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Algerie : Des classes jusqu'à 80 élèves !

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  • #76
    mais juste pour se retrouver avec encore plus de diplômes chômeurs qui ne veulent travailler qu'en tant que fonctionnaires .
    On a déjà discutée de ce point ici sur FA ( pourquoi les Marocains vont en masse étudier a l’étranger ) .

    Et la réponse a ces deux point:

    1) Les étudiants Marocains a l’étranger .
    2) Les diplômés chômeurs .

    Sont la conséquence du refus des grandes entreprises a recruter des diplômés locaux,et même dans la fonction publique un diplôme étranger donne plus opportunités de promotion .
    "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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    • #77
      Bachi

      La qualité reste un problème, un gros.
      Selon moi, l'école algérienne souffre surtout d'un centralisme paralysant.
      On devrait laisser l'école aux parents et aux enseignants comme il se fait dans le monde avancé.
      Numérisation et contrats de performance pour le secteur


      Les chefs d’établissement et les parents d’élèves sont appelés à conjuguer leurs efforts en vue de réussir un contrat de performance “visant des objectifs réalistes, mesurables et ordonnancés dans le temps”. La numérisation du secteur est fixée, quant à elle, à la prochaine rentrée scolaire.

      Trois mois à peine après le début de la nouvelle année scolaire 2010/2011, le ministre de l’Éducation nationale a tenu hier sa traditionnelle conférence nationale des directeurs de wilaya de l’éducation. Faire le bilan de la reprise et son évaluation ainsi que l’étude “d’importants dossiers liés à la modernisation du secteur et à l’amélioration de ses performances” étaient les principaux points abordés entre Benbouzid et les directeurs de wilaya. Après avoir passé en revue les conditions ayant caractérisé la dernière reprise des classes à travers les différentes wilayas, les conférenciers se sont penchés sur “l’état d’avancement des dossiers de parachèvement de la réforme de l’éducation” engagée ces dernières années.

      Il s’agit principalement du dossier de numérisation du secteur de l’éducation nationale. En effet, le département de Benbouzid “s’est fixé comme délai la prochaine rentrée scolaire 2011-2012 pour intégrer dans son fonctionnement administratif et pédagogiques les technologies les plus récentes afin de moderniser un système” d’organisation aujourd’hui obsolète, voire “un niveau d’obsolescence qui tend à amoindrir les effets positifs engendrés par la dynamique des reformes”, estime le département de Benbouzid.

      Il est donc impératif pour le ministère de l’Éducation nationale de modifier “les processus et les méthodes de gestion administrative et pédagogique en cours”, car, ajoute le même département, la mise à niveau de ces processus constitue un véritable pendant de la réforme du système éducatif et conditionne, dans une large mesure, la réussite de son parachèvement.

      Le contrat de performance est l’autre volet, également non négligeable, pour la réussite de la refonte du système éducatif. Le ministre de l’Éducation nationale, qui en parle depuis quelques années, est revenu, hier, à la charge face aux directeurs de wilaya. C’est ainsi que les chefs d’établissement, leurs staff enseignant et administratif, sans oublier les associations de parents d’élèves, sont tenus de “dresser un contrat programme visant des objectifs de performance réalistes, mesurables et ordonnancés dans le temps”.

      L’environnement immédiat des établissements, telles les Apc, les daïras et les wilayas, est appelé également “à s’investir davantage dans tous les aspects de la vie” de ces structures scolaires en vue d’accroître les chances d’atteindre les objectifs de performance. C’est dans ce sens, d’ailleurs, que ces institutions ont été instruites par leur tutelle et le MEN afin de prendre part “de manière active au financement de l’opération des casiers scolaires qui sera généralisée à toutes les écoles primaires dès la prochaine rentrée scolaire”.

      Par ailleurs, les conférenciers ont abordé hier, lors de leur rencontre, la valorisation du soutien pédagogique tout au long de l’année scolaire. Cette revalorisation, note le département de Benbouzid, “consiste en la codification réglementaire des actions de soutien pédagogique” des élèves en classes d’examens. “Il ne s’agit pas de refaire les cours de manière expéditive ni de rattrapage des retards, mais plutôt de cours de remédiation aux faiblesses identifiées” dans un cadre bien défini et surveillé. Car l’opération requiert “une attention particulière”.

      Enfin, le ministre a abordé les contraintes relatives au retard dans le paiement des salaires des contractuels et la prime de 3 000 DA, ainsi que la proclamation des résultats des concours professionnels. Pour Benbouzid, “ces questions doivent trouver des solutions imaginatives” de concert avec d’autres départements, tels les Finances, l’Intérieur, la Solidarité et la direction de la Fonction publique. Il s’agit notamment de procéder à un réaménagement des textes réglementaires y afférents. À signaler que les travaux de la conférence se déroulent en 5 ateliers et se poursuivent jusqu’à aujourd’hui.

      Liberté
      "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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      • #78
        Envoyé par AARROU
        On a déjà discutée de ce point ici sur FA ( pourquoi les Marocains vont en masse étudier a l’étranger ) .
        Quelle est la proportion de ceux qui vont à l'etranger de ceux qui restent.

        Il faudra bien nous convaincre de l'utilisation de ce mot "en masse".

        Envoyé par ARROU
        Et la réponse a ces deux point:

        1) Les étudiants Marocains a l’étranger .
        2) Les diplômés chômeurs .

        Sont la conséquence du refus des grandes entreprises a recruter des diplômés locaux,et même dans la fonction publique un diplôme étranger donne plus opportunités de promotion .
        Et là c'est une grande stupidité que tu annonces fièrement.

        De 1, dans la fonction publique, les privilégiés sont les diplômés marocains étatiques. Le reste ( marocain privé , ou étranger ) ils doivent faire une demande d’équivalence de leurs diplômes pour postuler.

        De 2, les grandes entreprises, pour les cadres en tout cas, les ingenieurs particulièrement, recrutent à toutes les sauces : ing privé maroc / ing etat maroc / ing etat etranger... et chacun sa grille on va dire, selon sa provenance et les spécificités du CV bien sur.
        .
        Dernière modification par Bichri, 27 septembre 2015, 21h31.

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