Les détenteurs de capitaux ayant déposé leurs fonds auprès des banques pourront bénéficier dès octobre prochain d’une formule de produits qui ne va pas à l’encontre des préceptes de l’Islam.
Le gouvernement va s’appuyer sur les principes de la finance islamique qui a pour fondement principal la prohibition de l'intérêt pour réussir à bancariser le plus possible des fonds circulent dans les circuits informels.
« Une nouvelle formule de produits bancaires à marge (sans intérêt prohibé par la finance islamique) sera disponible à partir du mois prochain au profit des citoyens ayant déposé leur argent auprès des banques dans le cadre de la conformité fiscale volontaire », a annoncé dimanche le ministre des Finances, Abderrahmane Benkhalfa, lors de la rencontre avec la communauté universitaire et académique organisée par le Conseil national économique et social (CNES).
En effet, après avoir instruit les banques à aller chercher l'argent de l’informel où il se trouve, en installant des guichets dans les sphères où il y a une forte activité commerciale, les autorités financières font désormais recours à la finance islamique afin de persuader les détenteurs à intégrer leurs fonds dans le circuit bancaire.
Khelifa Litamine
Le gouvernement va s’appuyer sur les principes de la finance islamique qui a pour fondement principal la prohibition de l'intérêt pour réussir à bancariser le plus possible des fonds circulent dans les circuits informels.
« Une nouvelle formule de produits bancaires à marge (sans intérêt prohibé par la finance islamique) sera disponible à partir du mois prochain au profit des citoyens ayant déposé leur argent auprès des banques dans le cadre de la conformité fiscale volontaire », a annoncé dimanche le ministre des Finances, Abderrahmane Benkhalfa, lors de la rencontre avec la communauté universitaire et académique organisée par le Conseil national économique et social (CNES).
En effet, après avoir instruit les banques à aller chercher l'argent de l’informel où il se trouve, en installant des guichets dans les sphères où il y a une forte activité commerciale, les autorités financières font désormais recours à la finance islamique afin de persuader les détenteurs à intégrer leurs fonds dans le circuit bancaire.
Khelifa Litamine