À Casablanca comme à Tunis, les titres récemment cotés ne tiennent pas leurs promesses, connaissant presque tous des chutes vertigineuses. À qui la faute ?
Ces jours-ci, la Bourse de Casablanca accueille une nouvelle valeur : Total Maroc. La filiale marocaine du pétrolier français a mis sur le marché, entre le 11 et le 15*mai, 15*% de son capital pour un prix ouvert entre 455 et 535*DH (entre 41 et 49*euros) par action.
L'opération, qui était recommandée par pratiquement tous les analystes de la place en raison de la solidité financière de la compagnie et de ses bonnes perspectives, n'a pourtant pas fait l'unanimité auprès des petits porteurs. Ces derniers, très actifs dans le forum MarocBourse, qui compte une communauté de 3 600*boursicoteurs, grands et petits, avaient décrété trois mois auparavant un boycott de l'opération de Total, mais aussi de toutes celles qui se préparent dans le futur : celle de la société d'investissement de l'ex-ministre du tourisme Adil Douri, qui a été annoncée le 11*mai, mais aussi celle de Marsa Maroc, l'opérateur portuaire public.
Ces jours-ci, la Bourse de Casablanca accueille une nouvelle valeur : Total Maroc. La filiale marocaine du pétrolier français a mis sur le marché, entre le 11 et le 15*mai, 15*% de son capital pour un prix ouvert entre 455 et 535*DH (entre 41 et 49*euros) par action.
L'opération, qui était recommandée par pratiquement tous les analystes de la place en raison de la solidité financière de la compagnie et de ses bonnes perspectives, n'a pourtant pas fait l'unanimité auprès des petits porteurs. Ces derniers, très actifs dans le forum MarocBourse, qui compte une communauté de 3 600*boursicoteurs, grands et petits, avaient décrété trois mois auparavant un boycott de l'opération de Total, mais aussi de toutes celles qui se préparent dans le futur : celle de la société d'investissement de l'ex-ministre du tourisme Adil Douri, qui a été annoncée le 11*mai, mais aussi celle de Marsa Maroc, l'opérateur portuaire public.
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