Le groupe Mazouz continue de développer ses investissements dans l’agroalimentaire. Après le rachat de N’gaous (jus de fruits), il va construire une unité de production de sucre à Larbatache dans la wilaya de Boumerdès durant cette année.
« Le Conseil national des investissements (CNI) a validé l’accord d’avantages fiscaux pour une période de cinq ans pour son projet d’une unité de raffinage de sucre », indique à TSA une source proche du dossier. « Il s’agit d’un investissement de 13,9 milliards de dinars », précise-t-elle.
L’unité de raffinage est le premier volet du projet de ce groupe privé. Le deuxième projet sera lancé en 2016 à Sétif et concerne la trituration de betterave destinée à produire du sucre. Montant de cet investissement : 27,9 milliards de dinars, affirme notre source. « La trituration est une industrie naissante et à ce titre le projet bénéficiera d’une exemption fiscale pour une période de dix ans », souligne notre source.
Au total, le groupe Mazouz va investir 41,8 milliards de dinars pour ses projets dans le sucre pour devenir l’un des principaux concurrents de Cevital, qui détient actuellement un quasi-monopole dans ce secteur, considéré comme « stratégique ». En 2011, après les émeutes, le gouvernement a décidé de subventionner les prix du sucre et de l’huile, en plus des prix de d’autres produits de première nécessité : le pain, la semoule, etc.
Dans le sucre, un autre projet devrait voir le jour dans les prochains mois. Il a été lancé par le groupe algérien La Belle, en partenariat avec le français Cristal Union. Le projet connaît quelques retards, mais il devrait « être lancé très prochainement », selon une source au ministère de l’Industrie.
Source: TSA
« Le Conseil national des investissements (CNI) a validé l’accord d’avantages fiscaux pour une période de cinq ans pour son projet d’une unité de raffinage de sucre », indique à TSA une source proche du dossier. « Il s’agit d’un investissement de 13,9 milliards de dinars », précise-t-elle.
L’unité de raffinage est le premier volet du projet de ce groupe privé. Le deuxième projet sera lancé en 2016 à Sétif et concerne la trituration de betterave destinée à produire du sucre. Montant de cet investissement : 27,9 milliards de dinars, affirme notre source. « La trituration est une industrie naissante et à ce titre le projet bénéficiera d’une exemption fiscale pour une période de dix ans », souligne notre source.
Au total, le groupe Mazouz va investir 41,8 milliards de dinars pour ses projets dans le sucre pour devenir l’un des principaux concurrents de Cevital, qui détient actuellement un quasi-monopole dans ce secteur, considéré comme « stratégique ». En 2011, après les émeutes, le gouvernement a décidé de subventionner les prix du sucre et de l’huile, en plus des prix de d’autres produits de première nécessité : le pain, la semoule, etc.
Dans le sucre, un autre projet devrait voir le jour dans les prochains mois. Il a été lancé par le groupe algérien La Belle, en partenariat avec le français Cristal Union. Le projet connaît quelques retards, mais il devrait « être lancé très prochainement », selon une source au ministère de l’Industrie.
Source: TSA
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