Commerce extérieur : pourquoi la Turquie réussit là où le Maroc échoue
Les échanges entre les deux pays sont en hausse de 180% depuis 2006, grâce surtout aux importations marocaines.*La compétitivité de l’offre turque, la diversité des produits exportés et l’appui de l’Administration du pays expliquent ce constat.
Les échanges commerciaux entre le Maroc et la Turquie ont sensiblement progressé depuis l’entrée en vigueur de l’accord de libre-échange entre les deux pays. D’après les statistiques de l’Office des changes, ils sont passés d’environ 6,6 milliards de DH en 2006, année d’entrée en vigueur de l’accord, à 18,6 milliards fin 2014, soit une hausse de plus de 180%. En moyenne, plus de 60% de ces opérations se font dans le cadre du libre-échange. Mais si les échanges affichent cette montée en flèche, c’est bien grâce aux importations marocaines dont le montant est passé de 5,4 à plus de 14 milliards de DH en 2014. Le Maroc importe ainsi plus de trois fois ce qu’il exporte au pays d’Atatürk. Ce qui débouche sur un solde commercial négatif à la défaveur du Royaume, qui ne cesse de se creuser pour atteindre 9,6 milliards de DH fin 2014.
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Les échanges entre les deux pays sont en hausse de 180% depuis 2006, grâce surtout aux importations marocaines.*La compétitivité de l’offre turque, la diversité des produits exportés et l’appui de l’Administration du pays expliquent ce constat.
Les échanges commerciaux entre le Maroc et la Turquie ont sensiblement progressé depuis l’entrée en vigueur de l’accord de libre-échange entre les deux pays. D’après les statistiques de l’Office des changes, ils sont passés d’environ 6,6 milliards de DH en 2006, année d’entrée en vigueur de l’accord, à 18,6 milliards fin 2014, soit une hausse de plus de 180%. En moyenne, plus de 60% de ces opérations se font dans le cadre du libre-échange. Mais si les échanges affichent cette montée en flèche, c’est bien grâce aux importations marocaines dont le montant est passé de 5,4 à plus de 14 milliards de DH en 2014. Le Maroc importe ainsi plus de trois fois ce qu’il exporte au pays d’Atatürk. Ce qui débouche sur un solde commercial négatif à la défaveur du Royaume, qui ne cesse de se creuser pour atteindre 9,6 milliards de DH fin 2014.
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