exported $1.4 billion worth of goods to the country during the first nine months of this year, compared with $1.9 billion for the same period in 2014. The U.S. imported $2.7 billion from the country for the year through September 2015, down from $3.7 billion during the same period last year.

    Organizers in Dearborn hope to showcase Algerian products and services to U.S. buyers and give American sellers access to Algerian executives seeking to purchase U.S. goods and services. But the event will also provide information for U.S. executives on how to succeed by doing business in Algeria. Algeria's government expects to invest close to $260 billion in major projects and purchases between 2014 and 2019, according to event promoters.

    “Algeria is virtually an untapped market for U.S. businesses, and this event will provide networking and meeting opportunities for southeast Michigan business owners to explore potential partnerships and grow their business,” American Arab Chamber of Commerce Executive Director Fay Beydoun said. “With a population of 39 million people, political stability and a growing economy, Algeria is one of the most attractive markets in the world for U.S. trade and investment.”

    The "Doing Business in Algeria Road Show" is free, but registration is required. Participants may register online at www.us-algeria.org. or call 313-945-1700 for more information.

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    • #3
      ça bouge

      on se dirige doucement et surement, vers ce que j'avais prédit, une novelle Corée du sud à coté d'une petite Argentine, des champions nationaux exportateurs vs des free zones réexportatrice

      wait and see

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      • #4
        ça bouge

        on se dirige doucement et surement, vers ce que j'avais prédit, une novelle Corée du sud à coté d'une petite Argentine, des champions nationaux exportateurs vs des free zones réexportatrice

        wait and see
        entre 2008 et 2012 l’Algérie etait un pays qui se croyait riche et qui refuse de faire de la sous-traitance ou d'accueillir des usines étrangers

        qu'est ce qui a change Cicino ?! a tel point qu'on accepte meme les petites ateliers avec des avantages

        pour info .. la petite argentine n'attire pas les petites ateliers ... nous construisons des grands ports pour chaque usine avec le tissue industriel qui va avec

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        • #5
          on verra bien

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          • #6
            salam

            on risque de déclencher une guerre là

            renault
            peugeot
            fiat
            hyndai

            snvi
            mercedez
            iveco
            l'usine turc

            on fera venir des ouvriers marocains si on manque de main d'oeuvre

            mbrok alina

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            • #7
              entre 2008 et 2012 l’Algérie etait un pays qui se croyait riche et qui refuse de faire de la sous-traitance ou d'accueillir des usines étrangers
              Qui vous a raconté une telle sottise ? Qui refuserait des IDE en contrepartie d'avantages "réalistes" ?



              Le stock d'IDE qui ne dépassait pas les 4 milliards de $ a été multiplié par 8 en 14 ans.
              Dernière modification par jawzia, 30 novembre 2015, 12h05.

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              • #8
                L'Algérie n'a jamais refusée ce genre d'ide c'est qu'elle n'a simple jamais été capable de les acceuillir. L'essentiel du flux de ce genre d'investissement a toujours été dirigé vers le Maroc et la Tunisie.

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                • #9
                  en tout cas l'industrie auto se développe assez bien, les grandes marques s'intéresse au marché algérien, un tissu de sous-traitants est entrain de se développer, le partenariat avec des opérateurs nationaux n'a pas l'air de poser problème .. tout ça sans une ouverture du marché algérien, les autres industries peuvent donc faire leur petit bonhomme de chemin loin de toute concurrence déloyale, c'est tout bénéf ...

                  un très beau palais des congrès est bientôt finalisé, ce sera un très bon lieu d'affaires et une belle vitrine
                  rendez vous en 2020 je vous ai dit, soyons patients
                  Dernière modification par Cicino, 30 novembre 2015, 11h53.

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                  • #10
                    Cela me rappelle le zigoto qui jurait en 2011 qu'à cause de l'acier :
                    Moi je te dis qu'il n'y aura pas d'usine Renault ou Volkswagen en Algérie tu peux en être sure !!! Mais si tu veux continuer à défendre l'indéfendable c'est ton problème

                    #285 http://www.algerie-dz.com/forums/sho...192486&page=29
                    Dernière modification par jawzia, 30 novembre 2015, 12h02.

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                    • #11
                      jawzia
                      Cela me rappelle le zigoto qui jurait en 2011 qu'à cause de l'acier :
                      n'est pas visionnaire qui veut .. ces ingénieurs de la nouvelle génération, des techniciens multi tâches .. aucune vision d'ensemble ni esprit analytique

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                      • #12
                        Il s'assagiront avec l'âge et maitriserons leurs émotions !

                        Commentaire


                        • #13
                          Franziska Honsowitz, Ambassadeur d'Autriche en Algérie

                          Le développement du secteur automobile nous intéresse
                          30 NOV. 2015

                          L’Autriche souhaite se lancer dans la sous-traitance

                          L’Eco : L’année 2014-2015 est marquée par une conjoncture économique difficile et un climat des affaires affaiblit. Il s’agit de la période de votre installation en Algérie. Quel bilan faites-vous de votre première année, en Algérie ?

                          Franziska Honsowitz : En effet, cela fait déjà un an depuis que je suis installée en Algérie et je suis très satisfaite de ma présence dans ce pays et des résultats accomplis durant cette période. Je me suis adaptée à l’Algérie ainsi qu’à son hospitalité. Cette année a été très active pour nous, nous avons beaucoup travaillé au sein de l’ambassade avec la section commerciale. Nous sommes parvenus à développer notre coopération économique. Je pense que l’Autriche et l’Algérie ont beaucoup de potentialités à développer ensemble et générer une valeur ajoutée importante pour le pays. Nous avons toujours été prêts à offrir à l’Algérie les équipements nécessaires pour développer son industrie ainsi que le savoir-faire pour les accompagner afin de participer à la diversification de l’économie algérienne. Nous nous engageons à contribuer à la diversification de cette économie et à son développement.

                          Comme vous le savez, nous travaillons, en Algérie, dans plusieurs domaines, à savoir l’agriculture, l’assemblage automobile, la construction et nous souhaitons investir davantage dans le domaine du tourisme. Ce dernier représente un potentiel important pour l’économie algérienne. Nous proposons des formations pour accompagner les professionnels de ce secteur. Récemment, nous avons été à Tizi-Ouzou où nous avons visité une école hôtelière professionnelle avec laquelle nous espérons établir une coopération solide.

                          Nous souhaitons contribuer au développement et construction des infrastructures hôtelières car nous avons le savoir-faire dans ce domaine. Ceci figure parmi les projets que nous souhaitons réaliser en Algérie mais, durant cette année écoulée, nous avons réalisé beaucoup de projets et de progrès sur le plan de la coopération bilatérale. Nous avons commencé l’assemblage de véhicules à Tiaret et c’est un projet qui se porte bien et plusieurs autres projets dans le secteur de la plasturgie sont en cours. Il faut savoir qu’en Autriche, notre économie se base sur les PME qui sont dotées de la haute technologie que nous sommes prêts à partager avec nos partenaires. C’est ce qui fait notre fierté et renforce notre présence sur le marché algérien où la section commerciale Advantage Austria a émis beaucoup d’efforts pour développer la coopération entre nos deux pays respectifs et ce, depuis 1971. Nous prévoyons à l’occasion la participation d’une délégation d’hommes d’affaires algériens au salon Medica qui se déroulera, au mois de novembre prochain et pour l’année prochaine, nous prévoyons plusieurs autres participations à d’autres manifestations comme celui du salon « K », à Dusseldorf et celui de PlastAlger. Par la suite, nous allons mettre un focus sur l’électronique.

                          Mis à part ces projets entrepris récemment, qu’en est-il du projet de la ferme-pilote de l’élevage bovin de Khenchela qui a été lancé depuis quelques années déjà ?

                          Ce projet est toujours en cours de réalisation. Il est encore dans la première phase d’exploration et avec nos partenaires, nous sommes déterminés à l’achever. Les deux régions concernées par le projet à savoir la région de Tyrol et de Khenchela sont intéressées par ce projet. Le projet est en phase d’étude afin d’identifier les besoins et les caractéristiques du sol et les exigences de cette ferme-pilote. En attente des résultats et l’achèvement des études, nous proposons des formations en collaboration avec le ministère de l’agriculture algérien. Le projet est en bonne voie. En attendant, nous nous focalisons sur la formation où nous encourageons l’échange du savoir entre les agriculteurs de Tyrol et de Khenchela.

                          Actuellement, nous sommes en train de tisser les liens entre eux afin de pouvoir organiser l’année prochaine, des séances de formations et d’échanges entre les deux partenaires. Pour le reste, dès que les résultats de l’étude seront annoncés, nous allons envoyer notre expertise sur les lieux. Entre autres projets, nous comptons 16 entreprises autrichiennes installées en Algérie et plus de 600 autres sont en contact permanent avec des entreprises algériennes avec lesquelles elles sont en étroite collaboration. Nous avons pu nous intégrer dans différents domaines comme le secteur des énergies renouvelables, la construction de véhicules, l’agroalimentaire…etc. Concernant les réalisations, l’Autriche a pu, grâce à ses entreprises, chacune dans son domaine, réalisé 16 investissements directs, 24 stations de traitement d’eau, et fournir à l’Algérie 5 téléphériques, 45 000 vaches laitières…etc. Alors, il est important de préciser que l’Autriche peut fournir à l’Algérie les outils de production. C’est l’une de nos priorités d’aider ou de contribuer avec l’Algérie pour soulever son défi de diversification économique.

                          A l’exception de l’assemblage de véhicules, ne prévoyez-vous pas d’investir dans le secteur de l’automobile ?

                          Pour soutenir notre unité d’assemblage de véhicules sise à Tiaret, opérationnelle depuis un certain temps, nous proposons des formations à des cadres algériens qui, à leur tour, forment les employés de l’usine. C’est un investissement très important pour nous à court terme mais, à long terme, nous prévoyons de nous lancer dans la fabrication du véhicule en Algérie et nous allons commencer par la production de la petite pièce. Ca va nous prendre du temps mais nous allons le faire. Le développement, en Algérie, du secteur automobile nous intéresse énormément sachant que l’Autriche est un sous-traitant important de la pièce allemande. Donc, nous aspirons, dans l’avenir, réaliser des entreprises de sous-traitance pour les pièces détachées destinées aux véhicules de marques Renault et Mercedes produites en Algérie.

                          Les produits autrichiens importés par l’Algérie obéissent-ils aux standards et normes du marché algérien, notamment, en ce qui se rapporte au bois autrichien ?

                          Le produit autrichien répond aux normes établies par l’Union Européenne. L’importation du bois autrichien par les algériens se fait sur un principe d’entente réalisé entre les industriels du bois autrichiens et leurs acheteurs algériens afin d’établir les caractéristiques particulières de ce bois. Les normes adaptées aux bois sont unifiées et obéissent aux normes européennes. Concernant la polémique qui a été soulevée par les acheteurs algériens du bois autrichien, elle ne concernait pas la qualité du bois, mais certains paramètres liés aux dimensions. Pour y remédier, nous nous sommes mis aux mêmes normes de coupures que celles exigées sur le marché algérien ou autre. Nous proposons toujours des produits de qualité. D’ailleurs, depuis 2002 à 2014, le volume des échanges commerciaux entre les deux pays respectifs à été multiplié. L’Algérie est notre premier partenaire commercial au niveau maghrébin et deuxième au niveau africain. En 2014, nous avons réalisé un volume d’échange de 600 millions d’euros dont 300 millions d’euros concerne les importations et plus de 277 millions d’euros des exportations.

                          En plus d’une situation économique morose, l’Europe fait face à la crise des flux des réfugiés de guerres. Quel est l’impact de cette crise sur votre économie et vos investissements étrangers, y compris en Algérie ?

                          C’est vrai. En ce moment, nous assistons au plus importants flux des réfugiés convergeant vers l’Europe. Ce phénomène est toujours présent, notamment, depuis la guerre mondiale. L’Autriche a reçu pour ces derniers mois plus de 80 000 réfugiés. Bien que les citoyens soient accueillants, rien n’empêche que ce phénomène constitue un problème pour les pays transitoires et les pays où ces réfugiés souhaitent s’installer, à l’instar de l’Autriche, l’Allemagne et plusieurs autres pays européens. Pour nous, ce n’est plus une histoire de problème, mais c’est un défi qu’il faut relever ensemble pour trouver des solutions. Si nous parlions de l’Algérie, nous allons voir que c’est un pays qui fait beaucoup pour les pays en guerre. L’Algérie a beaucoup fait pour rétablir la stabilité au Mali et en Lybie.

                          Face à ce flux, l’Autriche essaie de trouver des solutions à commencer par des logements pour les héberger et les intégrer sur le marché du travail et économique. Il ne faut pas les négliger mais les intégrer sur le marché pour éviter beaucoup de problèmes. Nous allons lancer, parallèlement, des programmes d’embauche pour les réfugiés et ainsi profiter de leurs compétences qui constituent une valeur ajoutée pour nous. Il faut reconnaître que cette crise va influer sur notre budget mais il faut savoir gérer. Cette crise n’impacte pas la volonté de nos investisseurs et de notre pays pour venir investir en Algérie, bien que le climat des affaires, ces derniers temps, en Algérie soit instable pour plusieurs raisons, à l’instar de la dévaluation du dinar. Mais nous pensons que le climat des affaires en Algérie va s’améliorer davantage, notamment, pour l’investissement.

                          Faites-vous référence au nouveau code des investissements et que proposez-vous pour assainir le climat des affaires ?

                          La potentialité du marché algérien réside dans ses richesses hors hydrocarbures qu’il faut exploiter et nous sommes prêts à contribuer à la diversification de son économie. Le nouveau code des investissements apportera beaucoup d’avantages à l’acte d’investir et c’est rassurant. Nous allons renforcer davantage notre coopération dans les domaines hors hydrocarbure. D’ailleurs, nous avons conclu un projet de jumelage avec l’Algex dans l’objectif de diversification de l’économie algérienne et la formation de ses cadres à l’exportation. Le projet est à 80% d’avancement. Deux délégations d’hommes d’affaires algériennes ont déjà été en Autriche pour leur formation et une troisième délégation de l’Algex est prévue pour février 2016. Je pense qu’au lieu de se focaliser sur l’aspect négatif de la situation actuelle, il faut se concentrer sur les opportunités. Nous encourageons l’Algérie à faciliter davantage l’accès aux investissements. Le nouveau code des investissements, en attente d’application, apportera beaucoup d’avantages à l’acte d’investir, cependant, l’investissement ne se limite pas à la règle 51/49% mais nécessite plusieurs autres conditions. Pour installer un climat des affaires favorable pour l’investissement, il faut éradiquer la bureaucratie, revoir les procédures douanières et du transfert des capitaux…etc. Si l’Algérie propose un cadre juridique stable, les investisseurs n’hésiteront pas à venir en Algérie.

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                          • #14
                            @ cicino

                            T'es très optimiste dis donc
                            Je crois pas que le modèle suivie par Alger soit la Corée du sud ......mais plutôt l'Égypte
                            Ça fait longtemps que le pays des pharaons dispose de multiple petites unités d'assemblages automobile pour répondre au marché locale
                            C'est ce chemin que suit l'Algérie , par principe ces unités au vu de leurs tailles ne peuvent pas être compétitives pour l'exportation et surtout elles peuvent être fermé du jour au lendemain sans impacter la stratégie mondiale des constructeurs comme ça vient de se passer en egypte après le chaos post révolution

                            Commentaire


                            • #15
                              Du Skd et quelques pièces en plastique ne font pas d'un pays une nouvelle Corée du Sud il en faut pas beaucoup pour vous donner le tournis. Essayer de passer l'étape de la peinture après on parlera du reste.

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