En fait, le ministre de l’Industrie joue sur les mots. Certes, le capital n’a pas fait l’objet d’une transaction lors de cette opération, mais l’État avait acquis, en 2013, 21% de l’entreprise en échange d’un plan d’investissement de 700 millions de dollars, financé d’ailleurs par les banques publiques. Ces 700 millions correspondent donc à un ticket d’entrée payé par l’État algérien.
En 2001, l'etat a vendu 70% de l'entreprise à Arcelor-Mittal pour 1 dinar symbolique, et un engagement d'investissement de 150 millions $, dont
123 millions $ apportés par l'investisseur et 25 millions $ crédits des banques locales.
En 2013, quand l'entreprise devient un gouffre financier, alourdie par ses dettes et non rentabilité, et valorisée à -65 millions $.
21% des parts est cédée à l'etat. Pour porter l’équation au fameux 51-49.
Ces parts on été cédés pour 1 dinar symbolique, et un engagement de 700 millions de $ financés par les banques algeriennes.
Et pour finir, en 2015, Arcelor-Mittal se désengage complètement, sans répondre à aucun de ses engagements, que ce soit en termes d'emplois ou de production ou de CA.
Et il récolte une "somme non précisée" comme cadeau de départ.
Mieux encore, (oui dur d'y croire
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Par ce biais il est assuré d’éplucher encore le gouvernement algerien avec des honoraires bien établis sur la durée.
Comme vous pouvez le constater, Arcelor-Mittal a tellement bai*é (et continue de le faire à ce jour) le gouvernement algerien. Et on s'en prend au pauvre Rebrab.
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