L’Union européenne a annoncé, ce mardi 27 octobre, que la Commission européenne a adopté deux nouveaux programmes d’appui en faveur de l’Algérie pour 2015, d’un montant cumulé de 25 millions d’euros.
Concrètement, l’Algérie va bénéficier d’un premier programme, de 17 millions d’euros, visant à appuyer les efforts de l’Algérie en matière de « diversification industrielle et économique, ainsi qu’à l’amélioration du climat des affaires ».
Pour la Commission européenne, ce soutien « contribuera au développement économique durable du pays, avec la création des conditions nécessaires pour un accroissement du secteur privé industriel ». Avec entre autres objectifs d’améliorer « l’environnement global du monde de l’entreprise pour stimuler la création de nouvelles entreprises et répondre aux attentes des opérateurs économiques ».
Le deuxième programme, d’un montant de huit millions d’euros, concerne « le renforcement de la démocratie participative et du développement local ». Le projet « vise à améliorer la participation citoyenne dans la planification et la mise en œuvre des politiques communales de service public et de développement économique ».
Pour la Commission européenne, « cela permettra d’aboutir à une gouvernance communale concertée, transparente et attentive aux besoins et aux attentes des citoyens, et notamment des jeunes et des femmes ».
La Commission européenne précise que ces deux programmes « s’alignent sur les trois secteurs prioritaires de la coopération entre l’UE et l’Algérie pour la période 2014-2017 », à savoir « la réforme de la justice et renforcement de la participation citoyenne », « le marché du travail et l’emploi » et « l’appui à la gestion et à la diversification économique ».
L’Algérie fait partie de quatre pays du sud de la Méditerranée à bénéficier de programmes de soutien de l’Union européenne, en compagnie du Maroc (180.5 millions d’euros), de la Jordanie (135 millions) et du Liban (25 millions).
TSA
Concrètement, l’Algérie va bénéficier d’un premier programme, de 17 millions d’euros, visant à appuyer les efforts de l’Algérie en matière de « diversification industrielle et économique, ainsi qu’à l’amélioration du climat des affaires ».
Pour la Commission européenne, ce soutien « contribuera au développement économique durable du pays, avec la création des conditions nécessaires pour un accroissement du secteur privé industriel ». Avec entre autres objectifs d’améliorer « l’environnement global du monde de l’entreprise pour stimuler la création de nouvelles entreprises et répondre aux attentes des opérateurs économiques ».
Le deuxième programme, d’un montant de huit millions d’euros, concerne « le renforcement de la démocratie participative et du développement local ». Le projet « vise à améliorer la participation citoyenne dans la planification et la mise en œuvre des politiques communales de service public et de développement économique ».
Pour la Commission européenne, « cela permettra d’aboutir à une gouvernance communale concertée, transparente et attentive aux besoins et aux attentes des citoyens, et notamment des jeunes et des femmes ».
La Commission européenne précise que ces deux programmes « s’alignent sur les trois secteurs prioritaires de la coopération entre l’UE et l’Algérie pour la période 2014-2017 », à savoir « la réforme de la justice et renforcement de la participation citoyenne », « le marché du travail et l’emploi » et « l’appui à la gestion et à la diversification économique ».
L’Algérie fait partie de quatre pays du sud de la Méditerranée à bénéficier de programmes de soutien de l’Union européenne, en compagnie du Maroc (180.5 millions d’euros), de la Jordanie (135 millions) et du Liban (25 millions).
TSA
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