Omar Hadbi, PDG de l’Entreprise métro d’Alger (EMA), a réfuté, ce jeudi 22 octobre, le qualificatif de « gel » de certaines extensions du métro de la capitale, en raison de la situation économique. Le responsable préfère le mot « pause ».
« Les études concernant le métro de la Place des martyrs vers Chevalley ont été finalisées, mais on n’a pas encore l’enveloppe financière », a-t-il reconnu sur les ondes de la Chaîne III. « Compte tenu de nos possibilités financières, il y a une pause qui est admise en attendant une amélioration, mais on ne peut pas parler de gel », a-t-il insisté.
Actuellement, deux extensions sont en cours de réalisation : celle allant d’El Harrach vers l’aéroport et celle allant de Ain Naâdja vers Beraki. En 2017, 18 km de métro seront en exploitation à Alger, selon le même responsable.
Interrogé sur le métro d’Oran, Omar Hadbi a répondu que le projet « n’est pas budgétisé ». Il a également laissé entendre que le tramway ne sera pas réalisé à Ouargla. « Les bus à haut niveau de service est une solution alternative à la crise », a-t-il dit. « On nous a demandé de rationaliser les moyens publics et de trouver des solutions moins chères » a-t-il argué pour expliquer un tel choix.
TSA
« Les études concernant le métro de la Place des martyrs vers Chevalley ont été finalisées, mais on n’a pas encore l’enveloppe financière », a-t-il reconnu sur les ondes de la Chaîne III. « Compte tenu de nos possibilités financières, il y a une pause qui est admise en attendant une amélioration, mais on ne peut pas parler de gel », a-t-il insisté.
Actuellement, deux extensions sont en cours de réalisation : celle allant d’El Harrach vers l’aéroport et celle allant de Ain Naâdja vers Beraki. En 2017, 18 km de métro seront en exploitation à Alger, selon le même responsable.
Interrogé sur le métro d’Oran, Omar Hadbi a répondu que le projet « n’est pas budgétisé ». Il a également laissé entendre que le tramway ne sera pas réalisé à Ouargla. « Les bus à haut niveau de service est une solution alternative à la crise », a-t-il dit. « On nous a demandé de rationaliser les moyens publics et de trouver des solutions moins chères » a-t-il argué pour expliquer un tel choix.
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