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Dette extérieure du maroc : Les entreprises publiques aggravent l’encours

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  • #16
    une espèce d'hystérie collective
    L'hystérie dont tu parles n'existe qu'ici sur FA.
    Les Marocains nombreux que je rencontre savent très bien les grosses difficultés de leur pays
    ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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    • #17
      Bonne senté économique = croissance = confiance = Dette = Argent ....rappelez vous Jawzia de cette formule pour votre thèse ... un pays , personne ou entreprise qui s'endette est un organisme qui crée de l'argent et de la richesse.
      Une vraie perle !
      et un analphabète qui parle de thèse !
      Quelle misère!
      ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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      • #18
        @NatGEO

        Ma thèse est derrière moi et elle concerne un tout autre domaine que celui de la dette (fusse t elle marocaine - un cas d'école). Si tu as quelques maitrises sur les foncteurs, morphismes et autres théories des categories, je me ferai un plaisir à t'accompagner dans la rédaction d'un article qui te servira à soutenir la tienne.

        Revenons à la dette et à l'émergence :
        Voilà un pays qui par le passé a explicitement quemandé (par la voie royale) une aide pour parer à la situation économique.
        Voilà un pays dont les déficits affectent toutes les balances.
        Voilà un pays qui fait virer le déficit de son budget du violet au rouge vif grâce aux dons des bou3mama
        Voilà un pays dont le ration dette/PIB atteint les 130℅
        Voilà un pays dont le développement humain est moyenâgeux


        Et on parle d'émergence . Bon j'arrête là ça commence à ressembler à un listage a la F Hollanfe

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        • #19
          Jawzia,

          Il vaut mieux vivre dans un pays qui a à concurrencer des pays comme l Indonésie, la South africa, Mexique, Turquie ( c est vrai, ce sera dur de remonter dans le classement bloomberg .), ou la sardine est boudée lorsque elle dépasse 20 dhs que dans un pays qui aura des difficultés à emprunter ( il n aura pas les moyens de payer ces dettes) et où la sardine peut atteindre 80 dhs....


          Le maroc et l algerie, pays voisins, peuples proches et pourtant, on pourrait les comparer à la situation des deux corées ! On le voit dans votre façon de penser...

          Si jawzia à un doctorat et a passé des années à nous dire que la situation du maroc s empire ( alors que les chiffres et classements disent le contraire) , que pourrait dire le citoyen lambda soumis à du matraquage....

          rappelons le plus important: que le maroc et l algerie ne jouent pas sur le même terrain, mieux encore,rappelons qu ils ne jouent pas le même jeu... le maroc est sur un terrain économique, je vous laisse deviner sur quel terrain excelle votre pays....

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          • #20
            On ne veut pas de réouverture des frontières car la vision de l'UMA cherche à uniformiser les efforts à la croissance alors que les histoires politiques ne plaident pas pour une uniformisation. C'est exactement la démarche économique saoudienne, qui est bonne à saluer. Des fois, je me fais peur à penser que les USA ont un sens du business proche du capitalisme social, au lieu d'être inspiré du libéralisme de l'équité et de la mise en oeuvre des moyens de progrès, ce qui n'est sûrement pas le cas chez Airbus.

            Le Maroc et la Tunisie, entre autres, valident la décapitation politique du vrai modèle social libéral, ce qui n'est pas le cas de l'Algérie qui doit assumer sa Révolution. L'Algérie sera toujours critique pour que le libéralisme et le socialisme ne soient pas liquidés dans une complaisance générale pour l'oligarchie capitaliste.
            Les Marocains savent qu'il faut ce genre d'équilibre dans la région.

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            • #21
              @Bachi nous sommes 50% d’analphabète d’après vous qui ne savent ni lire ni écrire, mais on sait mieux que vous comment vivre dans la mondialisation pour vivre sans richesse sous sol, grace a notre notation financière stable, notre forte croissance économique et la diversification de notre économie ( surtout le tourisme ) ...ça nous a permet d'importer 2 fois nos exportations sans panique !!!

              Réduction des importations : le discours et les actes

              Le ministère du Commerce organise ce lundi 30 mars pendant deux jours, à Club des Pins, une grande conférence nationale sur le commerce extérieur.

              Tous les acteurs économiques majeurs ont été conviés, avec pour but de trouver des solutions afin de booster les exportations, et réduire la dépendance aux importations.

              Ce n’est pas la première fois que le gouvernement sort le sempiternel discours où il souligne la nécessité d’augmenter les exportations et réduire les importations.

              Encore une fois, à défaut de trouver une vraie stratégie, le gouvernement continue d’improviser, et faire semblant de ne pas connaître les solutions aux problèmes.

              Le premier problème est d’abord réglementaire. L’Algérie a signé plusieurs conventions avec des organismes comme le Fonds Monétaire International ou la Zone arabe de libre échange qui réduisent considérablement sa marge de manœuvre.

              Dans une timide tentative de remédier à cela, le gouvernement a annoncé la création de licences d’importation, censées réduire la facture des importations. Les licences existent déjà dans d’autres secteurs comme celui des voitures, ce n’est pourtant pas pour autant qu’on en importe moins. Pire, l’impact des licences sur la facture des importations devrait vraisemblablement rester marginal, puisqu’elles ne devraient, a priori, affecter uniquement que les petits importateurs.

              L’autre problème concerne la promotion des produits locaux. Le marché algérien, comme presque partout dans le monde, obéit à la loi de l’offre et de la demande. Si les produits locaux bénéficiaient d’un avantage compétitif en rapport qualité/prix, le consommateur algérien serait naturellement porté à acheter en priorité le produit local, ce qui réduirait automatiquement les importations.

              Dans son discours, le gouvernement réitère son désir de soutenir la production algérienne. Dans les faits, il n’en est rien. Au contraire, l’argument peut être établi que le gouvernement fait, en fait, tout pour rendre les entreprises algériennes moins compétitives par rapport aux importations.

              Dernier exemple marquant, l’uniformisation de l’Impôt sur le Bénéfice des Sociétés, qui est passé de 25 à 23% pour les importateurs et de 19 à 23% pour les producteurs. Selon quel schéma de pensée peut-on considérer que cette mesure permet, d’une quelconque manière, de rendre la production locale plus compétitive par rapport aux importations ?

              Pour améliorer l’économie algérienne malgré les contraintes imposées par les accords internationaux, il faut également faire preuve de courage et prendre des décisions audacieuses. Comme par exemple instaurer une TVA élevée pour les produits importés, réduire les subventions sur certains produits importés, comme les carburants et le sucre, etc.

              Néanmoins, aucun signal ne laisse penser qu’il y a un désir d’agir au-delà du discours. Il réside au contraire cette impression désagréable qu’avec sa rhétorique le gouvernement cherche simplement à temporiser, dans l’espoir que le cours du baril de pétrole va rebondir prochainement, qu’on puisse traverser la tempête sans trop de dégâts, en ne faisant rien.

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