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Maroc : Propriétaire aujourd'hui, spolié demain

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  • #16
    je pense que l'administration corrompu de ton pays est plus simple pour toi
    Autant corrompue que la marocaine sans la dimension moyenageuse des 46OOO moqaddems et autres caids qui quadrillent les marocains.

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    • #17
      tellement moyenâgeux que le Maroc dépasse largement ton pays dans le classement e-gouvernement des Nations Unis, a moins qu'il y avait des ordinateurs au Moyen Age ?

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      • #18
        Puisque l'occasion t'es offerte, explique nous en quoi consistent les missions des :

        Moqaddem, chioukhs, Aarifa, caids ... et autres bizarreries marocaines ?

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        • #19
          Comme tu passe ta vie a scruter les sites marocains pour dénigrer le Royaume tu peus le faire de toi même

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          • #20
            Quoi ? Tu en as honte ?

            Dommage, tu aurais pu élucider pour nous ces mystérieux métiers !!!

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            • #21
              Non pas du tout
              déjà parceque c'est HS vis a vis du topic et tu sais quoi je vais te l'expliquer quand tu m'expliquera certaine bizarreries algérienne surtout celle qui a eu durant la sale guerre des années 90, pour l'instant je prefère te laisser dans ton...ignorance lol

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              • #22
                déjà parceque c'est HS vis a vis du topic
                T'inquiète ! Je suis sûr que tu ne risques rien lorsqu'il s'agit d'élucider un mystère à la demande générale. Tu n'es pas personnellement responsable du caractère moyenâgeux de ces "fonctionnaires" que la plupart des marocains les subissent.

                Alors ? Moqaddem par exemple, c'est quoi ? Ses prérogatives ? ...

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                • #23
                  latrousse

                  Je vais eclaircir la lanterne de jawzia le moquadem de son vrai nom l'oeil de dark vador est la cheville ouvriére du makhzen, tu tousse c'est noté.
                  Un jour j'ai refais quelque bricole a l'interieur de la maison, il se pointe en mon absence intime a l'artisan l'arret immédiat pour non déclaration de ces travaux voila pour l'exemple.

                  Commentaire


                  • #24
                    Un jour j'ai refais quelque bricole a l'interieur de la maison, il se pointe en mon absence intime a l'artisan l'arret immédiat pour non déclaration de ces travaux voila pour l'exemple.
                    Il parait que lorsque tu decides d'acheter un pain supplemantaire, tu dois le signaler au moqaddam.
                    Il le saura de toutes les facons, le boulanger lui meme ou meme un voisin te dénoncera et tu feras la une des journaux

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                    • #25
                      Car le recensement est mis a jour au quotidien, une baguette de plus veut dire une arrivée de plus "chkoun?"

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                      • #26
                        Maroc : Propriétaire aujourd'hui, spolié demain

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                        • #27
                          Interdire les transactions en cash... obliger les notaires à inscrire le bien dans une base de donner chiffré accessible au commun des mortels quand vous achetez un bien il possède son code d'archive dans cette base de donner et son code pour être revendu...

                          consultable à souhait sur le net tout ce qu'il apparaît c'est un numéro de titre avec la date de la dernière transaction...

                          Ensuite

                          Avant chaque achat

                          Le code doit être en possession du vendeur et celui du titre combiné débloqué la vente...

                          Si voulez que le code du titre vous pouvez pas vendre

                          Il y a tellement d'argent dans l'immobilier que les escroc sont la comme des rapaces ....

                          400 000 € le terrain à casa rabat

                          200 000 € tanger tetouan

                          Ça eguise l'appétit des loups

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                          • #28
                            Interdire les transactions en cash... obliger les notaires à inscrire le bien dans une base de donner chiffré accessible au commun des mortels quand vous achetez un bien il possède son code d'archive dans cette base de donner et son code pour être revendu...
                            Il n y a pas de conservation foncière au Maroc ou chaque bout de terrain y possède son historique ?

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                            • #29
                              Moqaddem, chioukhs, Aarifa, caids ... et autres bizarreries marocaines ?

                              jawzia

                              Pour ta gouverne ces gens (qui sont aujourd'hui tous des diplômés) ne s'occupent pas des transactions immobilières.

                              Il y a des notaires ASSERMENTES pour ça !!

                              Il est temps que ces frontières s'ouvrent pour une période déterminée UNIQUEMENT pour ne plus entendre ces salades....

                              Il y a même des caïds au féminin..




                              S'il y a un pays connu pour sa bureaucratie figée au temps du socialisme c'est bien l’Algérie et ce ne sont pas les spoliations qui n'y existent pas .

                              Un exemple parmi tant d'autres puisque tu aimes les retours de bâton !!

                              Une famille dénonce la spoliation de sa maison
                              Algerie Patriotique : 19. DÉCEMBRE 2012 - 10:33

                              Bonjour,
                              Nous ne savons plus à qui nous adresser pour témoigner et alerter les instances responsables, et mettre fin à une situation incompréhensible. Nous sommes une famille d'émigrés algériens qui a construit une maison en Algérie, comme de nombreux semblables.
                              Or, depuis 2004, année du décès de notre père, soit bientôt 9 ans, la cour de justice de Skikda refuse la restitution de notre propriété acquise au prix de nombreux sacrifices. Tout cela à cause d'une personne appartenant au corps médical de l'hôpital de la ville ; cette personne n'hésite pas à utiliser les stratagèmes les plus inimaginables et fait appel à des appuis pour, depuis 9 ans, se maintenir dans notre maison, gratuitement, sans aucun respect pour notre famille qui, depuis la perte de notre père, vit le tourment. Un combat juridique interminable, que d'avocats et d'argent dépensé, pour, à chaque fois, se voir privé de son bien, un bien qui représente la seule chose qui perpétue la mémoire de notre père. Notre mère est âgée et malade, et ne peut disposer de sa maison ; nous ne pouvons rentrer en Algérie car sans toit.
                              Le nôtre est occupé par une personne qui n'est pas dans le besoin, n'a pas d'enfant en bas âge (une famille composée de 3 adultes et un adolescent). Comment, en 9 ans, cette personne n’a pas trouvé un autre domicile, dégrade notre maison, ne paie rien du tout, et pis, nous manque de respect et s'approprie notre maison sans vergogne ?
                              Tout cela se passe sous le regard de la justice de cette ville, et nos différents appels au ministère de la Justice à Alger, l'ambassade algérienne à Paris, la présidence algérienne, n’ont pas eu de réponse ! Faudrait-il dire aux immigrés de faire attention, de ne pas construire de maison dans leurs pays, car il pourrait ne jamais en disposer ? Nous sommes à bout, à quelle extrémité faut-il parvenir pour récupérer ses droits ? Peut-être nous reste-t-il que les médias pour attirer l’attention et sensibiliser le gouvernement algérien et les représentants de la communauté algérienne, sur ces pratiques et ces difficultés auxquelles nous les émigrés sommes confrontés dans notre propre pays. Nous sommes ouverts à toute aide et soutien, pour que l'on recouvre nos droits.

                              Salutations
                              Lilno


                              PS: Ces "bizarreries" ( aujourd'hui dépassées) sont le fait d'un pays séculaire de douze siècles contrairement à certains qui étaient et sont toujours gérés par les lois de l'ex occupant...
                              Dernière modification par Serpico, 23 août 2015, 17h29.

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                              • #30
                                La spoliation et l'escroquerie du siècle AVEC L'AVAL DU RÉGIME .


                                Omar Abed, du collectif des spoliés d’El Khalifa : "l’argent de la liquidation n’a pas servi à rembourser les déposants"

                                Omar Abed, président de l’Association des clients spoliés d’El Khalifa Bank explique dans cet entretien comment que les petits déposants ont été ignorés qu’ils se sont constitués partie civile au même titre que la Banque d’Algérie ou El Khalifa Bank. L’argent de la liquidation n’a pas servi au remboursement des déposants, affirme t-il.




                                Votre Association a été créée dans le but de prendre en charge les préoccupations des épargnants d’El Khalifa Bank. Où en êtes-vous aujourd’hui ?

                                Notre Association a été créée début 2003, elle est agréée en France mais pas en Algérie. Mais nos activités ont commencé bien avant, fin 2002 en organisant des actions de protestation. Nous représentons les déposants d’Algérie, de France, de Belgique et du Royaume-Uni pour le compte desquels nous devons récupérer l‘argent spolié par l’Etat algérien. Nous avons pu recevoir jusqu’à présent près de 4000 déclarations de créances, consignées dans les registres organiques de l’Association. Cependant, le nombre de victimes peut s’élever à 12.000. Nous avons eu en 2004 au moment de la campagne électorale pour les présidentielles, grâce à nos actions sur le terrain, l’engagement du chef de l’Etat pour rembourser les épargnants. Six mois après, en visite en France, le chef de l’Etat a rompu cet engagement dans une déclaration à la presse. En 2003, le liquidateur désigné nous a informé d’un engagement pris par chef du gouvernement, Ahmed Ouyahia de rembourser les petits épargnants, avant de nous avouer qu’il a été « trahi ». En 2009, Abdelmalek Sellal, alors Directeur de la campagne électorale de Bouteflika nous a également promis le règlement du problème. Que des promesses en l’air.

                                Le procès Khalifa est revenu sur le devant de la scène en 2013. Qu’en attendez-vous ?

                                Bien que nous sommes constitués partie civile dans ce procès en 2007, nous avons boycotté le procès et la justice algérienne. Nous nous croyons plus à cette justice, pour la simple raison que les vrais responsable de ce scandale n’ont pas été touché.

                                Vous voulez dire que le procès est biaisé. Quelle sera donc la solution ?

                                Le problème de Khalifa est plus lourd. Il est d’ordre politique et la solution ne peut être que politique. Déjà si l’on revient à la nomination de Mohamed Djellab comme administrateur d'El Khalifa Bank, elle s’est faite au mépris de la loi sur la monnaie et le crédit qui interdit de nommer un administrateur concurrent à une autre banque. Mohamed Djellab était en effet Directeur général adjoint de la banque CPA (Crédit populaire algérien) au moment de sa nomination. De plus, il n’a pas établi de plans de situation ni de bilans pour justifier la liquidation. Pire encore, sa nomination n’avait d’autres impératifs que celui de rembourser les déposants les plus puissants, causant ainsi un autre trou dans la caisse. La désignation de Moncef Badsi, liquidateur judiciaire à El Khalifa Bank pour prendre en charge les opérations de liquidation s’est faite, quant à elle, sur une base politique et non sur ce que prévoit la loi sur la monnaie et le crédit. Une vraie liquidation devait se faire par voie de judiciaire. Ce qui n’a pas été le cas.

                                Mais cette justice a permis tout de même de rembourser une partie des déposants, selon le liquidateur ?

                                C’est faux. Aucun sou n’a été remboursé de l’argent de la liquidation. Nous avons rencontrés plus d’une cinquantaine de fois avec le liquidateur et nous n’avons pas pu trouver les traces de cet argent récupéré. Par contre, les petits épargnants qui ont moins de 600.000 DA ont été remboursés. Mais ces sommes ne proviennent pas de la liquidation d’El Khalifa mais plutôt de SGDB (Société de garantie de dépôts bancaires), créée par la loi du temps où Mouloud Hamrouche était chef du Gouvernement. Sa mise en œuvre ne s’est faite qu’après l’éclatement de l‘affaire Khalifa. D’ailleurs, le seuil de 600.000 DA n’a pas été réévalué. Il faut noter que les fonds de la SGDB ne relèvent pas des cotisations de solidarité des banques de la place, mais de la Banque d’Algérie qui a créé cette filiale à l’effet de rembourser les petits déposants dont le premier siège social a été l’une des villas de Abdelmoumen Khalifa à Chéraga. L’argent de la liquidation n’a servi pour l’instant qu’à rétribuer le liquidateur lui-même à raison de 35.000 DA par jour depuis sa désignation. Nous avons par contre obtenu le remboursement d’une avance de 5 % grâce à notre lutte au sein de la CNCD (Coordination nationale pour le changement et la démocratie).

                                La lutte sur le terrain a donné donc ses fruits….

                                Il reste que nous allions continuer à lutter jusqu’à trouver la solution à notre problème qui est entre les mains du chef de l’Etat. C’est lui qui a ordonné la liquidation d’El Khalifa ; c’est lui donc qui va trouver cette solution. L’Algérie avec toutes ses institutions ne peut pas garantir les fonds déposés par les épargnants ? C’est grave, alors qu’elle a accordé un prêt au FMI et épongé des dettes de pays africains.

                                Croyez-vous à une extradition de Abdelmoumen Khalifa depuis Londres ?

                                La première demande officielle d’extradition de Abdelmoumen khalifa ne date que de 2011. Alors que depuis 2004 ils nous annoncent son extradition. Je pense qu’Abdelmoumen Khalifa ne sera jamais extradé vers l’Algérie. Et si la Grande Bretagne daigne à le faire, Abdelmoumen Khalifa n’atterrira pas sur le sol algérien.

                                Le scandale Khalifa a engendré des drames humains ?

                                Effectivement. Nous avons enregistré des drames plus ou moins liés à la liquidation de El Khalifa Bank dont 17 morts, 118 cas de divorce et 247 cas de dépression. D’ailleurs, ce sont les petits déposants qui ont pâti le plus. Ce sont eux les seules véritables victimes. Eux qui ont eu le tort d’avoir cru en les institutions de l’Etat. Comment ne pas avoir confiance en cette banque dont le premier responsable eut été consacré homme de l’année en 2002.
                                Dernière modification par Serpico, 23 août 2015, 17h16.

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